Stade Chaban-Delmas

de Gaulle démissionne après l'échec d'un référendum sur la régionalisation et l'extension des pouvoirs spéciaux. - L'héritage gaulliste survit avec l'élection du président de la République, Georges Pompidou, dont le Premier ministre, Jacques Chaban-Delmas, neutralise la contestation par des mesures sociales telle la création du SMIC. Le nouveau Président accélère l'industrialisation et accepte l'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun, mais il meurt en 1974. - Ebranlée socialement et financièrement

d'une hémorragie cérébrale. Edmond Michelet est ministre d'État, chargé de la Fonction publique, du 6 avril 1967 au 31 mai 1968 (gouvernement Georges Pompidou IV), puis des Affaires culturelles, du 20 juin 1969 à son décès (gouvernement Jacques Chaban-Delmas). Fin connaisseur de Charles Péguy, il se liera d'amitié avec les de Gaulle, ou encore Marc Chagall. André Malraux dira de lui qu'il fut «l'aumônier de la France»[réf. nécessaire]. Décorations[modifier] Commandeur de la Légion d'Honneur

Parlement B/. Reposant sur une hégémonie présidentielle : «  tout le monde attend qu’il procède de mon choix » De Gaulle parlant du Conseil des ministres * Pouvoirs partagés/ Pouvoirs propres * Théorie du domaine réservé de Jacques Chaban-Delmas * Ordonnances de l’article 38, article 16 en cas de crise, utilisation de l’article 11 plutôt de que de l’article 89 en cas de révision de la constitution * Utilisation du référendum et mise en jeu de la responsabilité présidentielle

droit, il devient après guerre avocat à Bordeaux puis à Libourne. Il s’engage dans la vie politique, dès 1947, en adhérant au RPF (2) du général de Gaulle. La carrière de Boulin commence notamment sous le patronage de Jacques Chaban-Delmas (Cf annexe 1 : Jacques Chaban-Delmas), à ce moment, jeune député-maire de Bordeaux, et lui reste liée jusqu’au bout. Dès lors, toute sa vie est étroitement liée à celle du gaullisme dont il est, longtemps un militant et un modeste cadre local sous la IVe République

gaullienne du pouvoir), une volonté de modernisation économique (il prône l’«impératif industriel avec des programmes ambitieux tels le Concorde, le TGV) et le souhait de réformer une société « bloquée » avec notamment le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas qui entent construire une « nouvelle société » (création du SMIC, mensualisation des salaires, formation professionnelle continue) 2) Valéry Giscard d’Estaing : la continuité dans le changement VGE, ancien ministre de de Gaulle et Pompidou

le partage des pouvoirs dépend également des deux personnalités: effectivement, certains Premiers ministres ont conservé une marge de décision et d’autonomie, comme Pompidou entre 1962 et 1968 sous la présidence du Général De Gaulle, Jacques Chaban-Delmas lors de la période 1969-72, ou encore comme Alain Juppé sous l’autorité de Jacques Chirac en 1995-997. B/ La prééminence du Président au dépend du 1er ministre Cette situation de primauté présidentielle était celle qui primait sous la

l’assemblée nationale de la Vème République : * du 9 décembre 1958 au 20 juin 1969 : Jacques Chaban-Delmas, * du 25 juin 1969 au 1er avril 1973 : Achille Peretti, * du 2 avril 1973 au 2 avril 1978 : Edgar Faure, * du 3 avril 1978 au 21 mai 1981 : Jacques Chaban-Delmas, * du 2 juillet 1981 au 1er avril 1986 : Louis Mermaz, * du 2 avril 1986 au 12 juin 1988 : Jacques Chaban-Delmas, * du 23 juin 1988 au 21 janvier 1992 : Laurent Fabius, * du 22 janvier 1992 au 1er avril 1993 :

pro européennes et alliance de l'Atlantique Nord. Une majorité à deux candidats: Jacques Chaban-Delmas et Valéry Giscard d'Estaing: La droite est divisée en effet les gaullistes proposent Jacques Chaban Delmas, ancien Premier Ministre de Georges Pompidou de 1969 à 1972 et malgré la défiance d'une partie des parlementaires gaullistes durant la période où il a assumé les fonctions de Premier Ministre, Chaban devient un candidat sérieux et crédible pour la majorité gaulliste à partir de 1973. L'UDR

d’extrème droite pendant l’entre deux guerre, que des républicains de gauche (André malraux, René Capitant), des modérés (gaston Palexski, jacques Baumel), des démocrates-chrétien (Louis Terrenoire, Edmond Michelet) mais aussi des radicaux (jacques Chaban-Delmas, Michel debré) ainsi que des socialistes comme Louis Vallon et même Manuel Bridier, dirigeant national des jeunesses communistes.  Le but initial du « Rassemblement du peuple français » était de lutter contre le régime « exclusif » des partis

personnalités de la « classe dirigeante » française. Débuts en politique La mairie de Neuilly-sur-Seine. Déjà membre de l'UJP dès son arrivée à la faculté, Nicolas Sarkozy adhère à l'UDR en 1974. Il milite dès son entrée pour l'élection de Jacques Chaban-Delmas à la présidence de la République19. Devenu délégué départemental des jeunes UDR des Hauts-de-Seine, il participe à ce titre au congrès de Nice de juin 1975, destiné à rallier Valéry Giscard d'Estaing auxgaullistes, alors majoritaires au Parlement