Soins Infirmiers En Prison

l’IDE Le code de santé publique (CSP) définit les actes professionnels et les devoirs généraux des IDE. Devoirs envers les patients : art. R 4312-25 à R 4312-32 du CSP Responsabilité de l’IDE Les IDE se doivent notamment : • d’assurer des soins consciencieux pour tous ; • d’accomplir uniquement les actes relevant de leur compétences; • d’agir en toutes circonstances dans l’intérêt du patient ; • d’assister les personnes en péril ; • d’informer le patient de façon adaptée, intelligible

« Punition et soin : confusion nécessaire ? » in : Enfance et Psy, n°2, 1998 La punition qui soigne Depuis quelques dizaines d’années, l’appareil punitif se donne des objectifs soignants. Pour moi, ce glissement de l’appareil punitif vers les soins, cette prétention de la Justice à soigner les mineurs (et même depuis quelques temps, les adultes !) ne sont pas négatifs mais au contraire un signe positif d’humanisation de notre société. Cependant cette nouvelle compétence pose des problèmes complexes

Dossier Hôpital Automatisation des pharmacies Ces hôpitaux qui se robotisent Les hôpitaux d’Annecy, de Valenciennes, de Toulouse et la prison de Meaux, testent l’utilisation d’un automate pour gérer la prescription et la dispensation nominative des médicaments. À Lyon, l’expérimentation débutée en juillet dernier donne entière satisfaction. es Hospices civils de Lyon se sont donnés les moyens de répondre aux engagements de leur Contrat de bon usage des médicaments (CBUM). Le Groupement hospitalier

Il est impossible de concevoir les soins infirmiers sans aborder la relation entre l’infirmier et le patient, qui attend du corps infirmier une compétence clinique, il est aussi en droit d’attendre une relation interpersonnelle capable de lui permettre de conserver son identité et son humanité face à la puissance du système hospitalier. En cela, la relation de l’infirmier avec le patient est un garant incontournable de la qualité des soins et par la suite de reconnaissance professionnelle.

de détention 2.5-Appui des ONG et Associations II-EVALUATION DES ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRES i -Etablissements en fonction 1. Prison civile de Bouaké 2. Maison d’arrêt et de correction de Korhogo 3. Maison d’arrêt et correction de Séguela 4. Maison d’arrêt et de correction de Bouna 5. Maison d’arrêt et de correction de Man ii -Etablissements non fonctionnels 6. Prison civile de Danané 7. Maison d’arrêt et de correction de Boundiali 8. Maison d’arrêt et de correction de Katiola 9. Maison d’arrêt

.......................................................................... 12 c) L’émergence du discours sur la défense sociale .................................................................. 15 d) La mise en place progressive de soins psychiatriques en prison.......................................... 17 2. Le droit en vigueur : l’article 122-1 du code pénal ................................................................. 17 a) L’inscription des notions d’abolition et d’altération du discernement

psychocomportementaux de Monsieur D. : la négligence physique... DEUXIÈME PARTIE : Le refus de soins Cette négligence physique est une autre conséquence de l'emprise de la maladie d'Alzheimer. Monsieur D. a refusé toute prise en charge depuis son réveil : soin d'hygiène et soin d'alimentation à midi. Devant ce constat, il y a bel et bien eu un refus de soins de sa part. D'après un article de presse portant sur le refus de soins, « l'être humain se considère comme une personne autonome et singulière, capable de

possession de son corps et de son esprit. La renaissance et l’époque classique : C’est l’époque du grand renfermement dans la ville. Les idiots, les fous, les possédés, les asociaux y compris les opposants politiques étaient enfermés dans des prisons, enchaînés ou « esclavagés » (utilisés pour du travail manuel). La révolution : C’est la première reconnaissance officielle du fou. Un grand médecin parisien, Philippe Pinel, obtient la séparation des fous et autres possédés des délinquants

milieux : centres hospitaliers, CLSC, CHSLD, cliniques médicales, écoles, compagnies pharmaceutiques et même dans les prisons et les organismes humanitaires travaillant dans les pays en voie de développement. L’infirmière est la personne la plus proche du patient et elle doit établir une relation de confiance avec celui-ci. Il lui revient aussi de s’assurer qu’il reçoive les meilleurs soins. Certaines vont développer une expertise dans un domaine en particulier, comme la sclérose en plaques. On retrouve

N°94 - MARS 2013 ISSN 1769-0552 www.gazette-sante-social.fr RÉFORME DES TUTELLES Les espoirs déçus — P. 18 PARAMÉDICAL Des diplômes réévalués dans la douleur— P. 44 Thierry Amouroux, secrétaire général du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI)–CFE-CGC CAHIER JURIDIQUE & FINANCIER ● Les services mandataires d’aide à domicile — P. 38 ● Décryptage de la loi de finances pour 2013 — P. 40 HÔPITAL Professionnaliser le codage des actes pour un juste financement — P. 16 GSS_94_tutelle_themaOK