Tamerlan le Grand

dans le nord de l'Afghanistan. Le Grand Khan avait envoyé des mongols sur Balkh et c'était un carnage ultime(1220). Marco Polo a passé par cette ville qu'and il traversait la route de la soie.En 1270 Marco Polo arrive a Balkh et décrit la ville dans le livre des merveilles. Voici un extrait du livre des merveilles écrit par Marco Polo: ''De la ville de Balac. En partant de là nous vînmes à une certaine ville nommée Balac (Balk), qui fut autrefois grande, célèbre et ornée de plusieurs édifices

est incontestable. Il trouve incontinent un grand nombre d’hommes qui n’ont rien à perdre ; il les habille d’un gros drap bleu à cent dix sous l’aune, borde leurs chapeaux avec du gros fil blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n’en traînèrent à leur suite. Des

des bâtiments musulmans, en soulignant les constantes et les infinies variations d'un art animé, durant plus de dix siècles, par un élan et par un souffle grandioses.De l'Espagne jusqu'à l'Inde, Omeyyades, Abbassides, Persans, Turcs seldjoukides, Grands Moghols, Ottomans... bâtissent le Dôme du Rocher à Jérusalem, les mosquées de Damas et de Cordoue, l'Alhambra, le Gur i-Amir à Samarkand, la mosquée d'Ispahan, les jardins de Shalimar, le Taj Mahal à Agra, la Suleymaniyé à Istanbul... Plus de 160

lui-même renforcé par d ivers exemples : de type historique (mention de Bajazet e t Tamerlan) ou de type religieux (« chaque chef de s meurtrier [...] invoque Dieu avant d’exterminer son prochain. V oltaire procède dans son article « guerre » sur le mode de l’apologue mais au service d’un raisonnement logiqu e : de l’histoire avec un petit –h- (l’anecdote) au ssi bien que de l’histoire avec un grand –h- , il y a une leçon à t irer. Ce corpus de trois textes montre bien l’étendue de

On peut aussi voir la caricature des hommes qu’il suffit d’habiller en bleu pour qu’ils deviennent des soldats et des nations qui se battent sans savoir pourquoi ! Il utilise également l’exagération en évoquant les plus grands « meurtriers » de l’histoire Gengis Khan , Tamerlan … Ainsi, le texte de Voltaire n’est pas si différent du texte de La Bruyère qui s’en prend à la guerre par une sorte d’apologue. On pourrait dire que son texte est une fable puisqu’il utilise les animaux pour faire comprendre

incontestable. Il trouve incontinent un grand nombre d'hommes qui n'ont rien à perdre ; il les habille d'un gros drap bleu à cent dix sous l'aune, borde leurs chapeaux avec du gros fil blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n'en traînèrent à leur suite.

 Cet exemple global qui couvre tout le texte se trouve lui­même  renforcé par divers exemples : de type historique (mention de Bajazet et Tamerlan) ou de  type religieux (« chaque chef des meurtrier [...] invoque Dieu avant d’exterminer son prochain.  Voltaire procède dans son article « guerre » sur le mode de l’apologue mais au service d’un  raisonnement logique : de l’histoire avec un petit –h­ (l’anecdote) aussi bien que de l’histoire  avec un grand –h­ , il y a une leçon à tirer.  Ce corpus de trois textes montre bien l’étendue des moyens offerts aux auteurs pour faire 

est incontestable. Il trouve incontinent un grand nombre d’hommes qui n’ont rien à perdre ; il les habille d’un gros drap bleu à cent dix sous l’aune, borde leurs chapeaux avec du gros fil blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n’en traînèrent à leur suite. Des

Zankide et Ayyoubide. Unification Syrie/Egypte. -1096-1291 : Croisés -1401 :L’Envahisseur mongol Tamerlan. -De 1510 au XIXe siècle : Occupation des Turcs Ottomans. -Fin du XVIII siècle : Campagne Bonaparte Égypte, interventions militaires européennes. -1914-1918 : Première Guerre Mondiale Syrie soutenue par Britanniques. -Fin 1918 : Armée Britannique occupe la Syrie. -1920 : Faysal, roi de la Grande Syrie. -1925/1926 : Insurrection contre la présence française. -1932 : Première élections législatives

pas banale puisque la grande majorité des civilisations ont tendance à placer le militaire tout en haut de l’échelle sociale. Nous voyons d’ailleurs que c’est dans nos sociétés actuelles en pleine mutation, où le militaire, justement, se retrouve dans une position de plus en plus marginale, que la pensée de Sun Tzu nous parle. Il faudra d’ailleurs attendre la fin du premier millénaire de notre ère pour que L’Art de la guerre soit placé par les autorités chinoise au rang de grand classique, avec six