Synthèse Vulgarité

désordre quelque peu érotique. - Ambiguïté au V.25, " je suis " connoté le refus de prendre sa place dans l'ordre établie. 2) Un langage poètique comme châtiments social a) Le Choix de la vulgarité - Choix de mot vulgaire -> " brins " (V.19), " bedaines " (V.18), " bouffis " (V.10 ), " balancer " (V.6), " Les rondeurs de ses reins " (V.17), ( V.9/11) -> " couacs " rime avec " "cornacs ". b) Un poète aux enjambement scandaleux - Les

faire avec, hein ? » Et enfin dernièrement les nombreuses grossièretés : « Jouer la bonniche ta godiche de sœur » ou «  On veille sur toi et tu peux faire toutes les conneries que tu veux. » qui permettent à Elisabeth d’évacuer sa peine, car la vulgarité c’est l’argument de ceux qui n’en ont pas. Mais, cette scène vire au pathétique. Le registre pathétique comporte premièrement susciter l’émotion des spectateurs. A travers la colère d’Elisabeth, les spectateurs découvrent le sentiment d’injustice

réalise « toute la vulgarité de mon geste et j'ai honte ». la conscience face a autrui a honte car elle réalise et prend conscience du geste. Il n'y a donc pas de honte sans autrui. Dans la deuxième partie de « il est certain que » a « c'est comme l'objet que j'apparais a autrui ». Sartre nous explique le sentiment de honte et le rôle d'autrui dans son apparition. La honte est le sentiment qui nous envahit lorsqu'autrui nous surprend. Sartre nous dit alors que « la vulgarité de mon geste » m'apparait

en payera sa délicate vie. Voyez-vous cet indigne être qu’est Mme Duchesne, avait évidemment tout un plan derrière la tête. 
D’une part, réveiller l’animalité de M. Duchesne en commençant par lui montrer ses jambes ce qui est bien entendu d’une vulgarité extrême. Ce n’est pas tout elle a osé l’embrasser sous le nez de son propre mari qui s’était assoupi quelques secondes ! Laurent en simple peintre plein de naïveté ne vit pas la chose venir. Ensorcellé par cette sorcière, il a agit comme si elle

rendre joyeuse : 'Napoléon, mon cul, il ne m'intéresse pas du tout,cet enflé, avec son chapeau à la con.' Elle s'exprime de façon féroce, dénigre tous ce qui ne l'intéresse pas c'est à dire, ce qui ne considère pas le métro : elle fait preuve de la vulgarité d'un jeune enfant boudeur et capricieux. Elle ne semble pas non plus faire de différence entre le langage qu'elle devrait utiliser avec les adultes et celui avec lequel elle s'exprime pour s'addresser à ses ainés. Elle leur parle à tous les deux

personnages. Yasmina Reza utilise, dans sa piece de théâtre, des procédés comiques : comique de situation et comique de langage Dans la suite du commentaire, nous étudierons la portée satiriques de cette pièce. Yasmina Reza met sur le devant la vulgarité des deux couples. Elle veut nous montrer une situation vécu auparavant (Annette avait vomi sur les livres d'arts), « ça vous a requinquée de dégobiller ». En effet, les mots utilisés par les personnages sont très familier « ces deux petits con »v

« honte », attestent spontanément de la présence d'autrui à ma conscience. Le sujet découvre les autres « comme la condition de son existence » (...) L'homme isolé peut commettre un acte vulgaire sans pour autant se juger, se questionner sur la vulgarité de son geste. Le geste est effectué dans le mode du pour-soi, dans le rapport de soi à soi-même. L'homme accompagné va éviter ce genre de gestes. En effet, la différence qui existe entre ces deux situations, est que l'homme accompagné sait que les

premier temps Sartre décrit une expérience vulgaire ou maladroite sans avoir conscience de vulgarité ou de maladresse. Par exemple lorsqu'on regarde à travers le trou d'une serrure, le but de l'action est de comprendre ce qui se passe derrière cette porte on ne réalise pas la vulgarité du geste. C'est se qu'appelle Sartre le mode du pour soi. Soudain je constate que quelqu'un m'a vu et je réalise la vulgarité du geste, j'ai donc besoin de l'autre pour comprendre la porté de mon geste. La honte est

La vulgarité veut dire étymologiquement : ce qui vient du peuple, c'est donc ce qui est commun, familier, éventuellement grossier, il vient du latin "vulgus" qui signifie "bas peuple". Sous l'Ancien Régime, l'expression " vulgaire " était utilisée pour désigner les hommes du peuple qui n'avait pas acquis les bonnes manières propres à l'élite. On peut donc se demander si la vulgarité est une question de classe sociale. Nous allons commencer par définir les termes de la question : La vulgarité c'est

d’abord grâce à un sujet trivial, voire vulgaire et moderne que le roman réaliste reflète la réalité. En effet, dans Yvette, Maupassant met en scène des hommes buvants, s’amusants avec des prostituées les provocants, nous pouvons donc constater la vulgarité du sujet. On peut aussi retrouver la modernité dans le lieu de l’action. Effectivement l’histoire se déroule sur une guinguette, lieu très à la mode au XVIIIème siècle, utilisé comme divertissement le dimanche. Il en est de même pour La Bête Humaine