Succès Et Echec Du Front Populaire

Il a notamment non seulement pas hésité à réprimer violamment toute révolte dans son propre pays, mais aussi aidé des pays étranger à faire de même. Il a prêté main-forte à la Prusse, à l'Autriche, à l'Empire ottoman pour réprimer des révoltes populaires dans ces pays. Ces interventions dirigées contre le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes valent à Nicolas Ier le surnom de « gendarme de l'Europe ». Nicolas 1er voulait procéder à des réformes, entre autres du droit de servage qui donnait

à Verdun. Bataille relayée par la presse. Pr les All il ne s’agissait pas essentiellement de prendre Verdun mais d’attirer forces frçses sur ce champ de bataille et de saigner à blanc grâce à supériorité en artillerie. Foch comprit, ne démunit pas front de la Somme + instruction aux défenseurs de Verdun de tenir ac le - d’hommes possible. P, qui prit le commandement vers fin février, acceptait mal limitation d’effectif. Il obtint de Joffre qu’on les renouvela souvent = « tourniquet des combattants »

l'expérience d'une occupation étrangère en 1914-1918. Aussi les débuts sont-ils souvent très humbles : refus muet, comme le décrit le Silence de la mer, de Vercors, publié clandestinement en 1942 ; gestes modestes et spontanés ou rassemblements populaires, par exemple à Marseille, le 27 mars 1941, devant la plaque commémorative de l'assassinat du roi de Yougoslavie (→ Alexandre Ier Karadjordjevic), laquelle vient de déclarer la guerre au Reich ; exécution de consignes lancées de bouche à oreille

communiste. Contrairement à tous les premiers partis politiques marocains, la puissance du PI fait un cas d’exception dans un pays sous tutelle française, fortement à laquelle plaide. Le PI réussit à s’imposer comme parti dominant avec une base populaire puissante, mais aussi comme parti unique dans un futur Maroc indépendant. Toute cette image est fondée par des moyens illégaux de l’enlèvement, la torture... des opposants au parti, des adhérents aux autres partis…. à l’instauration d’un enseignement

générale au mieux-être et au loisir, l’émergence enfin et la diffusion de techniques nouvelles, bouleversant radicalement les moyens de communication, caractérisent aussi cette évolution de la culture populaire. ► La presse est la principale bénéficiaire : naissance d’une véritable presse populaire à grand tirage - surtout représentée à Paris : les « cinq grands » : Le Petit Parisien, Le Journal, Le Petit Journal, Le Matin et L’écho de Paris. - Soutenus par des capitaux considérables - Diffusant

pour le monde par l’incapacité de maitriser. Ces puissances n’ont pris réellement conscience de la gravité de cet antagoniste en 1906, un moment où la Russie qui avait eu une défaite contre le Japon et la Russie focalise toute son ambition sur son front occidental. Les différents protagonistes, les torts sont partagés entre les différentes puissances et n’ont pas fait tout ce dont ils pouvaient pour éviter cet engrenage. L’Allemagne a laissé à l’Autriche une carte blanche pour régler le conflit serbe

symbole de la Belle Epoque + fabrication d’un modèle standard : l’hirondelle (3 millions en Fr) - Démocratisation des sports aquatiques (stations balnéaires anglaises, françaises) - Démocratisation mais reste dans une logique de classe (sports « populaires » : boxe ou cyclisme // « aristocratiques » : tennis etc.) et une logique de genre : sport reste un domaine masculin malgré des tentatives d’émancipations (Annette Kellerman, 1905 fondation des 2 premières sociétés féminines de natation). Démocratisation

Prusse). Bilan : Entre 1789 et 1870, la solution politique qui s’est imposée est celle du pouvoir personnel : les français restent donc très attachés à la monarchie. L’expérience républicaine n’a été tentée que deux fois, et les 2 ont connu des échecs rapides et similaires : émeutes parisiennes ou enterrement par des coups d’Etat. La république semble ingouvernable (système ingérable qui crée des blocages institutionnels majeurs). Tous les régimes qui se sont succédés ont conservé au moins une

leKPD et les syndicats(très à gauche à l‘époque),sur la reconstitution de l‘administration centrale à Berlin ,sur le manque de constance des occidentaux. La soviétisatin de l‘europe orientale Officiellement,on devait établir des « démocraties populaires » en Europe orientale.Ce ne fut qu‘à partir de l‘automne 47 et en 48 que les partis non communistes furent exclus du pouvoir et que les transformations selon le modèle soviétique furent lançées. Les élections libres n‘eurent pas lieu contrairement

combats se déroulèrent sur différents fronts qui se situèrent surtout en Europe, mais une petite partie de l’Asie et de l’Afrique, ainsi que l’Atlantique Nord subirent des conflits. Le front de l'Ouest était caractérisé par un ensemble de tranchées et de fortifications séparées par une aire surnommée le no man's land6. Ces fortifications s'étendaient sur plus de 600 kilomètres6, incitant à une forme de combats dénommée « guerre des tranchées ». Sur le front de l'Est, l'étendue des plaines et la faible