Taux de chômage naturel

SES CHAPITRE III : CROISSANCE, EMPLOI ET CHOMAGE Marché du W : lieu fictif où se rencontrent l’offre (pop active, demande d’emploi) et la demande (employeurs, offre d’emploi). • Modèle néo-classique (libéral) du marché du W : 2 concepts : - productivité marginale du W (supplément de prod engendré par l’embauche du dernier salarié [c’est-ce que rapporte à l’entreprise l’embauche du dernier salarié]. Lorsque la productivité marginale = 0, plus d’embauche)

l’inflation • Inflation tirée par la demande • Inflation tirée par les coûts (offre) • Inflation importée • Combinaison de 1 et 2/3: “spirale prixsalaires” – 212. Spirale prix - salaire • Hypothèse: les salaires sont parfaitement indexés sur le taux d’inflation – Première étape: augmentation du niveau général des prix (quelle qu’en soit l’origine) : – Deuxième étape: le pouvoir d’achat (mesuré par le salaire réel) diminue – Troisième étape: les entreprises cherchent à maintenir leur marge – Quatrième

économique de marché, celle du marché du travail présente conjointement deux aspects : prix et quantité. La dimension "prix" concerne plus spécialement la détermination du salaire et la dimension "quantité" davantage le volume de l'emploi, et donc le chômage. Salaire et emploi sont deux problèmes fondamentaux que non seulement l'actualité met au premier plan des préoccupations des acteurs économiques mais aussi que l'histoire de la pensée économique a toujours placés au cœur de ses problématiques.

EXERCICES COMPLÉMENTAIRES SUR LE CHÔMAGE ET L’INFLATION QUESTION 1 Choix multiples Les trois (3) premières questions sont basées sur le texte suivant. Dans une petite ville des Laurentides, la population en âge de travailler est de 10 000 personnes mais 3 500 personnes sont inactives. Les membres de cette petite communauté connaissent bien le problème du chômage car l’économie locale est peu diversifiée et l’emploi, précaire et saisonnier. Plusieurs d’entre eux occupent d’ailleurs deux

d) Le taux de chômage en janvier 2011 au Canada était de 7.8 %. e) Le taux d'activité en janvier 2011 au Canada était de 67.0%. Question 2 Cet argument ne tient pas la route puisqu’il affirme que c’est le taux de chômage plus élevé d’après la récession qui compte plus que le nombre d’emplois acquis depuis cette période. Cependant, le taux de chômage n’est pas un bon indicateur, car il se calcul seulement par le nombre de chômeurs sur le nombre de personnes actives alors que le taux d’emploi

.................................................................................... 29 Chapitre 8 : Revenu national et taux d’intérêt d’équilibre ................................................................... 30 Investissement et taux d’intérêt d’équilibre ..................................................................................... 30 Consommation privée et taux d’intérêt ............................................................................................ 30 Crédit à la consommation

a alors un ralentissement de l’activité (Une déflation). Certaines entreprises, se considérant trop nombreuse dans l’activité dans laquelle elles sont, décident alors de quitter le marché. Mécanisme : Chute des échanges internationaux Hausse du chômage. Tout cela est les prémices de la grande crise qui se prépare. Ce qui précède la crise de 1929 : - Surproduction industrielle. - Baisse des prix. - Diminution de la demande nationale ou internationale. I -La crise de 1929 aux

des actifs et passifs (le patrimoine) publics et privés. Il ne mesure donc pas les externalités positives ou négatives qui font évoluer cette valeur et qui contribuent donc à un gain ou à une perte de moyens. Le PIB tient compte des ressources naturelles (énergie, matières premières) consommées dans les processus de production en comptabilité nationale par les consommations intermédiaires. Cependant, la comptabilité nationale ne distingue pas, dans les consommations intermédiaires, les ressources

mondial. Principale conséquence de la crise économique que nous traversons, la situation du marché du travail s’est fortement dégradée dans l’ensemble des grands pays développés et émergeants. À l’exception de l’Allemagne, le rythme de hausse du chômage au cours de cet épisode récessif a été deux fois plus violent que celui observé au cours des « petites » crises précédentes. Nous nous pencherons donc, dans cet exposé, sur le secteur de l’emploi, nous tenterons d’apporter des éclaircissements sur

Nous avons apporté quelques changements, surtout mineurs, à nos prévisions pour le PIB réel en 2013 et 2014. Aucun de ces changements ne reflète une modification fondamentale à notre opinion. Les provinces riches en ressources naturelles dominent encore notre classement des taux de croissance pour 2013, comme lors des trois dernières années. Nous prévoyons que Terre-Neuve-et-Labrador, l’Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba seront les quatre seules provinces à croître plus rapidement que la moyenne