Stanley Unwin

Lebowsky 1997  Joel COEN O'brother 2000 George CUKOR Indiscrétions 1940 Milos FORMAN Amadeus 1984  T. GILLIAM et T. JONES Monty python (4 épisodes) 1974 - 1983 Sacha GUITRY La poison 1951  Spike JONZE Dans la peau de John Malkovitch 1999  Stanley KUBRICK Docteur Folamour 1963 Emir KUSTURICA Chat noir, chat blanc 1998  Georges LAUTNER Les Tontons flingueurs 1963  Joshua LOGAN Arrêt d'autobus (Bus stop) 1956 Mike NICHOLS Le lauréat 1967 Gérard OURY La grande vadrouille 1966  Roman POLANSKI

ranking official of the Nazi Party, was on trial for war crimes and crimes against humanity. The question is, “Could it be that Eichmann, and his million accomplices in the Holocaust were just following orders? Could we call them all accomplices? Stanley Milgram answered the call to this problem by performing a series of studies on the Obedience to Authority. Milgram’s work began at Harvard where he was working towards his Ph.D. The experiments on which his initial research was based were done at

d’apporter un aspect de cette destruction. Le rejet dans "Voyage au bout de l’enfer" de Michael Cimino, la blessure dans Le "Retour" de Hal Ashby, le délire dans " " de Francis Ford Coppola, la désinformation et la folie dans "Full Metal Jacket" de Stanley Kubrick, la déliquescence dans "Platoon" de Oliver Stone. Nous allons maintenant montrer les deux traits principaux de ce film. D'une part la dimension militaire présente tout le long de l'oeuvre et d'autre part la dimension humaine, aussi beaucoup

En 1964, Stanley Kubrick, réalisateur de plusieurs grands films cultes s'associe avec l'auteur de science-fiction Arthur C. Clarke pour travailler au scénario d'un nouveau film de science-fiction. Film qui mettra à l'avant-scène les voyages dans l'espace et l'évolution de l'homme.  2001: l'Odyssée de l'espace, est le fruit de leur travail, en 1968 les deux œuvres respectives sortent au grand public. La présente analyse comparera ces deux œuvres, l'accent se posera sur les descriptions de celles-ci

deux autres au MoMA, où il animera un atelier. Il publie son premier recueil, assez difficilement, vu la noirceur du monde qu’il choisit de montrer, en 1945 chez Duell, Sloan and Pearce, le remarquable Naked City. Succès immédiat et très large : Stanley Kubrick, qui l’embauchera par la suite sur Docteur Folamour comme conseiller technique, s’en inspire très largement, pour ses deux premiers films, des films noirs. Après avoir photographié plus de 5 000 morts durant les dix dernières années et avec

STANLEY KUBRICK : MACHINE - HEAD Stanley Kubrick, avec son « Dr Folamour ou comment j’ai appris à ne plus m’en faire et aimer la bombe », atteint un point de non-retour dans une dialectique qui s’impose entre machine et machination – assemblage et complot. C’est on ne peut plus limpide : la course à l’armement nucléaire entre les blocs de l’Est et de l’Ouest, comme mécanisme, symptôme d’une plus grande machine générée par des années de guerre froide, culmine à son couronnement par la mise

Dr Strangelove or : How I learned to Stop Worrying and Love the Bomb Docteur Folamour, comédie satirique en noir et blanc considerée comme un chef d'œuvre d'humour noir, a été produit par le réalisateur américain Stanley Kubrick en 1963, soit en plein pendant la Guerre Froide. La Guerre Froide est une période historique (1947-1991) caractérisée par l'affrontement non-violent des deux superpuissances (Etats-Unis contre URSS) et de leurs alliés que tout différencie (économiquement, socialement

de notre société. Ce genre a une énorme influence sur le comportement des jeunes, ils risquent d'imiter les actes violents qu'ils ont observé dans les film. Ils deviennent par conséquent souvent violents. Comme fait concret, Orange mécanique de Stanley Kubrick a servi d'exemple à plusieurs délinquants britanniques qui ont ainsi perpétré des actes de violence gratuite. Pour leur défense, ils ont déclaré s'être inspirés du film, ce qui a eu pour cause la censure de celui-ci. Il y a aussi les films

hissant sur un piédestal l’armée et la politique américaine. Nous allons donc nous intéresser à différents films américains sur cette guerre si contestée : Apocalypse Now Redux de Francis Ford Coppola, Platoon de Oliver Stone, Full Metal Jacket de Stanley Kubrick et Rambo II de George Pan Cosmatos. Nous pourrons nous demander si ces films retranscrivent bien la réalité de la guerre du Vietnam. Notre raisonnement se tiendra en deux parties. Dans la première nous verrons que la réalité a été transformée

des trois termes se rattacherait l’adaptation. Lorsque Stanley Kubrick s’attaque à l’adaptation de The Shining, roman de l’écrivain américain Stephen King, il ne conserve qu’une partie de l’intrigue qui ne devient alors qu’un prétexte permettant au réalisateur de composer une nouvelle variation, une nouvelle plongée dans un univers complexe mais cohérent, celui qui lui est propre. The Shining devient alors tout autant le film de Stanley Kubrick que le roman de Stephen King. Le langage bien sûr