Stevie Wonder

foutus paparazzis. Pour capturer cet instant. Pour me souvenir de Kate à ce moment précis. Parce qu’elle est tout simplement magnifique. Plus étonnante que n’importe quel chef-d’œuvre du Louvre, plus 768/848 époustouflante que tous les Stevie Wonders réunis. Elle bouge plus vite, plus fort. Et je sens la pression au fond de moi. – Ouais, Kate, monte-moi… comme ça. Ses seins rebondissent à chaque poussée. Comme sous hypnose. Et je ne peux pas résister à l’envie d’y goûter. Je me redresse

de la convention démocrate à Denver le 27 août 2008, au cours de laquelle Barack Obama s’est adressé, depuis un stade, à plus de 75 000 personnes dont 15 000 journalistes. En outre, ce « discours show » rassemblant des invités prestigieux comme Stevie Wonder ou Sheryl Crow a été retransmis dans le monde entier via Internet. L’image montre ainsi l’importance des moyens techniques déployés : immense scène, nombreuses caméras et autres écrans géants, ainsi que les jeux de lumière qui ont fait de ce discours

et j’ai mes rouleaux roses sur le crâne. Je m’en suis fait tout l’après-midi en pensant à Minny. Il faut que je me sorte ça de la tête si je veux dormir cette nuit. Je m’assois à ma table pour manger et j’allume la radio de la cuisine. Le petit Stevie Wonder chante Fingertips. Ce gamin, ça le gêne pas d’être noir. Il a douze ans, il est aveugle, et on entend plus que lui à la radio. Quand il a fini sa chanson je change de station pour le pasteur Green qui dit son sermon, et après je me mets sur WBLA

albums suivants du musicien - en fait tous ceux qui avaient succédé à Blood on the Tracks (1975) - qui, selon lui, n'étaient pas aussi réussis que les autres. À l'exception de « Things Have Changed », un morceau extrait du film datant de l'an 2000, Wonder Boys. Fait notable, son iPod ne contenait pas Empire Burlesque (1985), l'album qu'Andy Hertzfeld avait apporté le week-end où Jobs avait été chassé d'Apple. Autre groupe crucial sur son iPod : les Beatles. Il contenait des chansons extraites de sept

albums suivants du musicien – en fait tous ceux qui avaient succédé à Blood on the Tracks (1975) – qui, selon lui, n’étaient pas aussi réussis que les autres. À l’exception de « Things Have Changed », un morceau extrait du film datant de l’an 2000, Wonder Boys. Fait notable, son iPod ne contenait pas Empire Burlesque (1985), l’album qu’Andy Hertzfeld avait apporté le week-end où Jobs avait été chassé d’Apple. Autre groupe crucial sur son iPod : les Beatles. Il contenait des chansons extraites de sept