Soleil Couchant Conclusion

un tee-shirt,ses lèvres sont très peintes, son visage tour à tour bleu ou brouillé d'ombres noires, n'est pas seulement confronté à sa transformation en motif décoratif stabilisant ses traits. La série lithographiée fait face à une série de soleils couchants, tout en douceur, réalisée au même moment. 2 3) Interprétation: Le message que veut faire passer Andy Warhol dans cette œuvre est quelque chose d'original, qui doit toucher le plus grand nombre de personne et qui soit reconnaissable par

« Rêverie d’un passant à propos d’un roi », d’ « A M. de Lamartine », de « Soleils couchants » et de « La Prière pour tous ». Hugo ne procède différemment selon les types de poèmes qu’il prévoit de composer. Les deux derniers poèmes cités, « Soleils couchants » et « La Prière pour tous », sont divisés en sections et n’ont pas une vocation très narrative : « Soleils couchant » s’amorce sur l’évocation des couchers de soleil et se termine par une comparaison entre le cycle éternel de la nature et le

34), renvoient à une réalité précise, le Bois de Boulogne, une réalité parisienne, à la fois lieu champêtre et très mondain. C’est le cadre d’une parade mondaine rituelle, celle du « Tout Paris » (l 42) - Moment : 3 notations relatives : « le soleil se couchait » « dans un ciel d’octobre »(l.5) « cet après-midi d’automne » (l.34), « malgré la saison avancée » (l.42). Cette ouverture de roman se présente paradoxalement comme une « fin » - Personnages : Ils sont présentés par tout un système

lecture d'Emma , elle a grandit dans un couvant et elle a beaucoup lu . On y recconnait des romans essentiellement sentimentaux souvent situés dans des pays exotiques évoqué par la periphrase : " ces pays à noms sonores" ou ""par les golfes au soleil couchant " ou " le parfums des citronniers" , cela peut etre même des romans situés dans un pays moins éloigné mais dans un cadre hydiliqsue tels que les romans pastoraux qui se trouvent escarpés de la ligne 5 ou la montagne de la ligne 7 et les clochettes

est présentée comme un idéal. Certains personnages tels que le peintre, étouffés par la corruption et la débauche rêvent d’une nature pure et préservée, située au-delà loin de la souillure. Ainsi Catherine, la tante de Lorenzo, contemple le soleil couchant sur le bord de l’Arno à la scène 6 de l’Acte 1. Elle éprouve une grande admiration et la nature paraît pour elle être un réel moyen d’évasion comme le montre la phrase « C’est une singulière chose que toutes les harmonies du soir avec le bruit

Analyse de l'image Le paysage Les tours de Notre-Dame situent l’action à Paris. Les barricades, symboles du combat, différencient les niveaux du premier plan à droite. La cathédrale paraît loin et petite par rapport aux figures. La lumière du soleil couchant se mêle à la fumée des canons. Révélant le mouvement baroque des corps, elle éclate au fond à droite et sert d’aura à la Liberté, au gamin et au drapeau La couleur La couleur unifie le tableau. Les bleus, blancs et rouges se répètent en

Bois »(l. 34), renvoient à une réalité précise, le Bois de Boulogne, une réalité parisienne, à la fois lieu champêtre et très mondain. C’est le cadre d’une parade mondaine rituelle, celle du « Tout Paris » (l 42) Moment : 3 notations relatives : « le soleil se couchait » « dans un ciel d’octobre »(l.5) « cet après-midi d’automne » (l.34), « malgré la saison avancée » (l.42). Cette ouverture de roman se présente paradoxalement comme une « fin » Personnages : Ils sont présentés par tout un système de

C'est un lieu propice à la méditation, la mélancolie rappelée par le cycle des saisons. Mais pour la plupart des romantiques, le spectacle de la Nature ramène d'abord à l'Homme lui-même: l'automne « les arbres n’ont plus de feuilles » et les soleils couchants deviennent dès lors des images du déclin de nos vies, alors que le vent qui gémit et le roseau qui soupire symbolisent des émotions. C'est la théorie du paysage-état d'âme. La Nature, enfin, est un lieu de repos, de recueillement; en s'y arrêtant

cette « vision rouge » qui s’appuie sur de nombreux termes qui filent la métaphore : le soleil rougeoie avec ses derniers rayons qui « ensanglantaient la plaine », la « route semble charrier du sang », les femmes et les hommes – recevant cette lumière sur eux – sont comparés à des « bouchers en pleine tuerie », « saignant » en raison de cette « pourpre sombre » (couleur violette intense) versée par le soleil couchant. Tout est expliqué par l’heure où se situe la scène, mais le lecteur en garde l’impression

». Les h sont des « furieux », ils sont transfigurés par « la colère, la faim, deux mois de souffrance et cette débandade enragée au travers des fosses », si bien que Négrel, l'ingénieur du Voreux, ne les reconnaît pas . – La lumière rouge du soleil couchant rend la scène encore plus frappante : « les derniers rayons, d'un pourpre sombre, ensanglantaient la plaine. A lors, la route sembla charrier du sang...saignant comme des bouchers en pleine tuerie » – Les armes des manifestants sont mentionnées