Soins Infirmiers En Prison

Révolution française. En clair, on accuse Monseigneur Pican d'avoir su, mais de n'avoir rien dit et pis, peut-être: d'avoir laissé faire. Au nom du secret de la confession? Depuis son arrestation en 1998, le père René Bisset attend son procès en prison. Le curé est accusé d'avoir agressé sexuellement et violé une douzaine de jeunes garçons, profitant des liens d'amitié et de confiance tissés avec leurs familles pour mieux abuser d'eux. Une affaire dramatique, mais presque banale: ces dernières années

eux-mêmes.       Les dépenses en santé :     Dépenses moyenne en 2006 : 2449€ (par personnes et par an) Dont a)      hospitalisation 1069€ (public 829€ public 240€) b)      soins ambulatoire : 652 € (304 de médecins, 139 dentaires, 141 auxiliaire médical, 69 analyse labo) c)      soins médicaux : 636 € (500 médicaments, 67 optique, 47 petit matériels, 23 prothèse orthèse) Social 10% 14 millions Médicaments 16% Hôpital 50% Médecin de ville 20%   L’hôpital

sans qui, l’élaboration d’un tel dossier n’aurait été possible. Nous remercions aussi sa femme, Zeya, infirmière de bloc opératoire, pour son accueil et sa gentillesse. Aussi, nous remercions, l’ensemble du personnel, médecins, psychiatres, infirmiers, aides-soignants, et d’autres qui nous ont ouvert leurs portes et ont pris le temps de répondre à nos interrogations. Enfin, nous remercions, les professeurs encadrant du TPE, qui nous ont conseillés durant la rédaction du dossier.

Directeur de la publication : Pascal Charvet Directrice déléguée : Sylvie Hauchecorne Rédactrice en chef : Raniha Oultache Assistant-e dentaire Auxiliaire de puériculture Chirurgien-ne - dentiste Diététicien-ne Ergothérapeute Infirmier-ière Infirmier-ière anesthésiste infirmier-ière de bloc opératoire Puériculteur-trice Cadre de santé Manipulateur-trice d’électroradiologie médicale Masseur-euse - Kinésithérapeute Médecin Opticien-ne - Lunetier-ière Orthophoniste Orthoptiste Pharmacien-ne Podo-orthésiste

mettent le sujet, bien qu’il soit malade mental, au centre de sa « guérison ». La maladie mentale, dans sa dimension de chronicité, soumet le patient à une urgence quotidienne. A cet effet, la psychothérapie institutionnelle contribue à organiser les soins de telle manière que le patient puisse compter sur le personnel soignant dans la durée, sans pour autant prétendre à être les seuls capables de le faire ; bien au contraire, les articulations nombreuses avec tous les partenaires du patient, chacun

répression de l’usage et du trafic de drogues et un accès aux soins, qui sera réellement pris en compte avec l'apparition du VIH. Celle-ci fait preuve d’une certaine ambiguïté : elle considère l’usager de drogues illicites, à la fois comme un malade qu’il convient de soigner et comme un délinquant qu’il y a lieu de punir. De cette législation va naître l’injonction thérapeutique, permettant de soumettre l’usager de stupéfiants à une obligation de soins. C'est seulement dans les années 80 et tardivement

» ; ils s’apparentent dans les faits aux Hôpitaux généraux et mêlent enfants, vieillards, malades ou encore prostituées. Maurice Block donne une définition intéressante de ce qu’est un dépôt de mendicité: « Il tient le milieu entre l’hospice et la prison. Il a pour but, en effet, d’une part de donner un asile au mendiant ; d’autre part de le contraindre au travail, de le corriger de ses vices et de sa paresse (…). 5 » Les élites sociales de cette deuxième moitié du XVIIIème siècle considèrent de plus

tout. (…) Je ne vois pas, je devine(...). Je n'ai plus d'odorat, je ne mange plus. (…). On me lave, on m'habille, on me met dans mon fauteuil et l'on me sangle pour ne pas que je tombe. ». Vincent est prisonnier de son propre corps, il constitue sa prison. Un corps où l'on se sent à l'étroit, enfermé, étouffé, et où pourtant il n'y a rien d'autre à faire qu'« attendre, attendre, attendre ». Au fur et à mesure que les mois passent, Vincent prend de plus en plus conscience de son état. Les envies « oppressantes

aussi grave à tout juste vingt ans est pire que d'en avoir un à 40 ans. Farid est le premier de ses vrais amis à quitter le centre, il va retrouver la liberté, Fabien se rend compte que l'on peut faire beaucoup de parallèle entre le centre et une prison. Ils parlent dans les deux d'avenir, de futur, quand ils seront dehors, sortit d'ici. Fabien sait qu'un de ses meilleurs amis quitte le centre, cela l'embête d'un côté, car il dit qu'il va s'ennuyer. Puis quelques temps plus tard, Toussaint, Steeve

La délinquance et la violence Sujet 11 La pauvreté, la précarité, l’exclusion Sujet 12 Les maltraitances Sujet 13 L’environnement et la pollution Sous-partie3 - La vie professionnelle, la santé, la médecine Sujet 14 Les structures de soins Sujet 15 Les infections nosocomiales Sujet 16 Les cancers Sujet 17 Les infections sexuellement transmissibles Sujet 18 Le sport et le dopage Sujet 19 La régulation de la natalité Sujet 20 L’assistance médicale à la procréation (AMP) Sujet