Soleil Couchant Conclusion

idéale où se côtoieraient Ruysdael pour ses ciels, Vermeer pour ses intérieurs, et enfin Claude Gellée, dit le Lorrain pour ses ports au coucher du soleil. Baudelaire, comme dans « Bohémiens en voyage »5, transpose des atmosphères picturales. Ce passage insensible à l’univers des paysagistes est perceptible dès les notations météorologiques : « Les soleils mouillés De ces ciels brouillés ». Ici le pluriel « ciels » au lieu de cieux désigne clairement un emploi artistique6. Notons que le poète joue

avec « attentive », néologisme d’Apollinaire pour désigner la prostituee qui attend le client.Cf. « Vendémiaire » ; « mais où est le regard des sirènes ? » « dans l’onde où s’enfoncent les astres ».La mer devient alors le miroir des astres, le soleil couchant s’y reflète, s’y voie.A la strophe 7 on a une construction contrapuntique, comme au début de « zone ».Il faut lire ensemble les vers 1 et 3 de la strophe, et le vers 2,4 et 5.Il faut enjamber pour rétablir la continuité syntaxique.« Vergues et

Turner en vers la révolution industriel et le monde moderne. Sur le tableau, on aperçoit de nombreux phénomènes naturels, notamment le coucher du soleil, représenté d’une façon spectaculaire. La partie gauche du tableau est celle qui comporte le plus d’éléments matériels avec 5 bateaux représentés, dont le « Téméraire », loin à coté du coucher du soleil, montrant sa splendeur dans un aspect fantomatique, Tractant ce dernier, le bateau à aubes est petit, sombre, crache du feu et crée du tumulte dans

sont des vers courts et donc mélodiques parce qu'ils permettent à intervalles de temps les mêmes sonorités très souvent, la rime revient comme un écho rapproché. A l'intérieur des vers il y a un regroupement de sonorités identiques : Vers 7, 8 : les soleils mouillés De ces ciels brouillent C'est une allitération en " l "Ceci se passe aussi en vers 3-5, 18-19La musiques tout à fait propice a la rêverie renforce l'idée de voyage imaginaire. 2. Un lieu indéterminé A) " la bas " C'est la première

aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts ». Lamartine met en contraste plusieurs éléments lors de sa description du paysage. « Le crépuscule encor jette un dernier rayon » au vers 10 met en opposition le soleil se couchant, donc l’obscurité naissante, et un rayon de soleil qui apporte la lumière. Le vers 28 « Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé » met en contraste la valeur à la quantité. Une seule personne qui nous est chère à plus d’importance que toutes les autres. II. Une

idéale où se côtoieraient Ruysdael pour ses ciels, Vermeer pour ses intérieurs, et enfin Claude Gellée, dit le Lorrain pour ses ports au coucher du soleil. Baudelaire, comme dans « Bohémiens en voyage »5, transpose des atmosphères picturales. Ce passage insensible à l’univers des paysagistes est perceptible dès les notations météorologiques : « Les soleils mouillés De ces ciels brouillés ». Ici le pluriel « ciels » au lieu de cieux désigne clairement un emploi artistique6. Notons que le poète joue

ressemble » : voyager pour choisir le pays qui te ressemble. « La splendeur orientale » pays orientaux. « Les soleils mouillés » ; « ces ciels brouillées » : les différents vues du soleils et du ciels selon les pays. « Langues natale » : pays d’origine. « Vagabonde » qui aime voyager, bouger, changer d’air. « Du bout du monde » : le fait de voyager, de traverser le monde. « Les soleils couchants » : depuis différents pays « Le monde s’endort» : comme si il le connaissait. « Les champs » « les canaux » :

réalité et monde de ivresse . Le vin est donc une échappatoire pour ne plus voir le monde comme il est et se sentir moins mélancolique. Dans le 5 -ème vers, la comparaison ( un soleil couchant dans un ciel nébuleux) associant le pouv du vin et de la nature avec un champ lexical de la lumière. Cependant le soleil couchant est éphémère comme le vin, le ciel nébuleux peut évoquer la menace du spleen lorsque le vin ne fera plus effet. Dans cette première strophe le vin apparait comme un magicien

intérieur/extérieur. -extérieur : les termes « ciels » ou « les soleils » V.7-8 au pluriel sont des termes picturaux et sont là dans un but esthétique, ainsi le paysage évoqué est assimilable à une composition picturale. (Esquisser une comparaison avec les tableaux de Ruysdaël et Turner, peintres hollandais) Les allitérations en liquides : « les soleils mouillés » ; « ciels brouillés », ou encore; « ville » ; « lumière » et « les soleils », mettent en place une sensation de fluidité, de diffusion

vive clarté de nos étés trop courts ! J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé. J’écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ; L’échafaud qu’on bâtit n’a pas d’écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du