Sylvie Brunel

modestement ( Magrèbe ) et se qui demeure dans une grande pauvreté, incapable de sursaut économique et social ( Afrique Subsararienne ). Comment les pays du sud apportent-ils des réponses au défi du développement ? Selon la géographe Sylvie Brunelle les pays en voie de développement on comme écueil ( problème ) de connaître une transition démographique inachevée et donc une croissance humaine forte. Ceci n'est pas nécessairement un desavantages car la jeunesse de la population induit une

alimentaire pour les autres, les OGM qui sont déjà largement diffusés sur le continent américain font débat et constituent un formidable enjeu géostratégique pour l’agro-industrie américaine. III. BIBLIOGRAPHIE ET RESSOURCES DOCUMENTAIRE • Brunel Sylvie : Nourrir le monde, Vaincre la Faim, Larousse, 2009 • Charvet Jean-Paul, L’agriculture mondialisée, dossier n°8058, Documentation photographique, septembre-octobre 2007. • Charvet Jean-Paul (dir.), Nourrir les hommes, Sedes, 2008 • «

alimentaire pour les autres, les OGM qui sont déjà largement diffusés sur le continent américain font débat et constituent un formidable enjeu géostratégique pour l’agro-industrie américaine. III. BIBLIOGRAPHIE ET RESSOURCES DOCUMENTAIRE • • • • • • Brunel Sylvie : Nourrir le monde, Vaincre la Faim, Larousse, 2009 Charvet Jean-Paul, L’agriculture mondialisée, dossier n°8058, Documentation photographique, septembre-octobre 2007. Charvet Jean-Paul (dir.), Nourrir les hommes, Sedes, 2008 « Banane antillaise

révolutionnaire et non-réformiste, doublée d'un anti-humanisme prononcé. Jean Bastaire voit l'origine de la crise écologique chez Descartes selon qui l'homme devait se « rendre comme maître et possesseur de la nature »30. Au contraire, la géographe Sylvie Brunel critique le développement durable, car elle y voit une conception de l'homme comme un parasite, et la nature comme un idéal. Or, pour elle, l'homme est souvent celui qui protège la biodiversité, là où la nature est le règne de la loi du plus fort

natures. Si l'on execpte de rares exceptions, l'Afrique reste dépendantes des exportations de mat pre et comme l'écrit G Courade, " l'industrialisation africaine est mal partie. S'y expriment avec force les handicaps africains combinés". Pour Sylvie Brunel, l'Af est soumise à trois risques majeurs : celui relatif à l'eau, aux déficiences agricoles, au siade qui se révèle etre un fléau démographique et économique majeur. Le pb de l'accés à l'eau se pose en terme de quantité et de qualité, il peut

faim n'est pas dû à un manque de ressources, mais à une mauvaise répartition de celles-ci. Si les productions étaient également réparties entre tous les habitants, aujourd'hui, la planète aurait assez de ressources pour tous les nourrir. Selon Sylvie Brunel, géographe et économiste, « le problème de la faim est donc plus un problème de pauvreté et de répartition que de déficit de la production elle-même. En effet, si la production mondiale était également répartie, chaque être humain disposerait de

même sens? Sources : * Jean TARDIF Mondialisation Culture Francophonie Univ Lyon 3 2008 * Jérôme LOMBARD. Évelyne MESCLIER. Sébastien VELUT Éditeurs scientifiques. La mondialisation côté sud acteurs et territoires. 2006 * Sylvie Brunel L'Afrique dans la mondialisation 2005 * Jean-Claude Shanda Tonme L’Afrique et la mondialisation 2009 * http://ethiopiques.refer.sn/spip.php?article625 * www.imf.org/external/np/speeches/1998/101698.HTM * www.unmondelibre

crédits aux petits exploitants notamment en Afrique subsaharienne) Utiliser les biotechnologies avec le souci de l’environnement Favoriser le reboisement associer au développement de l’irrigation B. Hojlo, Lycée louis Davier, Joigny, d’après Sylvie Brunel ; Nourrir les hommes, stage Lycée Carnot Dijon 2006 et colloque Se nourrir ; cercle Condorcet d’Auxerre - nov 2008 et site FAO.org CONCLUSION LE MONDE POURRAIT NOURRIR LE MONDE Oui, la planète pourra rassasier 9 milliards d'hommes en 2050

Nature par la volonté de l’Homme de se rendre maître et possesseur de celle-ci. Il faut ajouter que le développement durable ne fait pas que des adeptes, il existe de nombreuses critiques et nous allons vous en livrer quelques unes. Une géographe Sylvie BRUNEL a émit l’idée que le développement durable plaçait l’homme dans une position de parasite et la Nature comme un idéal alors que l’homme protège la biodiversité contre la loi de la Nature qu’est la loi du plus fort. Il engendre des dégâts d’une part

seulement n’atteignent pas les populations les plus pauvres, mais encore n’atteignent pas leurs objectifs. Des usines construites n’ayant jamais fonctionné pour diverses raisons font que des pays paient pour des projets qui ne produisent aucun bénéfice. Brunel mentionne dans son livre que «Une étude réalisée en 1985 montre que, sur 343 projets de grande envergure, 195 fonctionnaient mal et 79 étaient purement et simplement arrêtés.»[6] Ces projets ne servaient à rien sinon à alimenter la dette : pour les