Surnaturel Au Theatre

colossaux, dans un univers immense où s'exercent encore des forces surnaturelles. Il vise a susciter essentiellement l'étonnement, l'effroi, l'admiration. Appliqué à des thèmes romanesques, théâtraux ou poétiques modernes, il se signale pas tous les procédés de l'agrandissement : pluriels, superlatifs, comparaisons & métaphores hyperboliques ; mise en mouvement de foules, espaces aux dimensions cosmiques, évocations surnaturelles. Le registre lyrique : Le mot « lyrique » qualifiait

strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. Les romantiques sont considérés comme des révolutionnaires de l’art : bouleversement complet des règles et des unités. L’art exprime la notion d’indépendance, d’individu, le « moi ». La notion d’individu se trouve en musique, en littérature, en

dans un pays froid, ils n’attirent pas notre sympathie. Nous ne participons pas à leur vie et leurs émois. Les héros atteignent le merveilleux au terme d’un long voyage ; mais ce merveilleux, qui va de soi, n’est pas l’irruption inexplicable du surnaturel dans la nature. La fantaisie s’y déploie librement. Le récit fantastique, au contraire, aime nous présenter, habitant le monde réel où nous sommes, des hommes comme nous, placés soudainement en présence de l’inexplicable. Alors que le féerique

idées, qui dénonce violemment une situation.. * Figures d’opposition (notamment l’antiphrase) * Exagérations ou atténuations inattendues Registre merveilleux :On parle de merveilleux lorsque le surnaturel se mêle à la réalité. À la différence du registre fantastique, la présence du surnaturel est acceptée comme telle par le lecteur (par exemple dans les contes de fées). Le merveilleux, parce qu’il introduit le lecteur dans un univers non conforme au réel, étonne et dépayse. * Événements

Lecture analytique : Dom Juan, Molière Acte IV, scène 3 : la visite de M. Dimanche Molière, sous son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est l'un des plus célèbres hommes de théâtre du XVIIe siècle. Sous le règne de Louis XIV, il a été auteur, dramaturge, comédien et directeur de sa troupe « L'illustre théâtre ». A partir de L'École des femmes en 1662, il écrit des comédies qui font rire, tout en critiquant certains travers humains et sociaux, ce qui lui vaut des inimités notamment auprès du clan

l'Illusion Comique écrite par Corneille en 1635-1636. Si ce dramaturge s'est illustré par de nombreuses pièces classique ex : Le Cid, Cinna il reprend ici les thèmes appartenant au baroque: les caractéristiques de l'illusion , du théâtre dans le théâtre et le respect des règles du théâtre commun à ces 2 mouvements afin de constituer son œuvre.Dans cette pièce Corneille met en scène beaucoup de personnages pour cette époque. Celle-ci raconte l'histoire de Pridamant, un père qui part à la recherche de son fils

Moderne ». Tous ces supports ont un même thème : Paris. 1-Dans les extraits de roman et dans le dessin de Rops, nous pouvons observer beaucoups d'éléments du surnaturel et du fantastique. En effet, dans le texte A, l'auteur compare Paris à la vie des gens supérieur « ligne 2 », puis à la capitale du monde intellectuel mais aussi à un théâtre « ligne 3 ». L'auteur ne voit en Paris qu'un lieu de réussite « rapprochez vous de la cour et du pouvoir » où l'on rencontre les futurs grands hommes du XIXème

L’angoisse y est présentée comme le point culminant de cette souffrance, provoquant une véritable hallucination dans le cadre banal qu’est la rue. Ce poème se lit un peu comme une nouvelle ou un conte fantastique d’Edgar Poe : la ville devient le théâtre d’un cauchemar éveillé. Problématiques : ( Montrez que ce poème s’apparente à un conte fantastique. ( Comment le poète transforme-t-il la réalité en fantasmagorie? ( En quoi ce poème est-il

Le théâtre, dans son texte et dans sa représentation, est peut-être le genre littéraire le plus conventionnel et semble, par ses artifices matériels et ses conventions, nous écarter du réel et de la vérité. Les termes métaphoriques « jeu » et « jouer » qui font partie du vocabulaire dramatique, indiquent bien ce côté factice et illusoire. Mais le théâtre est-il seulement artifice et conventions, qui, paradoxalement, créent l'illusion théâtrale à laquelle le spectateur aime se laisser prendre ? Ou

l’absurde. Il s’exprime dans tous les genres littéraires aussi bien au théâtre que dans le roman ou la poésie. | * Jeux sur le langage : mots, sons, sens * Répétition de situations ou de gestes * Exagération * Quiproquos * Absurde | Le Registre tragique | Il suscite une impression de terreur et de fascination devant la force d’un destin implacable qui frappe les personnages. Il s’exprime particulièrement au théâtre à travers des situations extrêmes marquées par la présence de la mort