Solidarité et progrès

aujourd’hui possible d’intégrer la problématique environnementale à la croissance économique, mais cela suppose une forte volonté politique. Actuellement, des moyens favorable à une « croissance verte » sont à notre disposition. En effet, le progrès technique a permis de promouvoir une croissance économe en ressource naturelle et de créer des emplois. Schumpeter parlerait ici de « destruction créatrice » puisque des innovations de produits, ont permis un nouveau développement et une nouvelle

* Comment peut-on mobiliser les ressources nécessaires ? * Faut-il craindre un processus de croissance infinie ? Enjeux : * Comprendre la diversité des facteurs de croissance  : elle dépend de facteurs économiques ( travail, capital, progrès technique) mais aussi de facteurs institutionnels * Savoir appréhender les limites de la croissance, notamment la limite écologique, ce qui conduit à relativiser sur l’importance de cet objectif macro-économique qu’est la croissance au regard

La protection de l’environnement 3.L’équité sociale (égalité de justice) 3 principes : 1. Le principe de précaution : arrêter une activité économique si risque, même minime, d’un dommage grave et irréversible. 2.Le principe de solidarité : permettre aux générations suivantes de vivre et conditions décentes 3. Le principe de participation : Chaque individu changeant son comportement contribue au développement durable. II. Le développement durable en pratique

contradiction entre les deux règles ce qui nous pousse à parler de la supériorité des droits et surtout les droits humains internationaux. dans les société traditionnelles c'est la règle de la morale qui conditionne la vie des individus, mais le progrès réalisé particulièrement en occident a permis la scientificité de la règle morale en la transformant en règle de droit. quand on évoque la règle de droit on distingue entre le droit répressif et le droit restituf. le premier sanctionne les

sont variées : Durkheim, sociologue français, l’associa au lien social et à la solidarité. Weber, allemand, aux valeurs et aussi à la solidarité. Tocqueville, français, à la démocratie, et Marx, allemand, considère le conflit la seule route au changement social (dans son contexte de lutte de classes). Le changement social est en relation aussi avec le développement : L’épargne (los ahorros), l’intégration du progrès technique ou l’éducation obéissent à certaines valeurs, et donc certaines sociétés

phénomène ? Corrigé : · Rappel des droits de l'homme lorsque ceux-ci sont bafoués. · Cet article souligne le droit à la différence même si celle-ci peut être source de peur inconsciente et de fantasmes. · L'article renvoie aux valeurs de solidarité et aux valeurs humanitaires pour enrayer certains phénomènes sociaux. QUESTION 4 Quelle définition donner au mot « racisme » ? Corrigé : Le racisme est le sentiment qu'une race est inférieure à une autre (ou à d'autres ) et que de

par Le Contrat Social, Rousseau discute sur ce qu’est l’inégalité et nous décrit la terre comme initialement peuplée d’individus qui ne connaissent que des besoins facilement satisfaisables. Pour Rousseau, l’injustice sociale est l’ombre portée du progrès technique. Rousseau, dans le second discours, fabule une genèse de la terre et trouve comme point d’aboutissement la nécessité d’une réforme. La démarche de Rousseau est assez intéressante ; elle est fondée sur le mécontentement et l’insatisfaction

développement durable. Dans ce but, il doit reposer sur trois principes fondamentaux. C. Les trois principes du développement durable a) Le principe de solidarité Le principe de solidarité recouvre la solidarité entre les personnes d’une même génération, car une société qui avance ne peut être une société qui exclut, mais aussi la solidarité intergénérationnelle : « on ne transmet pas notre planète à nos enfants, nous ne faisons que la leur emprunter ». Ce principe met en avant les dimensions

corps fatigué empêche l’esprit de bien fonctionner. En faisant des progrès dans la connaissance de la matière, on fera des progrès en médecine et l’esprit ne sera pas empêché de fonctionner. 3ème argument : le progrès technique permet de devenir + riche collectivement et quand on est riche on peut organiser une solidarité efficace (retraites…), ce qui est impossible quand on est collectivement pauvre. Descartes pense donc que le progrès technique améliore l’humanité. Aujourd’hui, nous ne sommes pas

L'humanité a toujours eu une tendance civilisatrice qui l’a amenée à se développer matériellement. Charles Beaudelaire, grand poète du XIXème siècle, écrivit en 1851 que ce progrès était inutile car l'homme restait attaché à son comportement et à son mode de pensée sauvages. Le terme « sauvage » désigne par définition ce qui n'est pas civilisé. Beaudelaire stipule donc que l'évolution de la civilisation laisse la nature humaine immuablement primitive, incapable de progresser spirituellement. Ainsi