Stanislas Nordey

est conçue comme celle de faire entendre par la voix une écriture avant même qu’il ne soit question d’une virtualité de scène. A partir du corps et de la voix il faut délivrer un texte: faire entendre son écriture. L’esthétique par exemple de Stanislas Nordey, s’est construite dans la pratique d’un jeu « face-public », l’affirmation d’un « théâtre de la langue ». Sa mise en scène du  Triomphe de l’amour en 2005 pousse la nudité à l’extrême, il ne substitue alors que la diction frontale du texte

l’incendie des personnages, ce moment où tout brûle en eux, et où il ne leur reste rien : la pièce se subdivise ainsi en trois moments : incendie de Nawal, incendie de Jannaane, incendie de Sarwane. Simon et Jeanne, les enfants de Nawal (m.e.s Stanislas Nordey 2008)  III-L’idée de vengeance  L a tirade de Sawda a un but argumentatif : il s’agit de convaincre Nawal de s’engager dans une action violence qui s’attaquerait aux miliciens.  Sawda va donc insister sur le témoignage direct qui a été le sien :

Quelques mises en scène [modifier] 1744: par les Comédiens-Français. 1972: mise en cène de Roland Monod 1973: mise en scène de Patrice Chéreau au TNP de Villeurbanne et au Théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris. 1987: première mise en scène de Stanislas Nordey, au Festival Off d’Avignon. 2007: mise en scène de Marc Paquien à la MC93 Bobigny. 2009: au Abbey Theatre à Dublin réalisateur: Wayne Jordan Bibliographie [modifier] (en) Roger Little, « Boulle Plays Marivaux », French Studies Bulletin

Israël et Syrie.-Film (Denis villeneuve) : différences : supprimé des personnages (Sawda), monologue de 3 pages de Simon dans la première scène est suppriméSobriété, pas beaucoup de paroles, plus d’éléments visuels, (tatouages)-Pièce de théâtre (stanislas nordey) : on retrouve forme de sobriété: costumes simples, noirs blancs, pas besoin de décor pour donner l’impression au spectateur de voyager dans le temps et dans l’espace3 femmes différentes jouent Nawal, à trois périodes de sa vie différentesA quelle

Myniana, Catherine Anne, Pascal Rambert ou Olivier Py. Enfin ces derniers noms cités font partie d’une nouvelle génération d’auteurs, de metteurs en scène et d’acteurs qui ne connaissent pas les clivages de leurs aînés. Un metteur en scène comme Stanislas Nordey, qui monte Pasolini, Karge ou Guibert, se veut avant tout à l’écoute des textes (le plus souvent d’aujourd’hui) et entend les propager. Notons pour finir que l’État (d’abord sous l’impulsion de Robert Abirached, son directeur du Théâtre entre

valeur d’un point de vue de la pièce par le metteur en scène. Pour la mise en scène des Justes d’Albert Camus, par exemple, le metteur en scène peut choisir de mettre en avant l’aspect politique, l’époque, le contexte, Dans la mise en scène de Stanislas Nordey, l’œuvre a été modernisé en y montrant l’aspect actuel. Pour Badine, Gérard Gelas a mis l’accent sur un aspect moins marqué dans le texte : l’aspect social. On peut dire que la mise en scène dénature quelque peu le texte puisque chaque metteur

  l’École   Supérieure   d’Art   Dramatique   du   Théâtre   National   de   Bre-­‐   tagne  à  Rennes  en  2003,  il  joue  à  plusieurs  reprises  sous  la  direction  de  Stanislas  Nor-­‐   dey  (Atteintes  à  sa  vie  de  Martin  Crimp,  Le  Triomphe  de  l’amour  de  Marivaux  et  La  nuit   au  cirque   d’Olivier   Py).   Il   participe   au

formation à la mise en scène à l’École supérieure d’art dramatique Ernst Busch de Berlin où elle présente Yerma de García Lorca, Ella d’Achternbusch, Decouflé, Xavier Durringer, François Wastiaux, Gloria Paris, Claude Régy, Laurent Gutmann, Stanislas Nordey et Laurence Feirrera Barbosa. Au théâtre, elle joue dans La Maison d’os mis en scène par Éric Vigner, dans Les caissières sont moches, Le Ravissement d’Adèle et Un co eur mangé mis en scène par Pierre Guillois, dans Les Petites Filles modèles

que le terrorisme n’a eu de cesse de se déployer et de se démultiplier de mille manières, elle se révvèle toujours d’une acuité brûlante. Récemment une adaptation théâtrale des Justes de Cùus a été réalisée par un célèbre metteur en scène: Stanislas Nordey. Cette pièce a été choisie parmi les œuvres les plus marquantes d’Albert Camus, pour célébrer en 2010 le 50ème anniversaire de sa mort. Il donne une impulsion bien particulière à sa mise en scène; il place l’action en toile de fond, c’est-à dire

aux éclats Curriculum vitae  Marco Bretonnière, création son A commencé au théâtre avec les Trétaux de France en 1987, puis se consacre à la réalisation sonore à partir de 1993. Il travaille avec plusieurs metteurs en scène dont Stanislas Nordey, Laurent Serrano, Jacques Echantillon, Arnaud Churin, Stuart Seide, Gildas Millin, Bruno Bayen, Christian Benedetti, François Rancillac et Bernard Levy.  Giulio Lichtner, scénographie Au théâtre : A travaillé avec Denis Lachaud, Alain Milianti