Sujet Sur Un Fabliau

fable et la parabole. La fable se présente alors sous deux formes : - celles en prose, du grec Esope ( VIe s. av. JC) : Fables - et celles en vers du latin Phèdre (Ier s. ap. JC) : il en écrit environ 135, dont 47 prennent leur sujet à celles d' Esope. Les premières utilisent le plus souvent des animaux, à la place des personnages. On attribue des fables à l'indien Pilpay, auteur sans doute légendaire qui aurait vécu au III ème s. La deuxièmes sortes d'apologue est la

verbaux. - Comparer les registres de langue. Dispositif : salle de classe équipée d’un vidéoprojecteur ou de postes Internet. Activité 1 : mise en situation (vocabulaire) Distribuer la Fiche Élève 1. Demander aux élèves de définir les mots « fable » « fabliau » « fabuliste » « fablier ». Mettre en commun en distribuant éventuellement la Fiche Corrigé 1. Quel « fabuliste » connaissent-ils ? Activité 2 : compréhension orale Document 1 : lecture de la fable « La Cigale et la Fourmi » en format mp3 : www.litteratureaudio

la plus juste possible. Les trois genres L'essai est un texte de réflexion en prose, sans contrainte dans la forme, qui traite d'un sujet sans prétendre à l'exhaustivité. Il correspond à la transcription d'une opinion qui se construit. II s'oppose aux systèmes que l'on trouve dans les traités. La liberté de forme permet de proposer une exploration de sujets divers. Comme chez Montaigne, initiateur du genre, l'essai propose une suite d'expériences pour la réflexion, marquée par la diversité et

Attention, on peut aussi avoir plusieurs points de vue dans un même récit ! LA NOUVELLE La nouvelle remplace à la fin du Moyen Age le fabliau. Elle nous vient d’Italie. C’est un genre assez difficile à définir mais on peut retenir cependant certains critères : - C’est un récit bref par rapport au roman. Elle est faite pour être lue en une seule fois. La nouvelle a un sujet restreint : il s’agit de narrer un instant clé qui ne nécessite pas un long développement. - Le récit doit être rapide et resserré

dans leurs œuvres, argumentent leur point de vue sur l’altérité. En effet, ils ont différentes manières d’aborder le sujet. On peut alors se demander : si un écrivain, par ses œuvres, peut contribuer à l’amélioration de la société ? Tout d’abord, nous verrons comment l’auteur contribue à l’amélioration de la société avec des œuvres qui abordent, expliquent et dénoncent le sujet, puis nous étudierons la contribution de l’auteur à l’amélioration de la société avec des œuvres utilisant des stratégies

Attention, on peut aussi avoir plusieurs points de vue dans un même récit ! LA NOUVELLE La nouvelle remplace à la fin du Moyen Age le fabliau. Elle nous vient d’Italie. C’est un genre assez difficile à définir mais on peut retenir cependant certains critères : - C’est un récit bref par rapport au roman. Elle est faite pour être lue en une seule fois. - La nouvelle a un sujet restreint : il s’agit de narrer un instant clé qui ne nécessite pas un long développement. - Le récit doit être rapide et resserré

développement] Les écrivains ont incarné leurs idées dans des formes littéraires variées, des genres protéiformes comme l'essai, ou en s'appropriant et en renouvelant les genres déjà existants pour les adapter à leurs objectifs (du fabliau médiéval au conte philosophique, au dialogue, au pamphlet...). Si certaines périodes, comme le XVIIIème siècle, semblent plus propices au développement de la littérature philosophique, on la retrouve cependant à toutes les époques. Nous étudierons

 La Fable Qu’est-ce qu’une fable ? Le mot vient du latin fabula (du verbe fari « parler »), qui signifie récit, propos. Dès le XIIe siècle, le terme est utilisé pour désigner un récit imaginaire : une fable est une histoire. Le fabliau, quant à lui, est un petit récit satirique ou moral en octosyllabes, genre pratiqué au Moyen Âge. Il était destiné à être lu publiquement et à faire rire. Pour distraire, le récit se doit d’être vivant. La Fontaine utilise différents types de vers et fait alterner

aux enfants, un entretien entre des animaux, des hommes, voire des choses, d’où l’on tire une moralité sous une forme et un ton légers. La fable peut aussi signifier un simple récit imaginaire, la suite des faits qui construisent une histoire, le sujet d’un récit, et l’ensemble des récits mythologiques… Et l’on ne sera naturellement la fable de personne en affirmant que ce terme a bien des choses à voir avec l’humour ou la moquerie plus ou moins satirique. Enfin, la fable, souvent, est un mot qui

et les attentes qu'elles génèrent. Pour cela le narrateur choisit un type de narration capable d'entretenir le pacte de lecture (narrations antérieure, postérieure, simultanée). Parmi un ensemble souvent important de personnages, l'un d'entre eux (sujet ou individu problématique) poursuit une quête d'ordre varié autour de laquelle se définissent des adjuvants et des opposants (Stendhal, Le Rouge et le Noir ; G. Flaubert, Madame Bovary). Dès le XVII° siècle (Furetière, Le Roman bourgeois), le roman