Son Retour Marceline Desbordes Valmore

inexprimable expression d’extase et de regret.[322] L’Absolu « apparaît désormais inaccessible comme l’horizon lui –même et comme le soleil qui s’y couche[323]. » On peut lier le mythe solaire chez Nerval  à celui de Napoléon. En effet, le retour des cendres de ce dernier en 1840, donna naissance à un renouveau bonapartiste. Le mythe solaire est visible dans les sonnets de 1841-1846 : A Hélène de Mecklembourg, A Louise d’Or…, reine, A Madame Ida Dumas et La tête armée. Les vers 1-2 du sonnet

Millevoye (1782–1816) and Pierre Lebrun (1785–1873) – who built a tentative bridge between the old conformities and the new sensibility. A more distinctive and personal lyrical voice was heard in the first collection (Élégies, 1819) of Marceline Desbordes-Valmore (1786–1859) who wrote of her tragic life directly and without selfpity. She spoke of remembered love and precarious joys not as abstractions or absolutes but through exactly observed impressions of the natural and everyday world. Her unself-conscious