Symbolique du cheval

des pattes comme étrangers à la tête et au poitrail dans la lumière, la queue flottant en bannière victorieuse, signent une force brute et dominatrice. Il est le triomphateur.  Voyeur à l'œil glacé et se repaissant de la scène, le taureau regarde le cheval agonisant, le soldat gisant à terre. Pour Picasso, il est aussi concerné par la barbarie destructrice de la guerre et, en un sens, il en est une autre victime. Cette dualité est suggérée par l'opposition ombre/lumière de l'image du taureau. Les lames

contrastes violents et aux couleurs peu. Cette absence de couleur évoque la mort, à la fois la mort des victimes et la mort de la civilisation. Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation

: " Ferme la porte, Suzanne et Conte-moi tout " A la scène 4 : " Je vais fermer la porte ". Elles veulent conspirer contre le Comte et c'est là que le complot se construit. Seule Chérubin est là pour être déguisé en femme. 2°) Les éléments symboliques a ) Le cachet C'est le cachet qui doit être remis sur le brevet de Chérubin pour qu'il devienne officier. Sans ce cachet, le brevet n'a aucune valeur officielle. Chérubin va donc avoir un statut alors qu'il n'en avait pas jusque-là. De même

cavaliers. Ces derniers vont devoir subir un entraînement particulier, qui impliquera probablement plus que l'apprentissage des connaissances techniques nécessaires au maniement de chevaux militaires. Le langage de la cavalerie deviendra très différent de celui de l'infanterie. Une terminologie sera édifiée en référence aux chevaux, à leurs caractéristiques et à leur utilisation, ainsi qu'aux situations qui surgiront dans la vie du cavalier. Cette terminologie n'aura aucun sens pour le fantassin. La cava­lerie

partie supérieure la souffrance. Enfin a l'arrière plan la forme est géométrique où sont les batiments effondrés. · Les personnages: (tous les personnages animaux et humains, et les objets ont une interprétation symbolique) - Le cheval: simbolise le peuple espagnol républicain, le cheval est blessé par une lance, comme J.C. Sa langue et ses dents sont remplacées par des couteaux et des lames de rasoirs signifiant la souffrance. Entre ses pates le soldat mort qu'il protège. - Le taureau: simbolise

des conflits humains. Il représente cette horreur grâce à l'emploi de formes très crues montrant la cruauté humaine. Guernica est une huile sur toile mesurant 7 m 52 de long sur 3 m 51 de largeur. Le tableau est composé de couleurs monochromes symboliques. La toile est découpée en plans triangulaires. Ce tableau fut longtemps conservé au Museum of Modern Art de New York mais en 1981, il retourna en Espagne au musée du Prado. Il se trouve aujourd'hui au Musée de la Reine Sophie à Madrid. Description

4) L’analyse de l’œuvre La composition est réalisée en noir, gris et blanc, couleurs du deuil, de la mort, de la tristesse mais elles évoquent aussi les unes des journaux par lesquels Picasso a appris la nouvelle. Le corps du cheval strié de petits traits noirs rappelle d’ailleurs les caractères typographiques des articles de presse. Certains personnages sont peints avec des yeux en forme de larmes, ce qui renforce l’impression de tristesse de l’ensemble.

l'intelligence du marquis qui lit Voltaire, alors que Voltaire, précisément dans La Princesse de Babylone, ne se pose guère en défenseur de la monarchie absolue. On note aussi la présence d'employés, comme Julien qui est secrétaire, l'usage banal du cheval comme loisir et signe distinctif de classe : la promenade au bois de Boulogne était effectivement un rituel aristocratique des plus courus. On observe également une vie mondaine toujours très active : Norbert se prépare aux conversations du soir

l'œuvre: a) dans le triangle central: figure centrale de l'œuvre : le cheval: symbole du peuple martyr animal poignardé: naseaux dilatés, gueule ouverte, dents et langue visibles Figure féminine qui accourt et dont le visage entre dans la lumière alors que les jambes sont dans l'ombre du côté du tableau. Elle semble vouloir secourir le cheval agonisant sous les pieds du cheval , sur le sol, corps d'un combattant mort et démembré: tête et bras

de Hans est constituée par la peur d'être mordu par un cheval blanc. Le père s'employant à faire parler son fils, note que cette peur « semble être en rapport d'une façon quelconque avec le fait d'être effrayé par un grand pénis ». Nous savons, par une observation antérieure, que Hans avait remarqué dans la rue le grand pénis des chevaux et qu'il en avait conclu que sa mère, grande elle aussi, « devait avoir un « fait-pipi » comme le cheval ». Freud pense alors que ce n'est pas le grand pénis qui