Système européen de transfert et d'accumulation de crédits

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Systèmes Productifs Locaux (SPL) et Développement Local: Transfert de Technologie et Rôle des Institutions (Version Préliminaire) Par Houda Belkhiria Layali PS2D, FSEGTunis Houdabl@yahoo.fr & Mariem El Khal Letaîef PS2D, FSEGTunis myriamekl@yahoo.com 22-23 Juin 2006 Sommaire Introduction PARTIE I- Le Cadre Théorique Des Districts Industriels I- Les districts: concept et caractéristiques 1-le concept de district industriel 2- les différentes formes de district 3-Les relations interentreprises

d’affaires (cycles majeurs). Ils ont une durée moyenne de 10 ans. L’élément central pour étudier le cycle de Juglar est le crédit bancaire. Effectivement, le crédit bancaire se développe de plus en plus rapidement durant la phase d’expansion jusqu’au moment où les banques sont incapables de rembourser leurs créanciers. Les banques ayant utilisé l’argent déposé pour financer des crédits, celui-ci est indisponible, et les déposants inquiets vont tous demander leur du en même temps. Cela entraîne immédiatement

régaliennes :  La police (maintenir l’ordre public).  L’armée (maintenir la protection du pays).  La justice ‘réguler les litiges entre les individus). H8 : La propriété privée des moyens de production. C’est un droit sacré et inviolable. Le système capitaliste va permettre aux individus d’accéder à la propriété privée et surtout d’entreprendre. (ouvrage qui relate cette hypothèse : « les bas fonds de GORKI). H9 : La monnaie est neutre. Elle sert simplement d’intermédiaire, elle n’a aucun

activité économique caractérisée par le risque, elle présente certaines particularités propres étant donné qu’elle fait intervenir des acteurs économiques (importateur, exportateur, ménages et banques) appartenant à des pays différent ayant des système économiques ,politiques ,juridiques et culturels parfois très distincts. Ces facteurs doivent être pris en considération lors de l’élaboration du contrat entre l’importateur et l’exportateur en vue de définir les moyens de paiement les plus appropriés

marchés et modifier comme il leur convenait les termes de l’échange. La mondialisation que nous avons connue depuis près de quarante ans a résulté de la combinaison de la globalisation financière, qui s’est mise en place avec le détricotage du système hérité des accords de Bretton Woods en 1973, et de la globalisation marchande, qui s’est incarnée dans le libre-échange. À chacune de leurs étapes, ces dernières ont imposé leurs lots de violences et de guerres. Nous en voyons aujourd’hui le résultat

l’évaluateur et le créateur. Deux méthodes intéressantes vu la dimension globale et multidimensionnelle sur lesquelles elles se basent : I. METHODE D’EVALUATION DES PROJETS INNOVANTS (EPI) : Elle se base sur le principe d’accompagnement. Ce système d’accompagnement vise à faire converger entre deux visions : celle de l’analyste qui cherche la max des informations pour défendre l’idée du créateur, et celle du porteur du projet qui veut mesurer l’ampleur de réussite. Cette approche est constituée

la baisse du taux d’épargne est restée bien inférieure à la diminution du taux de croissance, donc on a assisté à une accumulation tendancielle du patrimoine des ménages. L’accumulation patrimoniale s’inscrit également dans le cycle de vie : si le crédit ne leur est pas rationné, les jeunes adultes dépensent plus qu’ils ne gagnent. En conséquence, comme l’a montré Modigliani (1986) un déplacement de la pyramide des âges peut élever ou abaisser le taux d’épargne moyen. D’où l’effet du baby-boom et

acceptables -permettant à un nombre croissant de passer d'une situation de précarité, d'insécurité, à une situation de satisfaction des besoins fondamentaux. -la mise en oeuvre d'organisations, d'institutions et de régulations permettant de piloter des systèmes Cause du sous-développement et théories du développement La question générale ici : comment expliquer les écarts de dvpt entre les pays ? Cela soulève des explications historiques : pourquoi l'Europe s'est développée en premier

d’incitation au développement du risque systémique ............................................................................ 14 2. Une étude du risque systémique par activité ................................................................. 15 2.1 Le crédit................................................................................................................... 15 L’intermédiation classique .............................................................................. 16 La titrisation ....