Spartacus

nation envoyé pour les conquêtes + pour garder la paix sur les territoires conquis. (beaucoup d’hommes meurs) Arrivée d’une main d’œuvre in-concurrençable : les esclaves qui augmentent. A Rome, un esclave est un objet.  Révolte d’Esclave avec Spartacus. Spartacus (70 avt JC) : général trace ( ?) qui a sut fédérer d’autres esclaves. Il a tenu en échec + de 6 légions et il a fallu 8 ans pour le réduire. Corruption Social qui s’étend à l’Armée : des éléments populaires intégrés dans l’armée  La discipline

  I) De la révolte spontanée à la lutte réfléchie.     A travers les âges, le monde du travail quel que soit son organisation s’est trouvé en  confrontation avec…    A) Les acteurs : les pauvres et les riches.  Des révoltes célèbre et ancienne, (Spartacus qui va servir de modèle) ou en Egypte (18ème  dynastie, on vie les nobles en deuil et les plébéien exulté.  Au moyen âge on a des exemples de révolte mais ses révolte du moyen âge son évoquer  timidement par les religieux ( qui ne sont pas toujours du côté du peuple)

ces conflits autour du travail, donc des relations de pouvoir qui se trouvent au sein du travail. b ) Le problème des conflits sociaux. L’existence de conflits sociaux, comme les grèves, les révoltes paysannes ou celles des esclaves ( Spartacus), et même sous certains aspects, les révolutions politiques, révèlent la présence au sein du travail de jeux de pouvoir, de rapports de force entre ceux qui travaillent et d’autres personnes qui exercent d’autres métiers ou qui ne travaillent pas

n'apparut qu'assez tard, vers 1830, et dura peu. Jusque-là les artistes, n'osant pas rompre avec le canon traditionnel, tentaient seulement d'accentuer le mouvement des lignes ou de leur donner plus de souplesse : le quadrige du Carrousel de Bossio, le Spartacus de Foyatier, le Coureur de Marathon de Cortot ne manifestent encore qu'un timide acheminement vers la liberté. Les sculpteurs vraiment romantiques se trahissent à leurs sujets : la littérature moderne, le Moyen Âge et la Bible les fournissent

gladiature. Certains riches mécènes possèdent des gladiateurs qu'ils éduquent, entrainent. Le gladiateur est souvent d'origine modeste et il est souvent volontaire. Dans ces écoles de gladiateurs, on relève des soulèvements, le plus célèbre est celui de Spartacus en -73. Il se soulève avec ses camarades à l'école de Capoue, il amène près de 70 000 esclaves. Dès l'instauration de l'Empire, l'État devient l'organisateur principal des combats. En moyenne, 120paires de combattants s'affronter dans un même spectacle

conditions de vie se dégradent car ils sont trop nombreux , traites avec beaucoup de brutalité . Alors révoltes d'esclaves avec Spartacus ( ancien gladiateur ) vers 70 avant jc il va s'échapper ( c'était un gladiateur enfermé ) va recruter plein d'autres esclaves , avec cette armée va parcourir toute l’Italie , va frôler Rome il va tuer l'un des consuls / pour éliminer Spartacus , il en faudra autant qu'il a fallu a césar pour conquérir la Gaulle en 8 ans . Ils ont étés crucifies 6000 esclaves mains

sécurité n’existent pas. On leur donne des outils pas très adaptés au travail. Très mal traité. Ils portent des fers d’esclaves, ils ont un collier de ferraille. Leur nombre ? Evolution à la fin de la république. - La peur des révoltes serviles. Spartacus (73-71 avant JC). Les révoltes serviles commencent en 130-170, mais à l’époque étudié, il y a déjà des révoltes. On oublie les querelles entre les voisins. - Les marchés serviles - Délos. Dans l’ile de Délos, on vendait 10000 esclaves/jour. On sait

deviennent pas assez vite citoyens. Rome gagne militairement cette guerre mais procède à une extension de la citoyenneté romaine. Ensuite vient l’épisode de la guerre civile qui voit la rébellion d’un autre type de laissés pour compte : les esclaves. Spartacus prend les devants de cette guerre servile. Les Romains étouffent cette révolte et crucifient tous les esclaves pour que cette punition marque bien les esprits. Rome devient un Etat militaire et les généraux conduisent le jeu politique romain : Pompée

Princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers ; Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus, un esclave, un vil gladiateur, S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent, De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux, Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux ? Que dis-je

Lafont, 1974 La Washington connection et le fascisme dans le tiers monde, avec Edward Herman, J-E Hallier/Albin Michel, 1981, (ISBN 2862970522), 2 tomes Écrits politiques (1977-1983), Acratie, 1984 Réponses inédites à mes détracteurs parisiens, Spartacus, 1984, (ISBN 2902963084) L'an 501 - La conquête continue, L'Herne, 1992 Les dessous de la politique de l'Oncle Sam, Écosociété, 1996, (ISBN 9782921561280) Responsabilités des intellectuels, Agone, 1998, (ISBN 2910846083) Propagande, médias, démocratie