Sonnet Du Trou Du Cul

d’une subvention pour l’Opéra-Comique, ou d’une saignée de cent mille francs sur un budget apoplectique de quinze cents millions. Personne ne songeait plus à lui, coupetête. Ce que voyant, l’homme se tranquillise, il 22 met sa tête hors de son trou, et regarde de tous côtés ; il fait un pas, puis deux, comme je ne sais plus quelle souris de La Fontaine, puis il se hasarde à sortir tout à fait de dessous son échafaudage, puis il saute dessus, le raccommode, le restaure, le fourbit, le caresse

Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant, qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie. » Le « petit poème en prose » baudelairien valorise l’ambiguïté comme mécanisme poïétique 8 conscient, assurant, intentionnellement, la fécondité de son héritage herméneutique, ce qui est à

cette première mondiale. « C’est un projet très ambitieux. Il n’y a encore jamais eu, en France ou ailleurs, d’enquête épidémiologique (NDLR : l’étude des déterminants des maladies) ciblée sur les étudiants. La santé des jeunes adultes, c’est un peu le trou noir de la recherche. Grâce à cette cohorte, on va mieux connaître leur état de forme, leurs pathologies, et donc être en mesure d’agir », poursuit le Pr Tzourio. Des bénévoles rémunérés Quatre thématiques seront passées au crible, avec l’espoir à

que je veux de vous, je vous donnerai ce que vous voudrez ; de l'argent, si vous en voulez. Le Docteur Hé ! de l'argent. Le Barbouillé Oui, de l'argent, et toute autre chose que vous pourriez demander. Le Docteur, troussant sa robe derrière son cul. Tu me prends donc pour un homme à qui l'argent fait tout faire, pour un homme attaché à l'intérêt, pour une âme mercenaire ? Sache, mon ami, que quand tu me donnerois une bourse pleine de pistoles, et que cette bourse seroit dans une riche boîte, cette

de cette séance matinale, les premiers événements du jour. Mais quelquefois ces événements revêtaient un caractère si mystérieux et si grave que ma tante sentait qu’elle ne pourrait pas attendre le moment où Françoise monterait, et quatre coups de sonnette formidables retentissaient dans la maison. – Mais, madame Octave, ce n’est pas encore l’heure de la pepsine, disait Françoise. Est-ce que vous vous êtes senti une faiblesse ? – Mais non, Françoise, disait ma tante, c’est-àdire, si, vous savez bien

cette séance matinale, les premiers événements du jour. Mais quelquefois ces événements revêtaient un caractère si mystérieux et si grave que ma tante sentait qu’elle ne pourrait pas attendre le moment où Françoise monterait, et quatre coups de sonnette formidables retentissaient dans la maison. – Mais, madame Octave, ce n’est pas encore l’heure de la pepsine, disait Françoise. Est-ce que vous vous êtes senti une faiblesse ? – Mais non, Françoise, disait ma tante, c’est-à-dire, si, vous savez

travaillaient la terre pour gagner de quoi vivre, d'autres se contentaient de bière et de vagues subsides. Enfant, son sort avait été un peu meilleur, mais de si peu que, même à cet âge, elle avait craint de perdre ce léger avantage et de se retrouver dans ce trou où le pain quotidien était servi avec parcimonie. Elle aperçut d'abord le clocher de l'église. La ville en avait quatre, du moins à l'époque. Mais la plupart des personnes de sa connaissance appartenaient à l'église baptiste. Autrefois, elle avait

ce que je veux de vous, je vous donnerai ce que vous voudrez ; de l'argent, si vous en voulez. Le Docteur Hé ! de l'argent. Le Barbouillé Oui, de l'argent, et toute autre chose que vous pourriez demander. Le Docteur, troussant sa robe derrière son cul. Tu me prends donc pour un homme à qui l'argent fait tout faire, pour un homme attaché à l'intérêt, pour une âme mercenaire ? Sache, mon ami, que quand tu me donnerois une bourse pleine de pistoles, et que cette bourse seroit dans une riche boîte, cette

respirer une mauvaise odeur, au sens figuré. Votre interlocuteur peut se le boucher pour vous signaler involontairement qu’il est en train de s’engager sur une voie de garage à son insu. La sonnette Il écrase la pointe de son nez du bout de son index (voir Figure 5-8). Figure 5-8 : Prendre son nez pour une sonnette revient à se priver de son flair. Le nez est le siège symbolique du savoir-faire. Ah ! Si le nez était une commande électrique ! Mais l’écraseur a beau appuyer, le savoir-faire n’est pas

petits singes frisottés, noirs comme du velours, avec des dents blanches et des yeux moqueurs, venaient nous raconter des tas d’histoires. De temps à autre, un caïman plongeait du rivage avec un grand bruit d’eau. Un tapir nous regarda à travers un trou dans les buissons, puis repartit vagabonder dans la forêt. Une fois, la silhouette sinueuse d’un puma surgit dans les broussailles, ses yeux verts, sinistres, nous contemplèrent avec haine par-dessus ses épaules jaunies. Les oiseaux étaient particulièrement