Stéthoscope

supérieures, ce qui permet des douches régulières, et on instaure des cours d’hygiène à l’école publique. La médecine progresse également beaucoup. En 1796, découverte du vaccin contre la poliomyélite par JENNER, le français LAENNEC invente le stéthoscope en 1816… Et, surtout, Louis PASTEUR (1822-1895) met en lumière l’existence des microbes, ce qui permet de limiter la transmission des maladies. Enfin, une législation destinée à protéger les populations est mise en place : en 1974, les enfants placés

* Répondre rapidement et efficacement. * Aide à l’utilisation. * Adéquation avec les contraintes légales. A. Champs d’action de la maintenance : * Le service biomédical doit gérer : * Le petit matériel biomédical (stéthoscope, tensiomètre, l’instrumentation). * Le monitorage. * Le matériel de perfusions. * Les appareils d’imagerie (échographes, radiologie, ampli de brillance, scanner, IRM, accélérateur de particules). * Les automates de laboratoire.

Systolique. ➢ 70 mmHg pour la Pression Artérielle Diastolique. Comment prend-t-on la PA ? Patient au repos depuis plus de 5 minutes. Au mieux, moyenne de 2 ou 3 mesures. Prise de PA humérale : ➢ Brassard au niveau du biceps brachial. ➢ Stéthoscope au niveau du pli du coude, en regard du pouls huméral. ➢ On gonfle le brassard à une pression > 180 mmHg : il n’y a plus de bruit. Quand réapparition d’un bruit = Pression Artérielle Systolique. Quand re-disparition = Pression Artérielle Diastolique

et femme enceinte : PAD = phase IV Mesure de la Pression Artérielle Conditions préalables Mesure de la PA : Cas particuliers Mesure de la PA : Limites et inconvénients Mesure de la PA Les erreurs à ne pas commettre • Placer le stéthoscope sous le brassard • Mettre le brassard par-dessus les habits Surestime la PA Mesure de la PA Nouveaux outils Dans l’attente de la validation des appareils anéroïdes de 2ème génération, l’HAS recommende l’utilisation d’un appareil éléctronique

premières réactions auditives et tactiles. | Les mouvements du fœtus sont maintenant bien perceptibles par la mère ou par contact avec son ventre. Les battements du coeur sont rapides (deux fois plus que l’adulte) et forts ; ils peuvent être perçus au stéthoscope. Les poumons se développent mais restent non fonctionnels. Par contre, il est capable d’avoir des réactions auditives et tactiles : il peut réagir à certains sons, à la parole, au contact avec la main.Il pèse 700 grammes et mesure 26 centimètres

Bougou 1) La salle de consultation SMI/PF et bureau de l’accoucheuse auxiliaire                            Tableau d’affichage Table / lit d’examen Pèse bébé Pèse personne avec toise Spéculum vaginal Stéthoscope biauriculaire Tensiomètre Stéthoscope obstétrical Tambour moyen Thermomètre rectal Gobelet Lampe torche Mètre ruban Seau à anse Glacière Bureau Chaise Matériel de démonstration Réchaud à pétrole ou électronique Plateau inox (28 x 15) Plateau inox (22 x 14 ) Haricot

cyclique. C’est aussi le symbole du double mouvement ascendant et descendant qui caractérise le processus de la connaissance, comme en témoigne également le caducée. NB petite parenthèse dans le domaine médical : quand Laennec créa en 1817 le stéthoscope, c’était un cylindre de bois qui permettait d’éloigner l’oreille du médecin de son patient, pour des raisons de pudeur. En créant l’auscultation médiate il amplifia ainsi l’écoute du flux de la vie. 4 Pour en revenir à la symbolique, l’arbre

victimes, et créant un cratère de 25 mètres de profondeur sur 100 mètres de diamètre, les deux camps décidèrent que les charges seraient en suite allégées. Dans chaque camp, on surveille le travail de l’adversaire, en plaçant des sortes de stéthoscopes sur les parois des mines, et grâce à cela, on creusait sous les galeries de mines adverses et on y posait une charge explosive, faisant exploser le tunnel visant à contenir des explosif ; on créait des contre-mines. Au total, 519 explosions souterraines

médecin touche le patient (superficiels (ex. : l’abdomen pour repérer une hématomégalie) et/ou profonds (touché vaginal, touché rectal)). - La percussion : pour vérifier les réflexes (ex. : au niveau de la rotule). - L’auscultation : à l’aide d’un stéthoscope (écoute du cœur et des poumons, tension…). Suite à l’examen clinique, le médecin pose son diagnostique, ou prescrit des examens supplémentaires, complémentaires (ex. : laboratoires, imageries médicales…).

le progrès. » Bibliographie  Manuels généraux Manuels spécialisés Jean-José Boutaric, Laennec, Balzac, Chopin et le stéthoscope ou la diffusion de l'auscultation médiate durant la première moitié du XIXe siècle, Glyphe & Biotem éditions, Paris,2004. Etienne Subtil, René Théophile Laennec : ou la passion du diagnostic exact, Editions L'harmattan, Paris, 2006. René Théophile