Styx

l’amour se pavane ; Quand vers toi mes désirs partent en caravane, Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.A12SFA12SFB12SMPar ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme, Ô démon sans pitié ! verse-moi moins de flamme ; Je ne suis pas le Styx pour t’embrasser neuf fois,A12RFB12SMA12RFHélas ! et je ne puis, Mégère libertine, Pour briser ton courage et te mettre aux abois, Dans l’enfer de ton lit devenir Proserpine !Identification et classification des champs lexicaux : Nom du champ lexicalEléments

Etude des personnages Achéron: fleuve des Enfers. Les âmes des morts le traversaient sur la barque de Charon pour entrer au royaume d'Hadès. Achille: fils de Thétis, nymphe de la mer, et de Pelée, roi des Myrmidons. Sa mère l'avait plongé dans le Styx pour le rendre immortel en le tenant par le talon qui resta la seule partie vulnérable de son corps. Devant Troie, lorsqu’Agamemnon s'empara de sa captive Briséis, Achille se retira du combat. Les troyens en profitèrent pour faire reculer les Grecs

Parfois le processus alchimique est inversé : l’or se change en boue, l’idéal en spleen : «  Une idée, une Forme, un Être / Parti de l’azur et tombé / dans un Styx bourbeux et plombé/ Où nul œil du ciel ne pénètre »  (poème LXXXIV « L’irrémédiable » p.121, à lire en entier) poème « Alchimie

» (moite = humide). Le langage poétique employait le mot moite pour désigner l’humidité en général, et la périphrase ‘le moite élément’ désignait la mer. Rappelons, par rapport à notre remarque à propos de la quasi-paronomase au v. précédent que le Styx est un fleuve (le rivage blême- les moiteurs de mon front blême). Et le dernier mot du quatrain relève aussi du champ lexical de l’eau (pleurant). — allitération en l. La remarque précédente s’enrichit de cette allitération (le [l] est une consonne

petit navire de ses :spérances maintenant évanouies. Le "naufrage" du moulin du père Merlicr, ce "navire" qui. ;râce à ses palettes, nourrissait de pain, d'espoir et de joie de vivre les habitants du village, a ombré lui aussi dans les vagues noires du Styx. le fleuve de la mort. L'orage de la guerre ne l'a >as épargné. Les nuages de la guerre qui s'amoncelaient au-dessus de la campagne ont faiT )leuvoir leur charge de mort et de destruction. Les boulets français n'ont épargné ni les 'russsiens, ni les

l’étrange, ce qui est déconnecté. L’eau sépare les choses, les rivières séparent les deux bords, et on ne sait pas ce qui est sur l’autre rive : « la montagne à l’autre rive était très claire ». De l’autre coté il y a les « ombres », comme la rivière Styx. Ceci nous amène au dernier thème imagé : l’ombre. Encore une fois, c’est ce que l’on ne peut pas attraper, c’est flou et inquiétant. Ici, les ombres sont « vivaces », et, plus dérangeant encore, « barbues », pleurant. Qui sont ces ombres ? Elles sont

car il permet de déterminer ce qu'on ne voit pas, donc l'imaginaire. La sixième strophe évoque une seconde fois le Mal représenté par des personnages issus de notre imaginaire ainsi que le mythe du “fleuve invisible” censé conduire au paradis, le Styx. Exemple : paraphrase (encore !!)Strophes 3 et 4 – Forces du mal “ Satan Trismégiste” vers 10, “diable” vers 13, “l'enfer” vers 15 - imaginaire : “esprit” vers 11 Strophe 6 – opposition réel/imaginaire : “million d'helminthes” vers 21,

cruel, féroce et vipérin, qui vole par les airs et, n'épargnant personne, porte partout la flamme et blesse avec le fer, fait trembler Jupiter, effroi de tous les dieux, et, redoutable même aux fleuves infernaux, inspire la terreur aux ténèbres du Styx. » Le roi jadis heureux, après qu'il a reçu la divine prophétie, s'en retourne chez lui à regret, l'âme en peine. Il explique à sa femme ce que prescrit l'oracle de malheur. On se désole, on pleure, on se lamente pendant plusieurs jours. Mais déjà

mythologique, avant de passer au prince chrétien et de terminer sur le modèle biblique de l’idéal royal : David. L’importance d’Achille est renforcée par le travail poétique de Ronsard sur le mythe Selon la légende, Achille est plongé dans les eaux du Styx par sa mère, qui le tient par le talon. Mais Ronsard préfère à l’eau une autre version : celle de la « brûlure ». Pourquoi ? D’une part parce que c’est une image plus violente : c’est un roi qui sort de l’ordinaire. Bien sûr cette immersion a à voir

decrit comme lieu de damnation éternel géré par Lucifer/Satan. Power Point : Enfers greco-romain Etape 1 : Prise en charge des ame, apres la mort, guider par Hermès. Maitre des enfers : Hades et Persephone Etape 2 : Arrivée aux enfers, 1-Rive du styx rend immortel celui qui s’y baigne (passeur Charon) veillard à l’aspect crasseux a qui il faut payer l’obole (piece) si pas, ame condamné errer dans les limbes pour l’éternité. 2-Le vetibule des enfers : une fois le fleuve passé, on passe par le