Tabou Inceste

Chapitre premier LA PROHIBITION DE L'INCESTE Nous connaissons le chemin parcouru par l'homme de la préhistoire, dans son développement, grâce aux monuments et aux ustensiles qu'il nous a laissés, grâce aux restes de son art, de sa religion et de sa conception de la vie qui nous sont parvenus soit directement, soit transmis par la tradition dans des légendes, des mythes et des contes, grâce enfin à la survivance de sa mentalité que nous pouvons retrouver dans nos propres mœurs et coutumes. En

enfants ? Dégagé de l’érotisme archaïque oralité et 2/Enfant personnage sexué se pose des questions sur la nature du lien La mère n’est pas seulement à lui, il faut la partager avec le père Il n’est pas l’unique objet de sa mère : implication INCESTE Il a des pensées incestueuses pour évincer le père L’interdit de l’inceste ce n’est pas le désir incestueux mais sa réalisation ( car le désir est indispensable à la construction psychologique de l’enfant .Jalousie amoureuse. 3/Le désir incestueux

expédié rapidement : phrases courtes et lapidaires , le présent de narration accentue ce fait : aucune digression alors que les actions narrées sont toutes exceptionnels graves on s’attends à des commentaires exhaustives : infanticide, parricide, inceste • Texte fait bcp d’ellipses temporelles( des années s’écoulent) • Indice du caractère du héros, ébauche du portrait qu'il souligne certaine qualités ( jeunesse, enthousiasme ) mais aussi un défaut que l'on retrouvera tout au long de la pièce

L’INCESTE * Question très difficile à aborder, qui nous concerne tous à un niveau archaïque. * L’épidémiologie ne concerne que les incestes révélés / Silence, honte, culpabilité. * Inceste père / fille : certains sont culturels, d’autres liés à l’histoire, la personnalité des parents à des éléments pathologiques. * La majorité des incestes concernent les filles (24 % de garçons) * Ils ne sont pas du tout l’apanage d’un niveau social particulier. * Les relations incestueuses

(proche) c’est-à-dire : des frères et sœurs, oncles, tantes, ainsi que les cousins, mais seulement quand il n y a pas des ascendants et en cas de démence des futurs époux. Enfin le ministère public peut faire opposition en cas d’intérêt d’ordre public (inceste, bigamie, mariage blanc et absence de consentement des époux). L’opposition est valable un an (176) après il est caduc. Si les époux ne veulent pas attendre ils peuvent demander la mainlevée de l’opposition devant le TGI, si on le refuse ils peuvent

(proche) c’est-à-dire : des frères et sœurs, oncles, tantes, ainsi que les cousins, mais seulement quand il n y a pas des ascendants et en cas de démence des futurs époux. Enfin le ministère public peut faire opposition en cas d’intérêt d’ordre public (inceste, bigamie, mariage blanc et absence de consentement des époux). L’opposition est valable un an (176) après il est caduc. Si les époux ne veulent pas attendre ils peuvent demander la mainlevée de l’opposition devant le TGI, si on le refuse ils peuvent

vaine b) Omniprésent « sans cesse » c) Incurable Récurrence du préfixe négatif : « inévitable », « incurable », « impuissants » Exclamation « d’un incurable amour, remèdes impuissants ! » : inutilité de ses tentatives III/ Disculpation de son inceste 1) Minimise sa culpabilité a) Devoir Reconnaissance rapide de sa faute dès le vers 2 Mais, se dit non coupable : « lois de l’hymen je m’étais engagée » c’est une malédiction, une fatalité b) Démesure Souffrance morale et physique mais pas sous

débarrasser de l’enfant sur le mont cithéron. Enfant trouvé en quête de ses origines : confié à 1 berger. Offert au roi de Corinthe. Il part à la recherche de ses origines et consulte l’oracle qui confirme la malédiction. Réalisation : meurtre du père, inceste, en essayant de fuir la malédiction. Révélation de son destin : il apprend la réalité. 7. Le choix de la dramatisation Réécriture du mythe, choix pour dramatiser à l’extrême. Malédiction individuel/familiale. Juste Œdipe ou son père qui s’attire

Griselidis :         Un riche, beau et puissant prince, aimé de ses sujets, refuse de prendre femme car il considère que les femmes sont des hypocrites qui ne présentent qu’un masque de ce qu’elles sont en réalité quand elles sont jeunes filles et qui, dès lors qu’elles sont mariées, montrent une tout autre personnalité. Par ailleurs, elles veulent toutes exercer leur pouvoir sur leur mari. Mais son peuple voudrait qu’il pense à sa succession et le supplie de prendre femme. Il accepte à condition

INTRODUCTION Phèdre est une pièce dont le personnage central est évidemment la femme animée d’une passion interdite avec laquelle elle mène un combat mortel. La pièce débute par une scène d’exposition, c’est ensuite le personnage d’Hyppolyte, objet d’amour qu’ignore encore le spectateur, qui apparait sous un jour incertain. C’est enfin la passion amoureuse elle-même, sujet tragique essentiel 17e siècle qui reçoit une définition contradictoire et entretient des relations complexes avec le langage