Supervielle Chevaux Du Temps

les poèmes de: Pierre de Marbeuf, Le 18ème siècle avec les poèmes de: Jean-Pierre Clavis, André Chénier Le 19ème siècle avec les poèmes de: Charles Baudelaire, Louise Ackermann, Stéphane Mallarmé Le 20ème siècle avec les poèmes de: Jules Supervielle, Paule Éluard, Max Jacob Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d’usage et raison, Vivre entre ses parents

sujet : a) Questions de compréhension sur un texte : sur 15 points b) Réécriture et dictée : sur 10 points Il s’agit ici d’évaluer l’orthographe par un exercice de réécriture avec des consignes précises (changer de personne, de temps…), et ensuite par une dictée. c) Rédaction : sur 15 points Deux sujets sont alors proposés, au choix : - un sujet d’imagination - un sujet de réflexion, en lien avec l’initiation à l’argumentation faite dans les

cités Tout excitées On chante en fête Les oliviers sont bleus, ma p’tite Lisette L’amour est là qui fait risette On est heureux, Nationale Sept. Charles TRÉNET (né en 1913), Breton in A. Coelho « La Route enchantée. Itinéraire Trénet » (Le Temps singulier) La terre Envolez-moi au-dessus des chandelles noires de la terre. Au-dessus des cornes venimeuses de la terre. Il n’y a de paix qu’au-dessus des serpents de la terre. La terre est une grande bouche souillée : ses hoquets

devient « un minuscule voilier des airs malmené par le vent ». Dans « La valise », il transforme l’objet en un « reste de cheval », et cela nous paraît fortement probable. Nous pouvons aussi souligner le fait que la poésie classique s’est toujours inspirée en quelque sorte de son quotidien, Pierre Dalle Nagare a même dit : « Ecrire, c’est inventer le présent ». En effet, dans les temps antiques, la mythologie était omniprésente. La poésie était alors tournée vers les mythes ; Homère, dans son Odyssée

gde ville. Quel adverbe de lieu est répété plusieurs fois en début de vers ? Anaphore (répétition en début de vers) de l’adverbe « là » « là » (v. 23, 28, 31). Ne sait où donner de la tête. Plusieurs saynètes forment un tableau complet. Quel temps est utilisé pour les verbes ? Valeur ? Présent de narration « l’un me heurte » v.21, « je vois » v.22… Réalisme, dynamisme. Le lecteur a l’impression de vivre la scène ! Façon dont on parle des charrettes, des boutiques (v.10), des cloches (v.11) 

6. André Breton (1896-1966) ……………………………………………………….. 34 V. - Paul ELUARD …………………………………………………………………. ... 35 - le poème à commenter : Une et Plusieurs VI. - Jules SUPERVIELLE (1884-1960) ……………………………………………… 36 - le poème à commenter : Les chevaux du temps ………………………….. ………. 37 VII. - Francis PONGE (1899–1988) …………………………………………………. 38 - le poème à commenter : Le Cageot ………………………………………………. 39 VIII. - Henri MICHAUX (1899-1984)

sur la banalité du quotidien ? Autrement dit, peut-on faire la poésie de tout ? Doit-on privilégier la vision des Anciens ou celle des Modernes ? Dans un premier temps nous allons voir que les sujets quotidiens peuvent faire objet de poésie car le poète doit apporter sa sensibilité aux choses nouvelles. Puis, dans un deuxième temps, nous allons nous intéresseer à la conception des Anciens et en quoi elle se refuse à ces thèmes. Enfin, nous allons voir qu’Apollinaire justifie non seulement des thèmes

"enfant" --> Une description clinique -> Lexique du corps précis et détaillé II- Au service d'une argumentation qui ouvre sur réflexion plus longue --> Composition du texte -> Dimension autobiographique avec "je" -> Emploie des temps du récit imparfait/p.simple -> Emploie du CCL qui inscrivent l'action dans un cadre spatiotemporel -> Présent de vérité général -> Utilisation du "nous" qui généralise et implique le lecteur --> Référence à Circeron -> Utilisation

étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes n’étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés Dès que la main retombe il ne reste qu’une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un été La fuite monotone et sans hâte du temps. Survivre encore un jour, une heure, obstinément Combien de tours de roues d’arrêts et de départs Qui n’en finissent pas de distiller l’espoir Ils s’appelaient Jean-Pierre Natacha ou Samuel Certains priaient Jésus Jéhovah ou Vichnou D’autres ne

d’Edmond VANDERCAMMEN (l’eau) La Rose morte Encore une rose de Bohême Fanée à tes doigts, Sans que tu saches que l’on t’aime ; Encore une rose de Bohême Morte pour toi. Encore une heure vieillie, Encore une rose morte, Une rose que le temps emporte Sans que personne l’ait cueillie. Sais-tu, toi qui files ainsi le passé, Qu’à chaque heure une rose s’effeuille, Que chaque écheveau de chanvre blond tissé Te fait un cheveu blanc d’aïeule ; Que tous les damoiseaux ont trouvé fermé