Tautologie

partage son expérience perso * L’expérience de l'auteur nourrit sa pensée ( ref. titre : « De l'expérience ») début « in media res » = au milieu des choses, abrupt → avec l'évocation d'activités quotidiennes (danser, dormir) à l'aide d'une tautologie (figure d'insistance) « je », + possessif « mes » : montre nature autobiographique de ce texte (auteur tire cet enseignement de son expérience personnelle) et permet, avec l'emploi du pronom « nous », l'identification du lecteur (nous emmène dans

l'une des plus grandes fautes de langage (ex : monter en haut, descendre en bas, à deux reprises différentes, ça commencer à débuter, ...). Le pléonasme est parfois admis lorsqu’il permet d’insister : je l’ai vu de mes propres yeux. La tautologie La tautologie est le vice logique consistant à présenter comme ayant un sens une proposition dont le sujet évoqué ne dit rien de plus que le thème. On est comme on est. Les choses étant ce qu'elles sont... L'hiver est à Paris la plus

relation linéaire dans ou par rapport aux paramètres à estimer et enfin la variable aléatoire intervienne de manière additive. Remarque : Une mauvaise spécification peut aussi provenir des tautologies. Expliquer les recettes touristiques en prenant le nombre des touristes comme variable explicative est une tautologie. Exemple : Consommation des produits laitiers : 1ère étape :  : consommation de produits laitiers du ménages i dans l’agglomération du type j  : revenu du ménage i dans l’agglomération

reprendre la vision du processus scientifique présentée par Jensen, notamment dans le contexte de la TPA (1983, p. 336-337). « Au risque d’être trop simplificateur, le processus idéal consiste en une utilisation des définitions de l’agence, de la tautologie de la minimisation des coûts [… ] et d’un sousensemble de structures contractuelles réelles afin de développer des propositions sur les aspects importants de l’environnement et de la technologie de contrôle et de mise en œ uvre - autrement dit

précisent avec ce qui est nécessaire aux Colons avec « des vivres «  mais aussi de l’or. - Chaque demande est assortis d’arguments ou de justification qui ne se situent pas forcément sur le même plan avec «  donner des vivres pour de la nourriture = tautologie qui ne justifie pas la requête et la demande d’or est destinée à un médicament ce qui ressemble à un mensonge. - Espagnols inscrivent conquête dans projet de christianisation des peuples rencontrés, leur religion est alors dite « vraie » ce qui

plus grandes fautes de langage (ex : monter en haut, descendre en bas, à deux reprises différentes, ça commencer à débuter, ...). Le pléonasme est parfois admis lorsqu’il permet d’insister : je l’ai vu de mes propres yeux. [modifier]La tautologie La tautologie est le vice logique consistant à présenter comme ayant un sens une proposition dont le prédicat ne dit rien de plus que le thème. On est comme on est. Les choses étant ce qu'elles sont... L'hiver est à Paris la plus froide saison. (Jarry)

pseudo-démonstration de Perdican par une double tautologie sur le mode proverbial. Elle distingue alors avec finesse le mot et la chose  double truisme, marque de ce parler populaire qui affleure à certain moment, mais il n’empêche que ce double truisme a un fonctionnement argumentatif pas négligeable. Tautologie la rend indispensable : se pose comme énoncé du vrai, du sens, creuse l’écart entre mots et choses. Conteste un véritable abus du langage. Cette tautologie = dénonciation implicite du badinage auquel

dire, inévitablement contradictoire. Selon Jaspers, cela ne retire rien à l'intérêt philosophique de la démarche transcendantale de Kant : La contradiction, le cercle, la tautologie sont à nos yeux des formes inévitables et essentielles de toute réflexion transcendante. (...) dans la quête philosophique, cercles, tautologies, contradictions, ne peuvent être évités. Ils sont le signe distinctif de la connaissance philosophique, comparée à la connaissance scientifique. (...) la prison de l'objectivité

toutes »Les sens sont donc nécessaires pour nous fournir toutes les connaissances qui existent en acte, ce qui est presque une tautologie si l’on définit l’expression « en acte », par « ce qui existe dans la réalité, c’est-à-dire ce qui peut être saisi par les sens ». Leibniz semble donc concéder à son adversaire quelque-chose qui relève en fait de la tautologie : une tautologie est comme une relation d’identité déguisée, c’est-à-dire que cela revient à dire que A = A en exprimant seulement A d’une façon

célibataires ne sont pas mariés » n’est donc pas une connaissance au sens étroit du terme : il ne nous apprend rien sur le monde, il est juste une tautologie. Il existe un deuxième type de jugement selon Kant : ce sont les jugements synthétiques. Ils lient eux aussi deux concepts mais à la différence des jugements analytiques ils ne sont pas de simples tautologies. Les axiomes et théorèmes de la géométrie (euclidienne), les lois de la physique (newtonienne) ou même les pseudo-connaissances de la métaphysique