Sonnet Du Miroir Commentaire

ressent une joie intense lorsqu’il se voit avec sa m`ere dans le miroir, il veut caresser l’image, il regarde l’image de sa m`ere, puis se retourne vers la m`ere r´eelle. Vers 7 mois il ´evite plus ou moins les personnes ´etrang`eres qui peuvent l’inqui´eter. 4.5.2 Les d´ ebuts de la formation du moi Les principaux signes d’´evolution dans la formation du Moi au cours de cette p´eriode concernent les r´ eactions de l’enfant face au miroir. Vers l’ˆage de 6 mois le b´eb´e est capable d’effectuer des

d’un étage, sans fenêtres, il n’offrait rien qu’une porte au rez-de-chaussée, et à l’étage la façade aveugle d’un mur décrépit. Il présentait dans tous ses détails les symptômes d’une négligence sordide et prolongée. La porte, dépourvue de sonnette ou de heurtoir, était écaillée et décolorée. Les vagabonds gîtaient dans l’embrasure et frottaient des allumettes sur les panneaux ; les enfants tenaient boutique sur le seuil ; un écolier avait essayé son canif sur les moulures ; et depuis

travestissent en femmes et se livrent à toute une série de danses d’exhibition devant les femmes qui font des commentaires (rituel qui marque le passage de l’enfance à l’âge adulte). Bateson observe une escalade (dans les rôles de voyeur, de spectateur et d’acteur que tiennent les hommes et les femmes dans cette cérémonie). Il remarque que plus les femmes s’esclaffent, font des commentaires, rigolent, plus les hommes en rajoutent ce qui en retour maintient l’attention des femmes et ce surcroît d’attention

Haut d’un étage, sans fenêtres, il n’offrait rien qu’une porte au rez-de-chaussée, et à l’étage la façade aveugle d’un mur décrépit. Il présentait dans tous ses détails les symptômes d’une négligence sordide et prolongée. La porte, dépourvue de sonnette ou de heurtoir, était écaillée et décolorée. Les vagabonds gîtaient dans l’embrasure et frottaient des allumettes sur les panneaux ; les enfants tenaient boutique sur le seuil ; un écolier avait essayé son canif sur les moulures ; et depuis près

n’offrait rien qu’une porte au rez-de-chaussée, et à l’étage la façade aveugle d’un mur décrépit. Il L’Étrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde présentait dans tous ses détails les symptômes d’une négligence sordide et prolongée. La porte, dépourvue de sonnette ou de heurtoir, était écaillée et décolorée. Les vagabonds gîtaient dans l’embrasure et frottaient des allumettes sur les panneaux ; les enfants tenaient boutique sur le seuil ; un écolier avait essayé son canif sur les moulures ; et depuis près

Proust. Remarques sur Ç A la Recherche du Temps perdu È (Paris : Julliard, [1960]). Ñ 12 Ñ encore nous intŽressent-ils infinement, m•me par lˆ, car leur Žchec est instructif. De sorte que quand un livre nÕest pas le miroir dÕune individualitŽ puissante, il est encore le miroir de dŽfauts curieux de lÕesprit. PenchŽs sur un livre de Musset, nous apercevons au fond du premier ce quÕil y a de court et de niais dans une certaine Ç distinction È, au fond du second, ce quÕil y a de vide dans lÕŽloquence

Haut d’un étage, sans fenêtres, il n’offrait rien qu’une porte au rez-de-chaussée, et à l’étage la façade aveugle d’un mur décrépit. Il présentait dans tous ses détails les symptômes d’une négligence sordide et prolongée. La porte, dépourvue de sonnette ou de heurtoir, était écaillée et décolorée. Les vagabonds gîtaient dans l’embrasure et frottaient des allumettes sur les panneaux ; les enfants tenaient boutique sur le -4- seuil ; un écolier avait essayé son canif sur les moulures ; et

Haut d’un étage, sans fenêtres, il n’offrait rien qu’une porte au rez-de-chaussée, et à l’étage la façade aveugle d’un mur décrépit. Il présentait dans tous ses détails les symptômes d’une négligence sordide et prolongée. La porte, dépourvue de sonnette ou de heurtoir, était écaillée et décolorée. Les vagabonds gîtaient dans l’embrasure et frottaient des allumettes sur les panneaux ; les enfants tenaient boutique sur le seuil ; un écolier avait essayé son canif sur les moulures ; et depuis près

leur café » (pp. 46-49). Ce dialogue désigne à la fois leur ségrégation sociale, le rapport de complémentarité (ils commentent en bas les événements d’en haut) et de similitude (ils reproduisent en bas l’idéologie d’en haut et sa hiérarchie). Les commentaires de Sylvie sur les hôtes de la pension redoublent les jugements de Mme Vauquer, tandis que Christophe se caractérise par un bon sens qui le verra à la fin du roman accompagner la dépouille de Goriot au Père-Lachaise. Ses qualités de cœur restent

encore? Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie: Emportez-moi comme elle, orageux aquilons! Commentaire. J'écrivis cette première méditation un soir du mois de septembre 1819, au coucher du soleil, sur la montage qui domine la maison de mon père, à Milly. J'étais isolé depuis plusieurs mois dans cette solitude. Je lisais, je rêvais, j'essayais quelquefois