Système Pénitentiaire

Si la première maison d’arrêt à était crée en 1791, depuis se jour ne cesse de défilés des prisonniers. De siècles en siècles des poètes on partagé par écrit leur ressentis lorsqu’ils étaient enfermés. C’est pour permettre de découvrir les sentiments des personnes incarcérés, leur ressentis, leurs émotions et le tournant qu’a pris leur vie depuis la prison et le partager que j’ai choisit d’aborder se thème. Pour commencer l’anthologie, François Villon et sa ballade « La ballade des pendus

Commentaire de l’arrêt CE, 9 avril 2008, M. A. Introduction Une décision transfère M. A., détenu, de la maison d’arrêt de Fresnes au centre de détention de Caen (établissements pour peines). M. A forme un REP contre cette décision en vue d’obtenir son annulation. Il assortit ce recours au fond d’une demande de suspension, sur le fondement de l’article L. 521-1 du CJA (référé-suspension). Par ordonnance du 19 juillet 2007, le juge des référés du TA de Paris rejette sa demande de suspension

Thématique : Arts, Etats et pouvoir Domaine artistique : Art du language Problématique : Quels sont les derniers messages de Manouchian ? I. Introduction Cette lettre a écrite le 21 février 1944, par Missak Manouchian, un militant communiste arménien. Il faisait parti d'un groupe de résistants qui luttait pour la libération de la France. Il fut dénoncé et arrêté avec ses vingt-trois camarades suite à l'Affiche Rouge qui fut placardée partout en France où ils sont représentés comme des

législation, les différents concepts, notions et définition liés à notre problématique, les partenaires, les structures. Nous avons fait ce choix car « les alternatives de l’incarcération » est un sujet très vaste ainsi nous souhaitons présenter le système dans toutes ces dimensions ( aspects, difficultés…) afin de montrer que même lorsque la personne est dehors, elle est enfermée, ainsi démontrer les aspects positifs et négatifs. Suite à ces différentes recherches, la seconde phase d’exploration

Littérature Analyse  Jean Genet : Je vais tout d’abord tenter d’analyser, au niveau du fond et non de la forme, les écrits de Jean Genet. Pour cela, je vais approfondir certains points caractéristiques qui touchent à l’univers sensoriel de la prison dans laquelle il gravite. Je tenterai donc de définir et d’appuyer les indistinctions que Jean Genet n’arrive pas à établir entre le lieu dans lequel il évolue et les personnages y séjournant, la relation de sécurité qu’il développe avec l’univers

qu’ignorer la réalité, en gros la République s’en contre-fiche. Mesdames, messieurs et les membres du jury, il y a tant à dire mais il y a surtout à faire. Premièrement, il est urgent de doubler le nombre de travailleurs sociaux dans les services pénitentiaires. Car ils ne sont pas assez nombreux pour faire correctement leur travail. Deuxièmement, il ne faut pas incarcérer plus de détenus qu’il n’y a de places dans chaque établissement pour éviter la surpopulation. Troisièmement, il faut punir différemment

existentialiste en sanctifiant son geste, revendiquant ainsi une asocialité profonde. Il fugue et, à treize ans, est séparé d'office de sa famille d'adoption pour suivre une formation de typographe. Fuguant à nouveau, il est enfermé dans la colonie pénitentiaire de Mettray, où se cristallisent ses tentations homosexuelles ainsi que toute la liturgie de domination/soumission, la hiérarchie masculine et virile et la féodalité brutale qui en découlent à ses yeux. Il quitte les lieux à dix-huit ans, s'engage

Histoire des Arts John heartfield – «N'ayez pas peur il est végétarien»1938 I- Présentation de l’œuvre et de l'artiste, la nature et la date de réalisation de l'oeuvre. Il s'agit d'un photomontage politique réalisé par John Heartfield publié dans la revue Regard , le 7 mai 1938 . Éléments biographiques de John Heartfield : John Heartfield est né à Berlin-Schmargendorf le 19 juin 1891 et est mort à Berlin le 26 avril 1968 , il était un artiste Allemand reconnu . Il était un acteur

une densité égale ou supérieure à 200 %. Alors qu’on pourrait légitimement croire que le taux de suicide augmente parallèlement à celui de l’incarcération, l’INED nous affirme le contraire : « Alors que le taux d’occupation des établissements pénitentiaires diminue au début des années 1990, le taux de suicide augmente. Et lorsque le taux d’occupation augmente à partir de 2002, celui du suicide a tendance à diminuer. » Alors comment expliquer ce phénomène ? Il est évident qu'une multitude de facteurs

détenus certaines personnes veulent favoriser la priorité à la construction de nouvelles prisons, à la surveillance et à la sécurité et pensent que le suivi de la réinsertion est voué à l'échec. La réalisation de cette mission confiée au service pénitentiaire n’est pas reconnue de nos jours comme une réelle priorité. Or, la construction de nouveaux établissements comme réponse à la crise apparaît pour d’autres avis clairement comme une fausse solution. Ainsi, le manque structurel de moyens et de personnels