Souvenir

années 1950, de nombreuses de ses oeuvres poétiques sont mis en mis en musique, par de nombreux chanteurs français comme Léo Ferré ( Strophes pour se souvenir (renommé L'affiche rouge)), Jean Ferrat, et George Brassins ( Il n'y a pas d'amour heureux ). *Possible relation avec le poème de Victor (Gabriel Péri, Paul Eluard) STROPHES POUR SE SOUVENIR Vous n'avez réclamé la gloire ni les larmesNi l'orgue ni la prière aux agonisantsStrOnze ans déjà que cela passe vite onze ansVous vous étiez servi

maison se trouvait au bord de la mer et nous nous baignions tous les jours en rentrant de l’école. Un beau jour, pendant la nuit, il plut très fort et le matin nous nous retrouvâmes les pieds dans l’eau. Je garde de ces 3 années passées là-bas, un souvenir inoubliable. Nous rentrâmes en métropole en 2008 ou nous retrouvâmes notre maison à Toulouse. Le retour en France fût difficile car il faisait toujours beau et chaud en Guyane et que nous avions une certaine liberté (toujours en short et pieds nus)

troHDA : « Strophes pour se souvenir » 1955 Louis ARAGON -Né en 1897, mort en 1982. Louis Aragon est un romancier, poète, mais aussi un homme engagé qui pendant la seconde guerre mondiale s’est engagé dans la résistance (dés 1941). -Ce poème est composé de 7 quintiles (strophes de 5 vers) les 4 premières rimes de chaque strophes constitues des rimes embrassées et les vers sont des alexandrins. -Ce poème est écrit en 1955 à l’ occasion de l’inauguration d’une rue « groupe Manouchian » à paris

Un souvenir est quelque chose dont on se remémore, un élèment de mémoire. « La vieille armoire en chêne se souvient-elle du temps où elle avait des feuilles ? » Paul Valéry Pour René Descartes, la description des mécanismes psychologiques permet de définir certaines de nos facultés. Ainsi le souvenir des choses matérielles est-il la conservation de certaines traces de mouvements provoqués dans notre cerveau. De même, l'imagination ne s'explique que par des mouvements corporels joints à une certaine

Un souvenir rattrapé Je traversais le pont qui ramenait au centre de Barcelone, avec mon vieil ami Ricardo. Soudain, un cri surgit. Mais ce n'était pas un cri ordinaire. C'était un hurlement. J'étais là, sur le pont. Des immeubles immenses, et mo, entouré de personnes effrayées. C'était en 1940. Envoyé comme S.S à Auschwitz-Birkeneau, un wagon arrivait avec des humain considerés comme des bêtes. Ils étaient tous entassés. On les frappait. Il n'y avait n'y eau, n'y nourriture. Les portes

leur médailles puis vient le tour des filles de troisièmes. Je suis appelée et une fierté surgit en moi en me dévastant comme une tornade, mes camarades sont ceux qui cris et applaudissent le plus fort. Je reçois ma médailles et garde un merveilleux souvenir de ce cross, je finirais ce récit par une phrase : quand on veut on peut… il suffit d’y croire.

Souvenir J'espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir 
En osant te revoir, place à jamais sacrée, 
O la plus chère tombe et la plus ignorée 
Où dorme un souvenir ! Que redoutiez-vous donc de cette solitude, 
Et pourquoi, mes amis, me preniez-vous la main, 
Alors qu'une si douce et si vieille habitude 
Me montrait ce chemin ? Les voilà ces coteaux, ces bruyères fleuries, 
Et ces pas argentins sur le sable muet, 
Ces sentiers amoureux remplis de causeries, 
Où son bras m'enlaçait. Les voilà

Louis Aragon, auteur du XXème siècle, est un poète engagé. Il écrit « Strophes pour se souvenir », poème extrait du Roman Inachevé, en 1955, en mémoire du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par la Gestapo en 1944. L'annonce de leur condamnation avait été faite par le biais d'une affiche reproduisant leurs photographies, et qui est restée sous le nom de l'Affiche rouge. Le poète tente de raviver le souvenir des résistants. Nous étudierons d’abord l’aspect historique puis la lettre de Manouchian

d’un effort incessant, aussi faible que puéril, pour maîtriser une trépidation habituelle, - une excessive agitation nerveuse. Je m’attendais bien à quelque chose dans ce genre, et j’y avais été préparé non seulement par sa lettre, mais aussi par le souvenir de certains traits de son enfance, et par des conclusions déduites de sa singulière conformation physique et de son tempérament. Son action était alternativement vive et indolente. Sa voix passait rapidement d’une indécision tremblante, - quand les

L'histoire est souvent racontée comme une chronique de bonnes personnes faisant de bonnes choses, mais pour la plupart d'entre nous, la vie n'est pas faite de grands moments mais de petits moments. Ce souvenir fait partie de mes petits moments que je garde dans ma mémoire avec précaution. Je me souviens de ce jour où mon petit frère s'est perdu au centre commercial. C'était son anniversaire et je l'ai accompagné pour qu'il puisse choisir un cadeau pour l'occasion. Un fois arrivée, j'ai rencontré