Td Question Prioritaire De Constitutionalité

Mardi 23 mars 2010 Droit constitutionnel Correction td 12 : Le conseil constitutionnel et le contrôle de constitutionnalité en France 1) Présentez la composition, le fonctionnement et les attributions du conseil constitutionnel ? La composition : Il est composé de membres nommés et de membres de droit. Les membres nommés sont au nombre de 9. Trois sont nommés par le Président de la République qui désigna également le président du conseil Constitutionnel. Trois autres membres sont nommés

TD N°5 : INTRODUCTION AU DROIT Le contrôle de constitutionnalité : la QPC. Présentation de la QPC La QPC, c’est la question prioritaire de constitutionnalité. C’est une question qui peut être posée par tous justiciables, dès lors qu’il considère qu’une loi ou qu’une question pose un problème de constitutionnalité, c'est à dire que ce texte n’est pas conforme à la constitution. La QPC revalorise le rôle de gardien de la constitution qu’a le conseil constitutionnel. Jusqu’au 1er mars 2010, le

Agathe Collinet, TD de civil Les sources de droit et l’affaire Perruche. En juillet 1989 le couple Perruche saisit le tribunal de grande instance d’Evry réclamant une indemnisation de leur enfant liée à sa naissance. En effet Madame Perruche avait contractée la rubéole durant sa grossesse mais son médecin lui avait garanti le fait que l’embryon n’était pas contaminé : elle n’avait donc pas avorté. Or Nicolas nait en 1982 avec de graves troubles neurologiques, une surdité bilatérale

serait d’aucune Question de constitutionalité 2414 Mots * 10 Pages Dissertation: La « question prioritaire de constitutionnalité » Dans le Droit français, la question de la création d'un système d'exception d'inconstitutionnalité a fait l'objet de nombreux débats. Sous la Vème République, des législateurs se sont beaucoup interessés à l'idée que des citoyens puissent mettre en cause la constitutionnalité d'une législation. En effet, avant l'émergence de la « question prioritaire de constitutionnalité »

TD 5 DROIT CONSTITUTIONNEL Lucie-Marie Doucet- GRP 1-LASLA CONSTITUTION COMME SUBSTRAT ÉCRIT DE L’ÉTAT« Ce n’est pas la constitution qui fait la nation mais la nation qui fait la constitution. » Au XVIIème siècle L’Abbé Sieyès explique par son propos que le support humain de l’État forme sa propre Constitution, celle-ci est donc à l’image de la société qu’elle régit.  La Constitution forme-t-elle l’essence juridique de l’État ? L’abbé Sieyès saisit le terme de constitution dans son contexte historique

TD n°6 : le contrôle de constitutionnalité Sujet : Le contrôle de constitutionnalité : un gouvernement des juges ? Le Conseil Constitutionnel a été saisi pour la dernière fois il y a un mois par les députés de gauche afin d’effectuer un contrôle sur la réforme très controversée des retraites. Cependant cette saisi fut vaine car le Conseil constitutionnel estima que cette réforme était parfaitement dans le cadre délimité par la Constitution. Le contrôle de constitutionalité est un acte qui

Correction sujet séance TD 2 Sujet : La justice constitutionnelle, une condition nécessaire à la suprématie de la Constitution ? « Assurer la suprématie de la Constitution, par une procédure juridictionnelle, tel est l’objet de la justice constitutionnelle » 1. Cette observation pertinente de Guillaume Drago démontre que la justice constitutionnelle a pour objectif de protéger les droits et libertés fondamentales contre le pouvoir politique lorsqu’il abuse de ses prérogatives, étant donné

l’acte litigieux à ce principe. En cas de difficulté trop importante, il s’est remet à la CJUE via une question préjudicielle. Or s’il n’existe pas de principe communautaire équivalent à celui constitutionnel invoqué, alors le juge contrôle directement la constitutionalité de l’acte. Arrighui, 1936, Conseil d’Etat Le Conseil d’Etat n’est pas compétent pour exercer un contrôle de constitutionalité (loi/constitution) Costa vs Enel, 15 juillet 1964, CJUE Dans l’ordre externe, les traités sont

(2ième cas) peu fréquent : Le législateur a adopté une règle sans ce poser la question de savoir si l’application de cette règle allait conduire à un résultat immorale ou non. Il ne le fait pas car le législateur légifère dans l’absolu, dans l’abstrait (il légifère en générale et ne peut pas s’occuper de tous les cas concrets). Celui qui se rend compte de l’injustice de certaine situation est le juge. La question que l’on s’est posé était de savoir s’il fallait permettre au juge de corrigé la

2009 après l’adoption de la Loi organique 2009-1523 condition de son application, permet à tout justiciable désormais de saisir le conseil constitutionnel lors d’une instance en cours sur un problème concret posé par l’application de la norme en question au regard des « droits et libertés que la Constitution garantit ». Cette innovation, attendue depuis des décennies par une large majorité de la doctrine, marque « la fin de l’exception française » qui restait la seule cour constitutionnelle européenne