Syllogisme Pascal Exercice De Logique

| |VI- La Conclusion | | |Exercices | | |1) Des textes suivants, lesquels sont philosophiques

I. Les sciences déductives [la démonstration] 4 A. La logique 5 1. Présentation 5 a. La logique d’Aristote 5 b. Gottlob Frege 7 c. Le formalisme logique 7 2. Vérité et validité 8 3. Les limites de la démonstration 9 4. Les « premiers principes », ou principes logiques 9 5. L’intuition, principe des principes 10 6. La logique ne dit rien sur le monde 10 7. La valeur de la logique 11 B. Les mathématiques 11 1. Présentation 12

centrale : « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent » (Méditations Métaphysiques 2) Le philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît

est mortel  NB : ce serait un raisonnement non valide si on avait dit " nombreux " au lieu de " tous les ".  En général, on dit que la déduction est un raisonnement seulement formel, i.e., qui n'a rien à voir avec le réel ; il est l'objet de la " logique ", science du raisonnement. Ce que ne permet aucunement de savoir la déduction, c'est si les prémisses sont vraies ou non. Tout ce qu'elle nous permet de dire, c'est que si elles sont vraies, alors, la conclusion l'est aussi (i.e., de déduire des

est mortel  NB : ce serait un raisonnement non valide si on avait dit " nombreux " au lieu de " tous les ".  En général, on dit que la déduction est un raisonnement seulement formel, i.e., qui n'a rien à voir avec le réel ; il est l'objet de la " logique ", science du raisonnement. Ce que ne permet aucunement de savoir la déduction, c'est si les prémisses sont vraies ou non. Tout ce qu'elle nous permet de dire, c'est que si elles sont vraies, alors, la conclusion l'est aussi (i.e., de déduire des

tromper. Troisième niveau concerne les effets du discours. Si l’on reprend l’exemple de Kant, le mensonge de l’hôte produit quelque chose. Contrairement à ce que l’on pense souvent, il est aussi ce qui change cette réalité. Eric Weil : « Logique de la philosophie » : l’autre de la vérité n’est pas l’erreur mais la violence. La vérité ne va pas être la réalité mais un certain type de discours relatif à cette réalité. Une sorte d’antidote à la violence. Faire exister des divergences sans

l’entendement qui produisent les concepts. | |absurde |Qui est contraire à la raison, qui s’oppose au bon sens. | | |La logique distingue le faux de l’absurde. Un raisonnement absurde renferme une contradiction interne, alors qu’un | | |raisonnement faux n’est pas nécessairement contradictoire.

mortel NB : ce serait un raisonnement non valide si on avait dit " nombreux " au lieu de " tous les ". En général, on dit que la déduction est un raisonnement seulement formel, i.e., qui n'a rien à voir avec le réel ; il est l'objet de la " logique ", science du raisonnement. Ce que ne permet aucunement de savoir la déduction, c'est si les prémisses sont vraies ou non. Tout ce qu'elle nous permet de dire, c'est que si elles sont vraies, alors, la conclusion l'est aussi (i.e., de déduire des

identité. Identification du droit. 2° D'où vient-il? Son origine. La création du droit. 3° Que dit-il? Son sens. L'application du droit. *** Titre préliminaire: Identification du droit Mettre en lumière le droit, ses caractères. Nous mèneront cet exercice de discrimination en distinguant le droit objectif, c'est-à-dire l'ensemble des règles étatiques qui gouvernent les rapports des hommes entre eux, et les droits subjectifs, c'est à dire les pouvoirs dont chacun d'entre nous peut être titulaire.

seul dans la réalité, la pensée abstraite ne tient pas compte du concret. 4 Chez Kant, l’abstraction fait partie des actes de l’entendement qui produisent les concepts. | absurde | Qui est contraire à la raison, qui s’oppose au bon sens. 5 La logique distingue le faux de l’absurde. Un raisonnement absurde renferme une contradiction interne, alors qu’un raisonnement faux n’est pas nécessairement contradictoire. 6 Pour l’existentialisme, l’absurde est un concept central. Il caractérise l’existence