Solidarność

d'œil continue d'exister, un « mur dans les esprits ». LA FIN DU BLOC SOVIETIQUE : LES GRANDES DATES 1989, 5 avril : accords « de la table ronde » entre le pouvoir polonais et Solidarnosc, qui est autorisé à participer aux élections. 13 juin : table ronde pouvoir-opposition en Hongrie. 18 juin : victoire de Solidarnosc aux élections en Pologne. 23 août : la « voie balte », chaîne humaine allant de Vilnius à Tallin pour demander l'indépendance des pays Baltes. 24 août : premier gouvernement

Une faillite politique, idéologique et sociale. Qui se traduit par le renouveau religieux, l’adhésion de la jeunesse au modèle culturel occidental, le développement d’organisations ou de syndicats qui se démarquent du communisme officiel (comme Solidarnosc en Pologne). La conjonction de ces deux crises, et le fait qu’elles atteignent une sorte de maximum au moment de l’arrivée au pouvoir de Gorbatchev en 1985, préparent la fin accélérée des démocraties populaires. Cette accélération de l’histoire

catholique. Un syndicat libre “Solidarnosc” s’est constitué depuis les chantiers navals de Gdansk, régulièrement en grève et qui sont en pointe de la contestation. “Solidarité” est dirigé par Lech Walesa et conteste de plus en plus le pouvoir. il est ouvertement soutenu par le nouveau pape, Jean-Paul II, un Polonais (voyages retentissants du nouveau pape Jean-Paul II dès 1979, appui aux opposants). En 1989, des élections législatives libres marquent le triomphe de Solidarnosc : pour la 1ère fois depuis

de sa citoyenneté et expulsé en 1974) En 1989, la situation des démocraties populaires évolue. En mai, le « rideau de fer » est ouvert entre la Hongrie et l’Autriche ; en juin, les premières élections libres ont lieu en Pologne (le syndicat Solidarnosc gagne ces élections et pour la première fois depuis 1945 un Premier ministre non communiste est à la tête du gouvernement) ; en novembre ; la RDA ouvre le mur de Berlin sous la pression populaire qui veut se déplacer librement (et la réunification

sous l'impulsion de Myklos Nemeth, accepte le principe du multipartisme dès février 1989. En juin, Imre Nagy et les protagonistes de l'insurrection de Budapest en octobre 1956 sont réhabilités. En République populaire de Pologne, le syndicat libre Solidarność est à nouveau autorisé en avril 1989. En juin, le mouvement remporte la victoire aux élections législatives, et refuse tout accord de gouvernement avec le Parti ouvrier unifié polonais. Wojciech Jaruzelski, seul candidat autorisé, est élu Président

ont été changé afin qu'ils ne puissent jamais se retrouver). En Pologne va être le point de départ de l'effondrement du bloc de l'est, en Europe. En 80, montée d'un syndicat libre : Solidarnosc (crée en 70 par la classe ouvrière insatisfaite des autres syndicats). Tout le monde adhère (80% de la pop) à Solidarnosc et revendique la liberté syndicale et la reconnaissance de ce dernier ce qu'il réussisse, puis est reconnu comme un parti. Très vite le régime ne peut plus supporter ce pouvoir qui devient

Vassili Alexandrovitch Tchevtchenko comme membre titulaire et reprend l’essentiel de ses attributions sous un œil dogmatique. Tadeusz Boczek : théoricien et organisateur réformateur polonais. On lui propose un ministère à Varsovie avec l’arrivée de Solidarnosc mais il meurt avant d’avoir pu rejoindre son poste. Günther Schütz : Un des plus fervents avocats de l’érection du mur de Berlin. Nommé expert auprès du Politburo estallemand, il dirige dès 1965 l’école supérieure du parti en RDA. En 1970, il est

Libération des détenus politiques Reconnaissance du droit de grève Reconnaissance de la liberté syndicale et de la formation de syndicats indépendants. Liberté d'expression religieuse Limogeage de Gierek remplacé par Kania Création du syndicat SOLIDARNOSC (Solidarité) Enregistré officiellement le 10 NOV 80 10 millions d'adhérents au premier congrès national en oct. 81 (le POUP n'en a plus qu'un million et demi ...) 3. La nouvelle situation politique polonaise : De nouveaux rapports se dessinent

(accords SALT II non ratifiés par le Congrès américain) ( maintien et même reprise de la course à l’armement en Europe ▪ Crispations soviétiques à propos de l’essor de la dissidence et de la contestation démocratique (notamment en Pologne : syndicat Solidarnosc de Lech Walesa, Eglise catholique [Karol Wojtyla archevêque de Cracovie devenu Jean-Paul II, se donne un rôle politique, action de prêtres polonais ex père Popieluszko]) ▪ Crise des « euromissiles » 1977-1983 (installation de missiles américains

ont été changés afin qu'ils ne puissent jamais se retrouver). En Pologne va être le point de départ de l'effondrement du bloc de l'est, en Europe. En 80, montée d'un syndicat libre : Solidarnosc (crée en 70 par la classe ouvrière insatisfaite des autres syndicats). Tout le monde adhère (80% de la pop) à Solidarnosc et revendique la liberté syndicale et la reconnaissance de ce dernier ce qu'il réussisse, puis est reconnu comme un parti. Très vite le régime ne peut plus supporter ce pouvoir qui devient