Sur Quoi Se Fonde La Morale

reposé sur un fondement. Déf : il faut distinguer légitime et juste : · Juste est ce qui est conforme à la justice, à l’équité, mesuré et proportionné, lié à la morale. Juste renvoie à une conception morale de la justice et à l’idée de conformité aux règles· Légitime est ce qui est fondé en droit juridiquement, consacré par le droit. Contexte  : un monde qui se veut de plus en plus pacifique mais un monde occidentale qui se voit de plus en plus confronté à une

Sujet : Suffit-il pour être juste, d’obéir aux lois de son pays ? Introduction « Obéir aux lois et aux coutumes de son pays» est la première maxime de la morale provisoire de Descartes, laquelle recommande le conformisme comme respect des pratiques collectives et des règles établies. Selon cette morale, la meilleure conduite à adopter, c’est-à-dire, la conduite la plus juste, consiste à se conformer aux lois positives parce qu’elles ont pour fonction la réglementation des relations entre

si la science peut faire mieux. Aujourd’hui, la science, la philosophie et la religion font de grands débats. Les gens argumentent sur celle-ci en ne sachant plus sur quoi se baser pour vivre. Les trois domaines se touchent parfois, mais c’est justement ça qui cause le problème. La société d’aujourd’hui ne sait plus sur quoi se baser pour fonder leurs valeurs et leurs principes. Un texte religieux ne peut pas être compris comme la source de notre moralité. La science peut faire mieux, mais elle

refuser de reconnaître ce qui fait d’abord l’objet d’une affirmation. Il en est bien ainsi de la responsabilité humaine. Son principe est communément admis. Elle définit une capacité morale, une obligation et un état juridiquement institué. Or cette présomption de responsabilité est-elle légitime ? Sur quoi se fonde-t-elle ? N’est-il pas possible d’en ébranler les assises ? Par exemple, si l’on admet avec Freud que « le moi n’est pas maître dans sa propre maison », que la souveraineté de la conscience

lui-même comme sujet, capable non seulement de dire Je, mais surtout de se représenter lui-même en pensée comme un sujet. Cette conscience fonde selon Kant une transcendance de l’homme sur tous les êtres vivants sur la terre. Ce texte possède donc un sens anthropologique : il s’interesse à ce qui distingue l’homme des autres vivants, afin d’expliquer en quoi consiste l’humanité de l’homme. Il faut s’interroger sur les fondements de cette distinction en examinant l’argumentation de Kant dans la première

Cours morale et politique: « peut-on désobéir aux lois ? » 1 On peut d’abord partir d’une définition très générale du mot de « droit » : le droit c’est la latitude de liberté que vous laisse la loi à l’intérieur d’une société gouvernée par un Etat ; le droit limite nos libertés afin qu’elles ne se détruisent pas l’une l’autre (sous-entendu : la liberté sans limite mène au chaos ; homme = non naturellement sociable, etc.). Fonction : ordre social. Nécessité sociale. Le droit à travers la loi

manque pas de me positionner par rapport à la loi. La désobéissance ratifie la loi comme référence en refusant de s’y conformer. Si donc la désobéissance suppose la loi ou la règle et si elle ne peut devenir loi ou règle, alors elle ne saurait être fondée que dans quelques cas exceptionnels, ainsi elle relève d’une casuistique, en outre elle ne saurait l’être pour elle-même. Bref, on ne désobéît pas pour désobéir. Concluons donc provisoirement que la désobéissance ne saurait avoir qu’un fondement

ne manque pas de me positionner  par rapport à la loi. La désobéissance ratifie la loi comme référence en refusant de s’y conformer.  Si  donc la désobéissance  suppose la loi ou  la  règle  et  si  elle ne peut  devenir loi ou règle, alors elle  ne  saurait  être  fondée  que  dans   quelques  cas  exceptionnels, ainsi  elle  relève  d’une casuistique,  en outre   elle ne saurait l’être pour elle­même. Bref, on ne désobéît pas pour désobéir.  Concluons  donc provisoirement que  la désobéissance ne saurait avoir qu’un fondement extrinsèque

Oral de philosophie 1. Qu’est-ce qu’une apologie? De quoi socrate était il accusé? C’est une défense, c.-à-d. : Socrate subit un procès, ses accusateurs l’attaquent et il va devoir se défendre. Il était accusé de corrompre la jeunesse Athénienne /de ne pas respecter les Dieux de la Cité, Athée (grave—Hérésie)/ introduction de nouvelles divinités 2. Qu’est-ce que la rhétorique? Désigne l’art de persuader du bien-fondé d’une thèse et de bien s’exprimer devant un auditoire ou interlocuteur.

Pouvons-nous néanmoins renoncer à l'usage de la raison lorsque les dogmes professés dans les textes religieux et les pratiques recommandées, voire imposées aux croyants, vont à l'encontre de ce qu'elle nous dicte, en matière théorique comme en matière morale? Si la religion trouve son sens dans la solution qu'elle propose à l'angoisse existentielle, comme justification et consolation d'une réalité douloureuse, ne faut-il pas aller jusqu'à mettre en question la religion elle-même, en montrant qu'elle n'est