Striatum

substance particulière, la dopamine. La dopamine est un neurotransmetteur, une substance chimique (acides animés) synthétisée et libérée par un neurone permettant à ce dernier de transmettre des messages dans la région centrale du cerveau du striatum vers les noyaux gris centraux, qui eux jouent un rôle particulièrement important dans le contrôle de la motricité. La dopamine est indispensable à leur fonctionnement, or certains de ces neurones subissent un processus dégénératif, ainsi l’atteinte

sont des neurones glutamatergiques qui relaient dans le cortex spinal. B) Les interneurones à projection locale Ce sont des petits neurones qui ont des projections locales dont le modèle le plus représentatif est constitué par les interneurones du striatum, les interneurones cholinergiques existent aussi en faible proportion dans le cortex, l’hippocampe, et le noyau olfactif antérieur. C) Les neurones à projection diffuse Ils ont des cibles lointaines. Il y a 8 groupes de neurones regroupés sous forme

cocaïne peuvent servir à évaluer les voies dopaminergiques et surtout la voie nigro-striée qui intervient dans le contrôle des mouvements. Le β-CIT marqué à l'iode 123 permet de mesurer, sur un jour, la densité de transporteurs dopaminergiques du striatum de façon reproductible. Cette approche semble très prometteuse. La cocaïne est métabolisée dans le foie. Elle est principalement hydrolysée en benzoylecgonine, réaction catalysée par les carboxylesterases. Usage détourné et récréatif Cocaïne

sommeil REM Anomalies fonctionnelles ou structurelles durant dépression ↑↓ Noyau caudé dorsal ↑ Cingulum postérieur ↓ Cortex préfrontal dorsolatéral ↓ Cingulum antérodorsal ↑↓ Cingulum Antéroventral ↑ Cortex orbitofrontal ↑ Thalamus médian ↑↓ Striatum ventral ↑ Cervelet médian ↑↓ Hippocampe C. Parahippoc. • Atteinte des fonctions immunitaires … Trouble de l’humeur = maladies de système (Pointillés=structures hors image) ↑ Amygdale Juillet 2008 F. JOLLANT © LIPCOM Faculté de Médecine

parkinson : dans la maladie de parkinson il y a un phénomène de neurodégénération, dégénérescence des voies neuronales qui se situent entre deux structures cérébrales : substance noire du cerveau striatum Cette dégénérescence entre ces deux structures est appelée dégénérescence des voies nigrostriées. Le striatum fait parti du complexe des noyaux gris centraux qui régulent la motricité volontaire et dans certains cas aussi la involontaire. Si y’a une dégénérescence des voies nigrostriée on aura des tremblements

retrouvées dans 60 % des cas, – des anomalies du corps calleux dans 50 %. E xamens complémentaires (2) • Le PET scan – diminution de la consommation de Fluorodeoxyglucose dans le cortex pariétal – diminution de l’accumulation de FluoroDOPA  dans le striatum. • Le SPECT – perfusion asymétrique au niveau pariétal – réduction de IBZM uptake dans les ganglions de la base. L a paralysie supra nucléaire progressive P.S.P Steele Richardson C linique (1) • Signes moteurs – Instabilité posturale – Dystonie

drogues, les comportements de la dépendance (sensation de manque + activité compulsive de recherche de la drogue) mettent en jeu un ensemble bien défini de neurones, comprenant cinq aires cérébrales (l'aire tegmentale ventrale, la substance noire, le striatum, le cortex, et le noyau accumbens). La forte connexion entre ces aires assure un lien permanent entre la sensation de plaisir et la conscience du geste procurant le plaisir (par exemple, allumer une cigarette). Or, la caféine active des neurones

théoriques concernant la latéralisation hémisphérique des émotions. Plan Résumé Définition de l'émotion et de la motivation Émotion Motivation Amygdala et émotion Amygdala Modèles d'étude Transformation de stimulus en émotion dans l'amygdala Striatum ventral et motivation Striatopallidum ventral Troubles de la motivation chez l'homme Mécanisme physiopathologique Portions corticales du système limbique Aire cingulaire antérieure et " système prémoteur mésial " Cortex insulaire Cortex orbitofrontal

(pp. 186-232). New York: Oxford University Press. Benton, A. L. (1989). Constructional apraxia. In F. Boller et J. Grafman (Eds.), Handbook of Neuropsychology (vol. 2, pp. 387-394). Amsterdam: Elsevier. Berke, J. D. (2009). Procedural learning: Striatum. In L. R. Squire (Ed.), Encyclopedia of Neuroscience (pp. 1107- 1116). Oxford: Academic Press. Blank, R., Smits-Engelsman, B., Polatajko, H., & Wilson, P. (2012). European Academy for Childhood Disability (EACD): Recommendations on the deinition

cerveau (Markowitsch, 2000 ; Rolls, 2000). Quatre structures cérébrales principales sont impliquées dans la mémoire : • le cerebellum, essentiel dans la mémoire procédurale, les souvenirs acquis par répétition, et les réponses conditionnées ; • le striatum, un complexe de structures dans le prosencéphale, la base probable de la formation des habitudes et des connexions stimulus-réponse ; • le cortex cérébral, responsable des mémoires sensorielles et des associations entre les sensations ; • l’amygdale