Taro

deux. Réglé ! Alors, ensuite — je ne vais pas les faire tous parce que des livres pourris, il y en a plein, mais on n’aura pas le temps… Alors, maintenant, des livres qui ne le font pas exprès… d’être pourris. Un très beau livre, magnifique, de Taro Miura qui s’appelle Métiers, publié chez Panama, maison qui a malheureusement disparu, qui renaît sous un autre nom : Les Grandes Personnes, maison dirigée par Brigitte Morel en coproduction avec Gallimard. Du beau travail plastique, il n’y a

de type yolo 559 Igname de type calabar 258 Autres ignames 73 PATATE 1037 Patate fraîche 1025 Patate sechee 12 TARO 737 AUTRES FECULENTS 143 TOTAL TUBERCULES 24311 Source : La consommation alimentaire au Cameroun en 1996 17,8 4,9 4,2 3 0,5 100 Graphique 7: Répartition des dépenses de consommation des féculents et tubercules à Douala en 1996 PATATE 4% IGNAM E 5% M ACABO 18% TARO 3% PLANTAIN 40% M ANIOC 24% POM M E DE TERRE 6% 76 Tableau 13: Structure des dépenses de consommation

and quantitatively mixed crops according to the fertility of the soil, the year of culture, their financial needs, the alimentary uses, the variability of the local and global prices and the export demand. Yields of the three basic cultures (maize, taro and macabo) are 1.2 to 2 times higher than those of intensified monocultures related to the same surface, not talking of the yield of the additional 6 to 10 cultures. The benefits of mixed cropping (factor 7 for maize and peanut; factor 2.25 for tubercules

1,564 million t., de la canne à sucre 1,430 million de t., des noix de kola 65 216 t., des noix de cajou 167 000 t., des mangues 120 902 t. mangues[52]. Les cultures vivrières sont également présentes : banane plantain (1 519 716), maïs (608 032), taro (51 252) et riz (673 006). Auto suffisante pour le manioc et l’igname, la Côte d’Ivoire reste cependant, un importateur net en céréales. Produits vivriers (marché local). Cacao La Côte d’Ivoire demeure, avec 40 % de la production, le premier producteur

1,564 million t., de la canne à sucre 1,430 million de t., des noix de kola 65 216 t., des noix de cajou 167 000 t., des mangues 120 902 t. mangues[51]. Les cultures vivrières sont également présentes : banane plantain (1 519 716), maïs (608 032), taro (51 252) et riz (673 006). Auto suffisante pour le manioc et l’igname, la Côte d’Ivoire reste cependant, un importateur net en céréales. Produits vivriers (marché local).Cacao La Côte d’Ivoire demeure, avec 40% de la production, le premier producteur

stations. De même, des parcs de manguiers et d'avocatiers sont gérés par le DFA. Ces fruitiers sont d'origines très variées. COTE D’IVOIRE rapport de pays 22 b. Les plantes annuelles Les plantes à tubercules et racines tubérisantes Le taro: La collecte en Côte d'Ivoire s'est effectuée d'est en ouest. La conservation se fait sous forme de tubercules et comme tel, elle présente beaucoup de contraintes. La collection du laboratoire de génétique de l'Université nationale de Côte d'Ivoire

11.7 Autres céréales n.c.a. 01.11.7 5 0111p2, 0113p1 Culture de tubercules et de légumes à cosse secs 01.12 Tubercules et légumes à cosse secs 01.12 4 01.12.1 Pommes de terre 01.12.1 5 01.12.2 Igname 01.12.2 5 01.12.3 Manioc 01.12.3 5 01.12.4 Taro et macabo 01.12.4 5 01.12.5 Patates douces 01.12.5 5 01.12.6 Autres racines et tubercules à amidon 01.12.6 5 01.12.7 Haricots secs 01.12.7 5 01.12.8 Pois de terre 01.12.8 5 01.12.9 Autres légumes à cosse secs 01.12.9 5 0111p3, 0126 Culture de plantes

7,2 18,8 3,6 12,3 4 1,4 7,2 4,3 7,2 2,5 0,7 1,1 11,9 Pourcentage d’entreprise servant chacun des mets (%) 94,2 38,5 100 19,2 65,4 21,2 7,7 38,5 32,1 38,5 13,5 3,8 5,8 63,5 Riz 49 Macabo 20 Plantain 52 Banane 10 Miondo 34 Couscous de mais 11 Taro 4 Bâton de manioc 20 Couscous de manioc 12 Tubercule de manioc 20 Gari 7 Chicouangue 2 Mintoumba 3 Autre complément 33 Note ; Nombre d’entreprises concernées : 52. Source : Nos soins à A la lumière du tableau 7, le plantain est de loin le complément

Henan), vers -6500, fondé sur le millet, puis, en s’étendant au sud, sur le riz et le soja. •Un foyer centre-américain (sud Mexique), entre -7000 et -2000, fondé sur le maïs et le haricot, puis le coton. •Un foyer néo-guinéen vers -8000 basé sur le taro. •Tous ces foyers progresseront dans l’espace car la pratique de l’abattis-brulis (on pensait que le fait de bruler les terres déjà cultivé augmenterait leur rendement, il fallait donc trouver d’autres terres à cultiver en attendant le processus)

 taro,  breadfruit,  banana,  coconut  and  sweet  potato.  The  settlers  on  Easter  Island  brought  only   chickens  and  rats  with  them  and  they  soon  found  that  the  climate  was  too  severe  for  semi-­‐tropical   plants  such  as  breadfruit  and  coconut  and  extremely  marginal  for  the  usual  mainstays  of  their  diet,   taro  and