Tametsi

Ce texte est l’extrait d’un célèbre décret de droit canonique, le décret Tametsi, qui a été rédigé en 1563 par le concile de Trente. Le concile de Trente est le dix-neuvième concile oecuménique (assemblée de tous les évêques appartenant à une même communion ecclésiale) reconnu par l'Eglise catholique romaine. S’il était destiné à l'origine à restaurer l'unité de l'Église, ce concile fut en réalité une réponse du catholicisme à la Réforme protestante, à travers la révision de sa discipline et la réaffirmation

Commentaire de l’extrait du Discours préliminaire sur le projet de Code civil de Portalis, 1801 La naissance de la codification post révolutionnaire : le Code Civil codification = l’action permettant de procéder à un classement organisé et structuré des textes en un seule volume : un code. Une codification dite réelle donne naissance à une œuvre nouvelle, destinée à rassembler, fixer, clarifier, rénover, systématiser, unifier les règles relatives à une matière en les ordonnant

le droit canon perd de son influence. TEXTE « LE DECRET DE TAMETSI» 1) identification : Vient de la tradition du droit canon. C’est un concile qui l’a fait, ici c’est le concile de trente, il siège en Italie. Concile c’est une réuni d’évêque, qui siège en Italie, on l’appelle aussi le concile de la contre réforme. C’est donc une source directe. 2) Pk il s’appelle « décret Tametsi » ? C’est parce qu’il commence par « tametsi » dans le texte latin. Il traite d’une manière générale au mariage

troisième et dernière session que fut débattu ce qui figurera dans le texte conciliaire sur le mariage, texte qui fut définitivement adopté le 11 novembre 1563. Le texte à étudier est un extrait de l’article un du chapitre premier du décret de Tametsi. Ce dernier établit en dix chapitres les règles à suivre pour la célébration du mariage et apparait dans sa nature et dans le contexte de l’époque comme un texte religieux ayant force de droit. Quels sont les raisons inhérentes qui ont amené l’Eglise

XVIème siècle 1. La remise en question du caractère sacramentel du mariage 2. Les critiques adressées au mariage canonique 3. Le concile de Trente et le décret Tametsi III. Le mariage sous le contrôle de l’État (XVI-XVIII) a. La main-mise de l’Etat monarchique sur le mariage 1. La législation royale sur le mariage : le décret Tametsi « sous bénéfice d’inventaire » 2. La jurisprudence royale sur le mariage : la fin de la compétence des tribunaux ecclésiastiques 3. L’instauration du mariage civil

devenir célèbre ; et qui fere et parmis ceux qui ont agit (/accompli de belles actions) et qui scripsere et parmis ceux qui ont écrit facta les actions aliorum des autres multi laudantur beaucoup sont loués. Ac mihi et que pour moi quidem il est vrai, tametsi bien que haudquaquam par gloria la gloire ne soit pas du tout la même sequitur scriptorem qui s’attache à celui qui écrit l’Histoire (à l’auteur des faits) et actorem rerum et à celui qui la fait (à l’acteur des faits) tamen cependant imprimis avant

coepisse praetori dicere putasse se, id quod audissent, alicuius preti scyphos esse Pamphili ; luteum negotium esse, non dignum quod in suo argento Verres haberet. Ait ille idem sibi uideri. Ita Pamphilus scyphos optimos aufert. Et mehercule ego antea, tametsi hoc nescio quid nugatorium sciebam esse, ista intellegere, tamen mirari solebam istum in his ipsis rebus aliquem sensum habere, quem scirem nulla in re quicquam simile hominis habere.  J'étais assis chez moi, me disait-il, fort mécontent. Je vois

Pélagie Valion Note de synthèse Jean-Jacques Rousseau disait : « Le lien conjugal n’est-il pas le plus libre ainsi que le plus sacré des engagements ? ». En effet, dans son ouvrage Julie ou la nouvelle Héloïse publié en 1761, l’auteur insiste sur l’importance du libre consentement des époux au mariage et de l’épanouissement personnel avec l’effacement de toute tutelle parentale, une vision également portée par l’Église catholique. Le mariage

coepisse praetori dicere putasse se, id quod audissent, alicuius preti scyphos esse Pamphili ; luteum negotium esse, non dignum quod in suo argento Verres haberet. Ait ille idem sibi uideri. Ita Pamphilus scyphos optimos aufert. Et mehercule ego antea, tametsi hoc nescio quid nugatorium sciebam esse, ista intellegere, tamen mirari solebam istum in his ipsis rebus aliquem sensum habere, quem scirem nulla in re quicquam simile hominis habere. » « Voici une anecdote dont je peux vous garantir la vérité

légalement enregistrée. Pour l'Eglise cette dot n'était en rien nécessaire à l'établissement de la validité d'une union, mais pour les laïques c'était la dot quignarantissait le mieux l'alliance entre deux familles. Il faudra attendre le décret Tametsi par le concile de Trente en 1563, pour que la consentement des époux redonne en même temps que du crédit à ce cérémoniel, un simulacre de respect pour la mariée. Bibliographie Chelini Jean, Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Paris,