Temple d'Auguste et de Livie

-44. Le 15 février de la fête des Lupercales, Marc Antoine propose à César le diadème royal, que celui-ci repousse sous les acclamations de la foule. Marc Antoine insiste, et le refus de César est de nouveau applaudi. César fit porter ce diadème au temple de Jupiter Capitolin[5]. Mais cette démarche imprudente ne fait que hâter la mort du dictateur. Les conjurés ont prévu leur attentat aux Ides de Mars (15 mars de l’an 44 av. J.-C.), au début de la réunion du Sénat dans la Curie de Pompée sur le Champ

romaine pratique un rite particulier : l’evocatio, prière, par laquelle il appelle la principale déesse de Carthage. Il lui demande de changer de camp et de venir du côté des Romains. En échange, il lui promet qu’elle sera honorée à Rome, et qu’un temple lui sera construit. Une fois les Romains victorieux, elle est transférée à Rome, et prend le nom de Caelestis. Du coup le panthéon romain est augmenté d’une nouvelle divinité.  C’est ce qu’on appelle l’interpretatio romana des dieux. Officiellement

toujours représentée sur la cuirasse d’Auguste. Il faut se rappeler 509 avec SPQR : la République et SPQR fait toujours partie de l’empire, Auguste dit qu’il refonde la République. Tacite nous dit que les Romains ont une haine de la monarchie. Le précurseur de l’empire César, a été assassiné en grande partie car on le soupçonnait d’aspirer à la monarchie. L’empire est fondé en tant que principat en 27 av JC. si on se base sur la res gestae (testament d’Auguste), ce dernier nous dit qu’il a rétablit

Ennius, Accius, Pacuvius, n'ont été que les traducteurs d'Eschyle, de Sophocle et d'Euripide. La poésie didactique a également marché sur les traces de la Grèce : Lucrèce a mis en vers le système d'Epicure et les idées d'Empédocle. Au siècle même d'Auguste, et quand la langue déjà riche et formée avait vaincu cette pauvreté d'expressions que lui reprochait le chantre de la Nature, la poésie romaine continua de s'inspirer du souffle, des fables et de l'histoire de la Grèce : Horace imita Pindare ; Virgile

après 6 campagnes. Les questeurs sont élus par les comices tributes. Ils avaient des compétences essentiellement financières. Ils étaient chargés d’administrer le trésor du peuple romain sous la surveillance du sénat. Le trésor se trouvait dans le temple de Saturne sur le forum. Il devait aussi surveiller les archives. Il ne détenait que la potestas. Plus tard au moment de la conquête, les questeurs pouvaient également accompagner les armées pour s’occuper de toutes les questions d’intendance

plèbe a une compétence législative ; elle vote des plebis scita (plébiscites). Le tribun protège les intérêts de la plèbe, s’arroge un pouvoir exorbitant. Il a le droit de veto, il est inviolable. La plèbe se dote d’une religion propre ; elle dédie un temple à Cérès, Liber et Libera, au pied de l’Aventin (en dehors du pomerium). La Loi des XII Tables La plèbe réclame des lois écrites qui mettent tous les citoyens égaux devant le droit ; refus du patriciat. Sécession de la plèbe. La codification des

nature. Elle vient d’apprendre que, sans l’en avertir, il a commis pendant la nuit une étrange action qui sème le désarroi et l’inquiétude dans son entourage : il a fait enlever et conduire au palais, où il la séquestre, Junie, seule descendante d'Auguste et amie de son demi-frère, Britannicus, dont il s'est épris. Agrippine avait eu Néron d’un premier mariage, et l’avait fait adopter par son second époux, l’empereur Claude (désigné aussi par «Claudius»), auquel, avant de l’assassiner, elle donna

nature. Elle vient d’apprendre que, sans l’en avertir, il a commis pendant la nuit une étrange action qui sème le désarroi et l’inquiétude dans son entourage : il a fait enlever et conduire au palais, où il la séquestre, Junie, seule descendante d'Auguste et amie de son demi-frère, Britannicus, dont il s'est épris. Agrippine avait eu Néron d’un premier mariage, et l’avait fait adopter par son second époux, l’empereur Claude (désigné aussi par «Claudius»), auquel, avant de l’assassiner, elle donna

Qu'auraient−ils à me répondre, si je leur disais que cette Junie est un personnage inventé, comme l'Emilie de Cinna, comme la Sabine d'Horace ? Mais j'ai à leur dire que, s'ils avaient bien lu l'histoire, ils auraient trouvé une Junia Calvina, de la famille d'Auguste, soeur de Silanus, à qui Claudius avait promis Octavie. Cette Junie était jeune, belle, et, comme dit Sénèque : festivissima omnium puellarum. Elle aimait tendrement son frère, "et leurs ennemis, dit Tacite, les accusèrent tous deux d'inceste, quoiqu'ils

Qu’auraient−ils à me répondre, si je leur disais que cette Junie est un personnage inventé, comme l’Emilie de Cinna, comme la Sabine d’Horace ? Mais j’ai à leur dire que, s’ils avaient bien lu l’histoire, ils auraient trouvé une Junia Calvina, de la famille d’Auguste, soeur de Silanus, à qui Claudius avait promis Octavie. Cette Junie était jeune, belle, et, comme dit Sénèque : festivissima omnium puellarum. Elle aimait tendrement son frère, « et leurs ennemis, dit Tacite, les accusèrent tous deux d’inceste, quoiqu’ils