Téhéran

mais d’assurer l’accomplissement efficace des fonctions des missions diplomatiques en tant que représentant des Etats ». Cette combinaison a été mise en exherbe par la CIJ dans l’affaire du personnel diplomatique et consulaire des Etats-Unis à Téhéran, au titre de l’ordonnance du 15 Décembre 1979, « aucun Etat n'a l'obligation d'entretenir des relations diplomatiques ou consulaires avec un autre Etats, mais qu'il ne saurait manquer de reconnaître les obligations impératives qu'elles comportent

faible forcera les producteurs d’aller chercher l’aide de l’État, qui, en retour, dirigera le choix des sujets des réalisateurs, chose qui découragera certains spectateurs.8 Vers 1924 un marchand à succès nommé Ali Vakili ouvrira le grand cinéma de Téhéran, qui aura comme distinction, une section réservée spécifiquement aux femmes. Ce mouvement d’innovation ne fera pas le bonheur de tous les traditionalistes de l’époque, mais ce sera un grand pas pour le cinéma en Iran.9 En Octobre de 1925, Reza Khan

rapport jeudi, dans le cadre de son enquête sur les dimensions militaires possibles de l'activité nucléaire passé de Téhéran. Une résolution du dossier de Parchin de l'Agence internationale de l'énergie atomique, qui comprend une demande de nouvel accès de l'AIEA sur le site, est une question symboliquement important qui pourrait aider à faire ou défaire Juillet 14 traitent nucléaire de Téhéran avec six puissances mondiales. "Depuis (notre) rapport précédent (en mai), à un endroit particulier sur le site

Les débuts du programme - la coopération avec les Etats-Unis Un programme nucléaire de coopération civile a été signé dès 1957 avec les États-Unis dans le cadre du programme "Atoms for Peace". En 1959 est créé le Centre de recherche nucléaire de Téhéran (CRNT), opéré par l'Organisation de l'Énergie Atomique d'Iran (OEAI). Le CRNT était équipé avec un réacteur nucléaire de recherche fourni par les américains, opérationnel depuis 1967. L'Iran signe le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) en

Chiara Mastroianni=Marjane adolescente puis adulte -Catherine Deneuve=Mère de Marjane -Danielle Darrieux=Grand-mère de Marjane 2.Biographie des auteurs A)Marjane Satrapi Marjane Satrapi est née en 1969 dans une famille aristocratique de Téhéran apparentée à la dynastie Kadjar, mais proche des idées communistes. Elle vit, en tant qu'enfant, la restriction grandissante des libertés individuelles et les conséquences dans la vie quotidienne des événements politiques de l'époque, particulièrement

penser que Téhéran aura bientôt la capacité d'en produire. En 2004, plusieurs rapports d'experts internationaux déposés en France, à l'AIEA et aux États-Unis ont fait état, en Iran, d'importation non déclarée de matières suspectes, de présence dans le pays d'uranium hautement enrichi et de sites secrets d'enrichissement d'uranium. Des indices qui laissent croire à ces mêmes experts que l'Iran pourrait être doté d'armes nucléaires d'ici quelques années. Malgré la promesse de Téhéran en 2003, d'adhérer

du gouvernement ayant un pouvoir ou une influence politique. [pic] 2/ Un point sur Ahmadinedjad Issu d'une famille modeste, Mahmoud Ahmadinejad est le quatrième enfant d'une fratrie de sept. Son père était forgeron. Sa famille déménage à téhéran et c’est à l’âge de sept ans, qu’Ahmadinejad rencontre pour la première fois L'ayatollah Khomeyni, un dignitaire religieux. A 22 ans, il fait ses premiers engagements dans des actions politiques. Il participe à la fondation d'une association islamique

film Per­sé­po­lis  évoque la vie de Mar­jane Satrapi, il retrace l’histoire de l’auteure depuis son enfance passée à Téhéran, toutes ses aventures vécues, son exil forcé en Autriche, sa nouvelle vie dans la vielle Europe, par l’arrivée au pouvoir des religieux dans son pays d’origine. Ses parents s’inquiétaient pour sa sécurité. Mar­jane raconte également son retour à Téhéran, sa ville natale. Elle vit la guerre et gran­dit avec les ensei­gne­ments de sa grand-mère. Il lui arrive plusieurs anecdotes

sans le voile obligatoire dès qu’elle apparaît dans un espace public. Shadafarin Ghadirian est une artiste photographe iranienne née en 1974 à Téhéran, Iran. Après avoir étudié son art à l'Université libre de Téhéran, elle enseigne la photographie pour plusieurs institutions de la ville. Elle travaille également pour le musée de la photographie de Téhéran. Son œuvre est dominée par la mise en image de femmes voilées, comptant une série "Qajar" dans laquelle elle brise les frontières temporelles

fallait pas : un iranien travaillant pour la CIA à Téhéran mais qui se trouve être aussi un agent double. C’est-à-dire travaillant aussi pour le service de renseignement iranien. Ces informations secrètes concernent l'organigramme de la cellule de la CIA opérant en Iran. Après réception de l’information sensible, le double agent iranien balance la manne à ses vrais employeurs : le service  secret iranien. La cellule de la CIA opérant à Téhéran fut démasquée, ses éléments arrêtés et portés disparus