Tchécoslovaquie

l'Est des populations ethniquement allemandes, largement entamée soit de manière spontanée par les Allemands eux-mêmes fuyant devant l'Armée rouge, soit initiée par les populations locales dans le vide juridique de l'immédiate après-guerre. La Tchécoslovaquie entérine légalement cette expulsion raciale, et dès le 2 août, soit le jour de clôture de la conférence, dans le cadre des décrets Beneš, retire la citoyenneté tchécoslovaque aux ressortissants des minorités allemande et hongroise, entamant leur

des blocs (à l’Ouest : De Gaulle retire la France du commandement armé de l’OTAN en 1966, concurrence économique de la CEE et du Japon / à l’est : rupture sino – soviétique au début des années 1960, révoltes à Budapest en Hongrie en 1956 et en Tchécoslovaquie en 1968 « Printemps de Prague », toutes deux écrasées par le Pacte de Varsovie) ; émergence sur la scène internationale de nouveaux acteurs qui refusent la logique des blocs (conférences de Bandung en 1955 – affirmation du Tiers Monde – et de

de l’Allemagne de 1985 à 1991 à travers la fin du communisme. En 1947, L’Allemagne est coupé en deux suite aux rideau de fer, jusqu’en 1962.Cela fait de L’Allemagne les conséquence de plusieurs crise entres les deux blocs. En juin 1948, la Tchécoslovaquie devient un satellite de l'URSS, une démocratie populaire, cependant ceci ne plait pas aux Etats Unis ainsi qu‘a ses alliés et voit donc cela comme une menace de la part des soviétique c‘est le coup de Prague . Le bloc de l’ouest envisage alors

grillagée de la Luxe est généralisée. Alors que les précédents modèles de l’usine de Zwickau ne sont guère sortis de leur RDA natale, la 601 tente de s’exporter davantage. C’est ainsi qu’elle conquiert presque tout le bloc de l’Est : Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie, Yougoslavie, Roumanie et Bulgarie l’adoptent. Seule l’Union soviétique n’a jamais importé de voitures d’Allemagne de l’Est, probablement afin de préserver ses constructeurs nationaux VAZ(Lada), AZLK (Moskvitch), ou encore ZAZ. Mais on

l'URSS et les démocraties populaires, Pacte de Varsovie alliance militaire. B) Une rivalité idéologique traduite par les crises 1) Une Europe de l'Est définitivement muselée - Coup de Prague en février 1948: l'URSS renforce son emprise en Tchécoslovaquie en renversant un gouvernement d'union nationale et imposant les communistes. - La satellisation des pays d'Europe de l'Est est presque totale: seule la Yougoslavie de Tito et la Finlande réussissent à imposer le non-alignement vis-à-vis de Moscou

restructuration) _ développement des échanges avec l'est 9 novembre 1989 : Chute du mur de Berlin _ les régimes communismes s'effondrent les uns après les autres 1991 : _ apparition de nouveaux états: _ éclatement de l'URSS _ la Tchécoslovaquie _ la Yougoslavie _ réunification de l'Allemagne

comme un contrepoids de l'OTAN, pourtant conçu en 1949. Il rassemble les forces des membres du bloc communiste et certifie une coopération et assistance mutuelle et y sont présents, la Bulgarie, la Roumanie, l'Albanie, l'URSS, la Pologne, la Tchécoslovaquie et la Hongrie. Grâce à cette Alliance, l'URSS se dote d'une force militaire non négligeable, en plus du COMECON (ou CAEM) qui finit d'établir les relations entre le « grand frère soviétique » et les démocraties populaires où les régimes communistes

d'un avenir meilleur, un avenir qui se présenterait essentiellement sous forme de son projet de la "Mitteleuropa".17 Le concept de Naumann a vécu sa 'renaissance' dans les années 1980, notamment lorsque des intellectuels dissidents de la Tchécoslovaquie, de la Hongrie et de la Pologne ont réinséré le terme "Mitteleuropa" dans la discussion. Ce débat a été lancé par Kundera, écrivain tchèque né en 1929. Ancien activiste lors du Printemps de Prague en 1968, engagement qui lui avait coûté sa citoyenneté

démocratisation de la RDA, ce qui aurait nécessité l’accord de l’Union soviétique. Néanmoins, cette voie semblait peu réaliste, comme l’avaient montré les insurrections qui agitèrent les dictatures communistes en RDA (1953), en Hongrie (1956) et en Tchécoslovaquie (1968) avec le « Printemps de Prague » qui fut très rapidement réprimé. L’autre alternative consistait à ce que les États occidentaux, notamment la RFA, renoncent à des principes adoptés jusque là, sans qu’ils fussent pour autant payés de retour

Caricature sur la construction européenne L’opposition des Soviétiques à la création de la CECA L’adhésion de l’Espagne et du Portugal à l’Europe Le “coup de Prague” La doctrine Brejnev de la “souveraineté limitée” 1968 La situation en Tchécoslovaquie en 1975 d’après un opposant au régime Le système politique des démocraties populaires analysé par V. Havel en 1978 (livre p.226) Les objectifs du syndicat Solidarnosc La fin des démocraties populaires : l’exemple tchécoslovaque L’idéologie