Stuart Sutcliffe

que les plus prestigieuses dames de la cour et l’effet de réel est assuré par ce cadre historique. « Madame Élisabeth de France [...] commençait à faire paraître [...] cette incomparable beauté qui lui a été si funeste ». La reine dauphine, Marie Stuart, est « d'une parfaite beauté ». On dit de la duchesse de Valentinois, Diane de Poitiers, maîtresse du roi que « sa beauté était admirable ». Anne Boleyn, mère d'Élisabeth d'Angleterre est ainsi décrite : « Jamais femme n'a eu tant de charmes et

(1524-1585) - Second livre des Amours Marie Ire d'Écosse (Marie Stuart, ou Mairi Ire en gaélique écossais) (8 décembre 1542 - 8 février 1587), aussi connue comme Marie, reine des Écossais, était souveraine du royaume d'Écosse et fut emprisonnée en Angleterre par sa cousine, la reine Élisabeth. Après avoir été condamnée pour trahison, elle fut exécutée en 1587. Marie Ire d'Écosse (Marie Stuart, ou Mairi Ire en gaélique écossais) . Marie Stuart fut successivement reine d'Écosse à la mort de son père, quasiment

Beaux-Arts de Rouen. A travers cette peinture, François Clouet fait de cette peinture une œuvre politique et historique grâce aux personnages qui y sont représentés. En effet, on peut reconnaître notamment Catherine de Médicis, Diane de Poitiers, Marie Stuart. François Clouet est un artiste peintre née à Tours vers 1516. Au décès de son père, il recueille l’héritage de « peintre et valet de chambre du roi ». Il a été peintre officiel de François 1er puis d’Henri II. Féru de sincérité, interprète loyal

bijoux qui signent les offrandes du roi de France. En effet, nul n’ignore le fait que Diane de Poitiers était la favorite d’Henri II. La nymphe se tenant derrière Diane de Poitiers et. détenant le voile nuptial antique de couleur flamme est Marie Stuart, épouse de François II. La fleur de chardon emblème de leur famille est présente au premier plan on ne peut donc pas se tromper sur l'identité de certains des personnages de ce tableau. À l'arrière plan on peut reconnaître Henri II comme se préparant

d'Angleterre (Guillaume III et Marie II) à la suite de la Glorieuse Révolution. Il définit les principes de la monarchie parlementaire en Angleterre. Contexte : Après la parenthèse de la guerre civile, la monarchie limitée est restaurée en 1660 et les Stuarts renforcent leur pouvoir en tendant vers des pratiques absolutistes. Ainsi, le catholique Jacques II (James II en anglais) ne respecte pas l'habeas corpus, et doit fuir en France suite à laGlorieuse Révolution. En 1688, le Parlement offre la couronne

occidentale, et selon lequel l’Etat s’incarne dans le monarque, le roi. En effet, leur opposition historique, qui se poursuit même sur le plan de l’évolution de leur organisation politique, tend à s’accentuer dès le règne de Louis XIV en France et des Stuart en Angleterre vers le milieu du XVII siècle. Mais, sur quoi reposent les distinctions observables entre les monarchies française et anglaise durant la seconde moitié du XVIIIeme siècle ? Il sera tout d’abord question des deux modèles de monarchie

déterminante dans cette rencontre.   1°) Un cadre exceptionnel   Nous sommes à la cour du roi et le jour des fiancées de la fille du roi : c'est une situation brillante, un cadre et une circonstance exceptionnelle.   On a des personnages célèbres : on a Mary Stuart, la Baronne, le roi, le reine, Catherine de Médicis, Mr de Nemours et le duc de Guise.   C'est un véritable roman historique.   Les hommes et les femmes sont habillés de façon éclatante. l.38 : « cette princesse était d'une parfaite beauté » : la

paradoxe entre cette héroine franche et sincère et Mme. de Tournon, héroine de la duplicité et de l'hypocrisie. La troisième histoire emboitée est celle d'Anne de Boulen, deuxième femme d'Henri XVIII, roi d'Angleterre. C'est la reine Dauphine Marie Stuart qui témoigne à la Princesse de Clèves son histoire. En faisant un parallèle avec la cour et Mme. de Clèves, la Dauphine raconte l'histoire de la deuxième femme d'Henri XVIII. Ce dernier, soupçonnant Anne de Boulen de le tromper avec son frère, les

nos maîtres.3-Bentham a voulu construire une science morale basée sur le plus grand bonheur du plus grand nombre.4-Selon Bentham,les dimensions du plaisir sont :la durée,l’intensité,la certitude,la proximité,l’étendue,la fécondité,la pureté.5-John Stuart Mill affirme que les plaisirs humains diffèrent des plaisirs animaux.Ce sont les plaisirs typiquement humains qu’il faut rechercher avant tout.6-Selon Mill,l’utilitarisme est une doctrine altruiste qui évalue les actions en fonction de leur utilité

capitalisme marchand puis industriel qui bouleversa les systèmes de représentations traditionnels. La pensée libérale sur la justice a connu une profonde évolution depuis deux siècles. A l’origine, l’utilitarisme de Jeremy Bentham (1780), de John Stuart Mill (1861) et d’Henry Sidgwick (1874) se fixe pour objectif la maximisation du bien-être collectif qui n’exclut pas certaines inégalités si elles sont efficaces, c’est-à-dire si elles permettent d’élever le niveau d’ensemble. Ces thèmes seront repris