Stuart Sutcliffe

fondé sur la spécialisation de chaque pays suivant son avantage comparatif respectif n'est mutuellement profitable que si les termes de l'échange sont strictement dans l'intervalle défini pax le rapport des coûts de production de chaque pays. John Stuart MILL (1806-1873) va poursuivre le raisonnement en expliquant comment les termes de l'échange se fixent à l'intérieur de cet intervalle (à l’aide des courbes dites de « demande réciproques »). L'analyse sera ensuite formalisée au moyen des outils habituels

mais un encadrement de ceux-ci. On met en place des mesures de contrôle mis en œuvre par les Etats (normes, barrières non tarifaires, quotats). Les thèses du libre échange 1) Les fondateurs historiques : Adam Smith, David Ricardo, John Stuart Mill Les 1ers à avoir travaillé dessus sont Smith et Ricardo à la fin du 18ème siècle. Ce sont les pères fondateurs des théories du libre échange : facteur d’enrichissement pour les nations : chaque pays doit se spécialiser dans la production d’un

quantité de travial fournie mais l'utilité du bien. - Chez les classiques, la question de la répartission du revenu global laisse la place à une approche en terme de classe sociale. Cette réflexion sur la répartission comme le laissait penser John Stuart Mill, les lois de la répartission sont différentes des lois de la production. Ce qui signifie que les lois de la production sont fondées sur la marché et sur les lois de la liberté individuelle en revanche leslois de la répartission peuvent tres bien

lignée de Smith, raisonne beaucoup sur la population et constate que la richesse croit moins vite que la population, il faut donc réduire la population. Intérêt aussi pour la consommation qui pour lui est une fonction essentielle de l’économie John Stuart Mill (De l’utilitarisme) dimension sociale de l’économie et réformes fiscales (notamment l’impôt sur l’héritage) Jean Baptiste Say (Traité de l’économie politique) premier français de l’époque classique. Disciple français de Smith par excellence

80, où il enseigne toujours l’économie et la philosophie. 3 - Les travaux d’Amartya Sen Lorsqu’il était étudiant, Sen affirme qu’il a développé de l’intérêt pour plusieurs penseurs incontournables tels Aristote, Adam Smith et John Stuart Mill, même si Marx était sans conteste un acteur central des discussions à saveur politique avec ses camarades[9]. Il s’est penché beaucoup plus sérieusement sur les écrits d’Adam Smith au tournant des années 80, en tentant de faire une relecture

Histoire de la psychologie : CM n°2&3 Associationnisme, transformisme et évolutionnisme Les philosophes associationnistes anglais du 19ème siècle : James Mill (1773-1836) et son fils John Stuart Mill (1806-1873) ont pour objectif de développer une psychologie car ils pensent qu’il faut bien analyser les phénomènes de l’esprit pour servir de base à une logique (science des lois de la pensée). James Mill essaye de ramener tous les phénomènes psychologiques quels qu’ils soient à la sensation et

mettre le monde et l'humanité en danger. Et on en revient à Rousseau, pour qui le progrès citoyen se fondait essentiellement sur l'éducation, base de tout le développement moral de l'individu, et, au-delà, de la société. On peut aussi citer John Stuart Mill, qui a souhaité l'avènement de « l'Etat stationnaire » : la course à la richesse n'est pas un idéal de civilisation, la croissance génère surpeuplement et épuisement des ressources, l'état stationnaire réalise le véritable progrès

John Stuart Mill (1806 - 1873) Philosophe et écrivain anglais, fils de l'historien économiste et philosophe James Mill, John Stuart Mill est l'un des plus grands penseurs anglais du libéralisme. Poussé par son père, il montre de précoces aptitudes aux études. Il connaît le grec et le latin à l'âge de 8 ans. Il entre en 1822 à la Compagnie des Indes où travaille son père. Très tôt, il s'associe aux travaux de l'Ecole du philosophe Jeremy Bentham (1748-1832) et contribue au "Traité du témoignage

qui n'est point obligatoire » (art. 5), la « liberté de dire ou de faire ce qui n'est pas contraire à l'ordre public ou à la morale publique » (droit administratif) ou encore « La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » (de John Stuart Mill). Dans une telle formulation, la liberté est étroitement liée au concept de droit, allant jusqu'à confondre les deux notions. Cette notion renvoie à une double réflexion : d'une part sur la liberté en tant que questionnement sur la capacité

donc demander de nouvelles revendications sociales. C’est d’ailleurs ce que souhaitait Alexis de Tocqueville dans De la démocratie en Amérique. Pour lui, on allait vers une égalisation des conditions grâce à la mondialisation. Dans le même sens, John Stuart Mill qui proclamait « Heureux les pays pauvres ! » a montré que grâce à la mondialisation et au commerce international il y aurait une diffusion à l’échelle internationale du progrès technique. ▪ Ainsi, au niveau économique et social, la mondialisation