Stéthoscope

Chaussons, une robe de chambre Un fauteuil (avec une alèse) disposé parallèle au lit Oreillers Dans certains cas prévoir un déambulateur ou cannes anglaises …( voire une balance si appui limité) en fonction des consignes données Appareil à tension, un stéthoscope Montre avec trotteuse Pinces à clamper stériles, bouchons stériles, embouts stériles… 2- la relation : Prévenir le malade, le rassurer, expliquer le déroulement du soin, Agir en respectant les règles de manutention et d’ergonomie Entendre ses craintes

de nombreux temples, nous avons également appris davantage sur l’Egypte ancienne et sa culture. Lorsque nous avons visiter le temple de Louxor nous avons été émerveillés de voir des hiéroglyphes liés à la médecine de nos jours avec l’ancêtre du stéthoscope, du bistouri ou encore d’autres instruments de la médecine. On a pu aussi être impressionné par la façon dont les monuments ont été magnifiquement conservé malgré les outrages du temps qui a passé et la nature humaine souvent irrespectueuse.

cœur-machine envoie un débit constant de sang dans les organes, sans risque de sur ou de sous-tension, il délivre un flux sanguin parfait, qui ne peut en aucun cas endommager les organes. Dans les années futures, on en aura donc peut-être fini avec les stéthoscopes, de vérifier la tension et de tâter le pouls. C’est un bouleversement complet des techniques de la médecine moderne. Il faudra alors réformer les gestes de premiers secours et de sécurité actuels, on ne pourra même plus voir si une victime est

TRVITHICK a inventé la machine à vapeur à haute pression et le premier train tracté par une locomotive. René LAENNEC, médecin français, est un inventeur de diagnostic par auscultation en écoutant les sons internes d’un organe. En 1816, Il inventera le stéthoscope, d’abord simple rouleau de papier, puis cylindre en buis qui favorisera le diagnostic des maladies respiratoires comme la tuberculose. 1820 ANDRE AMPERE découvre que si le courant est « positif » alors les deux conducteurs d’attirent. Par contre

sentir les gonflements de l'artère dus à l'augmentation de la pression artérielle par la contraction du cœur (systole). La prise de pouls est la manière la plus simple d'évaluer le rythme cardiaque. Le médecin peut écouter le pouls à l'aide d'un stéthoscope : La présence d'un souffle inconstant témoigne du rétrécissement de l'artère. Le pouls moyen est d'environ : 120 pulsations par minute pour un nourrisson ; 100 pulsations par minute pour un enfant entre 1 et 8 ans ; 60 à 80 pulsations par minute

expliqué beaucoup de choses par exemple comment il était payer, les différents types de maladies. Et il m'a montré et expliqué le fonctionnement de son matériel de tous les jours ex : tensiomètre appareil qui sert a prendre la tension du patient ,un stéthoscope qui sert a écouter le cœur ou les poumons. Il m'a expliqué comment il se faisait payer. Le médecin utilise la carte vitale . Il la met la dans un lecteur et sur son ordinateur une page va s'ouvrir avec différent types d'information ( si l'assurance

artérielle. Hypotension • • Coucher la personne Lever les jambes pour favoriser le retour du sang vers le cerveau Technique : • Palper l'artère dans le creux du bras jusqu'à perception des pulsations (=endroit où l'ont appliquera le stéthoscope) • Mettre le brassard et orienter la flèche vers l'artère. • Gonfler le brassard au maximum (attention au patient) • Dégonfler le brassard et observer les mouvements d'aiguille indiquant la systole et la diastole. 4. LA TEMPERATURE Température

machine préparation du set de branchement examen de la FAV observation : pas d'hematome, pas de rougeur, pas de douleur la palpation : le thrill (frémissement sous les doigts au niveau de l'anastomose) l'auscultation : à l'aide d'un stéthoscope on repére le souffle qui d'épuise progressivement le long de la veine ponction : mise en place des aiguilles dans la FAV réalisation des bilans sanguins amorçage du circuit sang + injection de l'anticoafulant et réglage du débit sang surveillance

« tension » Objectif : Contrôler de manière régulière et poser un diagnostic ou suivre l’évolution d’une pathologie. 1er battement perçu = maxima ( ou P. systolique) 2ème battement perçu = minima ( ou P. diastolique)Matériel :- PHA- Brassard- Stéthoscope Indications :Pas de prise de la pression artérielle sur :- bras perfusé- du côté d’un curage ganglionnaire axillaire- sur un bras porteur d’une fistule artérioveineuse- sur un membre déficitaire (hémiplégie, atrophie musculaire…)- sur un bras

réalisé en médecine D) a) Le matériel -Appareil de Vasquez -Un stéthoscope b) Le protocole -Préparation du malade -Se laver les mains et les passer à l’alcool -Tenir le bras du malade au niveau du plan du cœur -Rechercher ou palper l’artère branchiale -Placer le brassard sur le bras à 2 cm au-dessus du siège de la palpation de l’artère -Placer le manomètre au niveau des yeux à la verticale -Placer la partie amplifiée du stéthoscope sur l’artère branchiale -Fermer la sous pape de la poire et gonfler