Style De Zola Germinal

Commentaire composé Partie 7 chapitre 2 Germinal de Zola Ce texte est un extrait de Germinal, écrit par Emile Zola en 1885 et qui est le treizième volume des Rougon-Macquart. Ici, il nous fait la description du sabotage du Voreux par un homme dont le nom n’est pas mentionné. Il adopte une focalisation interne puisqu’il sait ce qu’il pense ou le cas échéant, ce qu’il ne pense pas comme à la ligne 27 avec « l’idée d’aller changer de vêtement ne lui vint même pas ». De plus son statut semble être

Texte1 : extrait du chant VIII, La Divine Comédie de Dante (1307-1321). Texte 2 : extrait du chapitre XXX, Pantagruel de Rabelais (1532). Texte 3 : Sur l’enfer, Sonnets chrétiens, de Drelincourt (1680). Texte 4 : Maheu dans l’enfer de la mine, Germinal de Zola (1885). Texte 5 : extrait de la scène 5, Huis Clos de Sartre (1944). Consigne :a) recopiez et complétez le tableau suivant : Texte Titre Date de parution Genre +justification Images liées à l’enfer (procédés, champ lexical…) Quel enfer

les défauts humains*. * C’est souvent là que les théories réalistes achoppent, puisqu’aucun auteur ne semble pouvoir se résoudre à adopter l’écriture purement documentaire. NANA (1879) ÉMILE ZOLA  Atelier 1 Édouard Manet, Nana (1877) Sandro Boticelli, La naissance de Vénus, 1485 DEUX FIGURES DE STYLE « Nana avait gardé son sourire, qui éclairait sa petite bouche rouge et luisant dans ses grands yeux, d’un bleu très clair. » (l. 31-32) « Tout de suite, elle s’était tournée, remontant, faisant

1864 - Zola, Le Roman expérimental, 1881 ; Littérature 2nde p. 347 - Maupassant, Préface de Pierre et Jean : « Le roman », 1888 ; Littérature 2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal

moderne; appel à la mort libératrice.   Mais cette philosophie n'est pas « prédication ». Refus d'un art engagé. Le poète ne s'adresse qu'à une élite. « L'art pour l'art ».   Enfin culte de la forme : après la facilité prolixe, l'imprécision du style romantique, son incorrection parfois, idéal d'une expression plastique, aux contours nettement déterminés. La métrique se fait plus rigoureuse; pas de licences poétiques.   En un certain sens, le Parnasse propose un idéal classique : — impersonnalité

du Roman - Les thèmes les plus courants dans un roman : fatalité, destin, amour complexe etc... - Zola, ecrivain réaliste, met ses personnages dans la souffrances et dans le malheur qui appartiennent a des personnages dans la vie réelle, ce qui rend plus ardu la comprehension. Les relations entre les différents personnages peuvent elles aussi compliquer le roman Exemple : Germinal de Zola C. La difficulté pour le lecteur - Chronologie de l'histoire : retour dans le passé, suivie d'un

naturalisme " Cf. http://www.multimania.com/plavergne/zola.htm La doctrine naturaliste 1.Le refus de la psychologie 2.L’expérimentation scientifique : l’hérédité 3.L’influence du milieu Naturalisme et création littéraire 1.La question du style (commentaire d’un extrait de La Curée) 2.Le rôle du narrateur (dissertation littéraire sur L’Assommoir) B) Séries technologiques 1) Œuvre intégrale : La Ronde de J-M-G Le Clézio Objectifs : - Réviser la narratologie avant l’étude de l’œuvre au

utilisent la 3ème personne du singulier : le narrateur se fait discret. Dans les romans Des constantes sont à noter : un style efficace, un vocabulaire précis et documenté, des descriptions qui reposent sur des recherches souvent scientifiques et savantes, une intrigue sobre, des portraits de personnages qui représentent des « types » , la fin est ouverte et le style indirect libre et le langage du milieu social font connaître le(s) personnage(s). il adopte le point de vue omniscient et se

apparu en Europe dans le milieu du XIXe siècle. Les auteurs, lassés de la littérature romantique, décident de décrire la réalité telle qu’elle est en choisissant la plupart du temps des personnages du milieu populaire ou des classes moyennes, comme Zola l’a fait dans le cycle des Rougon-Macquart entre 1871 et 1898. Il y raconte en vingt romans la déchéance d’une famille d’ouvriers sous le Second Empire. Stendhal, « père du réalisme » propose deux citations qui semblent se contredire : « Le roman,

romanesque suivant l’histoire d’une même famille, chef de file d’un mouvement associant les doctrines scientifiques à l’art littéraire, le naturalisme, Émile Zola écrira une soixantaine d’œuvres, dont vingt au sujet des Rougon-Macquart. Germinal est de ceux-ci. Ce roman dépeint une idée de renouveau, un Printemps Ouvrier, ainsi que l’indique le titre (Germinal étant le mois du printemps selon le calendrier révolutionnaire). On y découvre le parcours initiatique d’Étienne Lantier, qui, de simple mineur, deviendra