Tchétchénie

multilatérales en Bosnie ou au Kosovo) ou, au contraire, donner suite à l'intérêt stratégique d'une grande puissance pour asseoir et maintenir son influence dans une région (interventions unilatérales américaine à Panama en 1989 et russe en Tchétchénie en 1999)5. 1.1.2. Acteurs Conformément à la nature de notre hypothèse, nous identifions les acteurs intervenants comme des grandes puissances qui poursuivent les intérêts autres que des considérations de

 Des anciens proches de Sadam Hussein, l'ancien président irakien, sont venus  grossir leurs rangs, ainsi que des milices sunnites locales. Cette organisation terroriste  compte aussi en son sein des combattants qui ont forgé leur expérience lors d'autres conflits,  comme en Tchétchénie, en Ouzbékistan ou encore en Afghanistan. Depuis février 2013, ce  groupe exerce une forte attraction auprès d'Occidentaux acquis à leur cause qui apprennent  à faire le jihad dans des camps d'entraînement spécialisés avant d'être envoyés au front

l’Est) et fin 91 (fin URSS) de nouveaux Etats apparaissent à la place de l’ancienne URSS (15 nouvelles républiques), c’est la Russie avec la CEI (Communauté des Etats Indépendants). Mais les conflits ont été nombreux : ex Yougoslavie, Caucase (Tchétchénie). En 1991, une seule grande puissance demeure : USA. On parle alors de monde unipolaire et les USA deviennent les gendarmes du monde. Après le 11 septembre 2001, attentats sur les USA, une vision du monde nouvelle. De nouvelles puissances rivalisent

rôle des groupes islamistes. En Tchétchénie (qui proclame son indépendance en 1991, région qui représente pour Moscou un enjeu pétrolier, géopolitique et une des clés de stabilité de la fédération menacée par les mafias et l’islamisme. Première guerre de Tchétchénie se solde par la prise de Grozny par la résistance tchétchène, 100 000 morts. Montée de l’islamisme wahhabite (attentats de Moscou de septembre 1999), sert de prétexte à la deuxième guerre de Tchétchénie. 50 000 soldats russes envoyés pour

centrale des suites du démembrement du bloc de l’Est. En 1999 la Tchécoslovaquie se divise pacifiquement en deux tandis que la Yougoslavie multiethnique se divise dans un contexte conflictuel en Bosnie puis au Kosovo. La répression Russe agit sur la Tchétchénie qui se proclame indépendante. Les guerres civiles se multiplient en Afrique attisé par des enjeux économiques, notamment au Rwanda, en 1994, avec le génocide tutsi orchestré par les hutus qui inspira plusieurs réalisateur tel que Roger Spottiswoode

On peut accrocher l’Amérique à l’Europe avec l’OTAN, gendarme planétaire pour pacifier L’Amerique est intervenue en Europe avec la Yougoslavie + Kosovo. 3- La Russie Attitude décalée par rapport à l’Europe, ils ont mené les 2 guerres de Tchétchénie. L’Arc de crise de Caucase 1ere GM : Arc de Crise des Balkans

souveraineté économique des États comme l’OMC, le FMI et les organisations économiques régionales comme l’UE. Il est trop grand pour le développement de sentiments identitaires et de mouvements séparatistes : Irlande du Nord, pays Basque, Kosovo, Tchétchénie… 2- Le pouvoir toujours aux mains des États Malgré ces mouvements, l’État demeure le principal échelon de décision à l’échelle mondiale. La mondialisation elle-même est une volonté des États qui ont eux-mêmes acceptés de limiter leurs droits

est également associée au G8 et devrait bientôt intégrer l'Organisation mondiale du commerce. La Russie parvient donc à maintenir son rang de grande puissance au niveau international, malgré une crédibilité entamée, notamment par le conflit en Tchétchénie, et un équilibre régional précaire. Il tient tout de même de préciser le caractère arbitraire de la démocratie de Poutine. Dès le début de son mandat présidentiel, Vladimir Poutine afficha de façon déterminée son objectif d'instaurer la « dictature

la Transnistrie province sécessionniste de la Moldavie. L’Ossétie du Sud a aussi profité du soutien russe pour proclamer son indépendance face à la Géorgie. Le processus de balkanisation continue donc. ⇨ A l’intérieur – même de la Russie, la Tchétchénie réclame son indépendance depuis 1991. Après un âpre conflit qui a terrassé la résistance tchétchène, détruit la capitale Grozny et mie ne place un gouvernement proche de Moscou, la demande demeure ; le gouvernement russe de laisser s’exprimer une

véritable pouvoir cité dans l’article notamment le 80. Il peut juste être destitué pour trahison ou pour faute grave contre la nation notamment, selon une procédure relativement difficile à mettre en place (l’ex d’Eltsine qui a déclenché la guerre en Tchétchénie) cela sur accusation du Douma au 2/3 et décidé par le conseil de la fédération au 2/3 aussi. · Le président du gouvernement : et non le premier ministre n’a pas un pouvoir réel car le président maintien la principale compétence de l’exécutif et