Sur le processus de civilisation

comme la ville lumière et la capitale d’un territoire immense : la Méditerranée toute entière est romaine depuis 200 ans. Pour dominer tant de cités, Rome s’est nourrie de la grande vitalité africaine et il y a eu une grande alchimie entres les 2 civilisations. Au 2e siècle avant J.C, à Carthage, aux portes de l’Afrique (la rivale détestée de Rome) empêche ce dernier de régner sur cette grande Mer intérieure. Rome veut pourtant devenir les maîtres des routes maritimes pour entretenir un commerce avec

les hommes et surtout ravages réguliers du feu. 2. Une aire définie par une plante cultivée : l’olivier Des civilisations fondées sur la trilogie méditerranéenne, blé-vigne-olivier, associée à l’élevage ovin et à l’exploitation des produits de la mer Partout où l’olivier a pu croître, partout l’homme s’est efforcé de le planter pour l’exploiter. 2°) Un berceau de civilisations mais une floraison de cultures. a) Les facteurs d’unité La Méditerranée a vu naître & se dvper les gdes religions

pouvoir pour faire connaître Emma Goldman et Alexandre Berkman aux camarades de la nouvelle génération? Ce sera pour eux un enrichissement. May Piqueray L'individu, la société et l'Etat Le doute règne dans l'esprit des hommes car notre civilisation tremble sur ses bases. Les institutions actuelles n'inspirent plus confiance et les gens intelligents comprennent que l'industrialisation capitaliste va à l'encontre des buts mêmes qu'elle est censée poursuivre. Le monde ne sait comment s'en sortir

de Développement Humain, notion incontournable de l’économie contemporaine. L’œuvre étudiée ici, « la démocratie des autres », s’appuie sur des faits historiques afin de démontrer que la démocratie n’est pas uniquement un héritage des anciennes civilisations occidentales, et que les sociétés orientales, à leur manière, ont tout autant influencé cette organisation économique, politique et sociale. L’ouvrage s’organise donc en deux parties : Il explique premièrement les origines de la démocratie, puis

des Droits de l’Homme (différentes conceptions). page 6 Partie II, Le droit de l’hommisme un excès, une idéologie, un risque ? page 12 Partie III, Le droit de l’hommisme comme valeur hyper-occidentale critiqué par des civilisations non-européennes. page 17 Conclusion page 22 Développement Introduction, L’hégémonie grandissante des pays des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) tant sur un plan économique qu’aux niveaux des

donne lieu a une situation de carrefour. B) Une civilisation ? Doc 1 p 18: Quels éléments permettent de dire que l’Europe est une civilisation ? - L’ Europe est un produit de l’histoire, et il y a donc des points communs: - Influence gréco-romaine - Héritage judéo-chrétien - Europe des villes et des marchands du Moyen-âge - Héritage humanisme - Philosophie des lumières: Droit de l’homme -Civilisation industrielle et urbaine - Le système économique fondée

remise en cause (Asie ne se limite plus au Japon mais intègre l'Asie Orientale) = on parle d'aire de puissance - pays émergeants (BRICS): PIH/hab et IDH moyen, croissance rapide, de + en + présent dans les relations internationales Développement : processus d'amélioration des conditions de vie d'une population associé à un accroissement de richesse grâce à la croissance économique. Mondialisation : mise en relation

d’émancipation, émergence d’une voix, femmes ne possèdent que leur rhétorique question du mariage depuis le 17è est lié à la découverte de soi en tant que sujetidée que l’amour poli (enlève les mœurs)« l’Eros (l’amour) se civilise à mesure que la civilisation s’érotise »roman de mariage est une forme intime du roman d’apprentissagefaut-il se marier par amour ? Par convention ? Question du choix, de la libertéMadame de Staël met en avant la liberté individuellequel dialogue possible entre hommes et femmes 

culture à soi dans un « village planétaire1 » ? Si tel était le cas, quelles pourraient être les réactions de la culture dominée et comment parvenir à un dialogue, une communication basé sur un contrat culturel de l’éthique de la différence, une « civilisation de l’universel2 » ou alors une créolisation des cultures, pour aboutir à la « poétique de la Relation»3 glissantienne ? Telles sont donc, sommairement exposées, l’essentiel des articulations de notre réflexion tout au long de notre analyse. 1

mondiale, nombreux sont-ceux qui dénoncent une mondialisation incontrôlée, incontrôlable et généralisée. Derrière ce constat l’idée d’un monde uniformisé, voire unifié pointe. Pourtant, le monde est divers et divisé. La mondialisation qui est un processus complexe et ambigu, multiplie les flux et les échanges à l’échelle mondiale. Elle accroît les relations entre pays et donc l’interdépendance entre les diverses parties de l’espace mondial. Or, ces dernières n’ont pas la même influence dans les relations