Soins Esthétiques

constitue un élément fixe , stable qui donne prise a une organisation conceptuelle . Mais une théorie sur l’art doit rester esthétique et ne doit pas séparer le fond et la forme pour revêtir . Les progrès de l’art et de son épanouissement doivent laisser apparaître un contenu , indissociable de l’histoire d une civilisation , dont l’art est précisément l’expression esthétique . L’art est donc la conscience d’une civilisation immédiatement perceptible par les sens . Toutes les insuffisances , les

15ème : valeur historique. Qu’est ce qui indique son âge ? En partie ses blessures. On aime cet objet : axiologie ? On aime le fait que cet objet ait 500 ans. Valeur esthétique : pas complet. On veut que ça le soit ? Si ‘était à 100% complet comme quand c’était fabriqué : on ne voit plus la valeur historique. Valeurs : esthétique, complétude, lacunes… Diastole/ systole. Image et matière. Ontologiquement : deux façons d’exister : à la fois matière et image. Matière : molécules, image : interaction

rondeurs et bosses de son anatomie et il joue sur les valeurs (il utilise une gamme d’ocre différent, allant du clair au plus foncé) pour désigner leurs volumes musculaires. Raphaël s’applique plus à peindre un corps selon un archétype ou canon esthétique si l’on juge la musculature développée de Galatée (tout comme Michel-Ange peignait les femmes avec une forte musculature). S’il n’avait pas peint sa longue chevelure (sa poitrine étant masquée par son bras), nous aurions pu croire qu’il s’agissait

s’est limité à la reproduction, fidèle ou décalée, des objets de la société de consommation, les graffiteurs laissent s’exprimer leur propre sensibilité, colorant leur œuvre de colère ou d’irrévérence. Quelles tendances, revendications, ou message esthétique et artistique découlent du graffiti ? Nous analyserons dans un premier temps ce phénomène en montrant que le graffiti est un art d’idées et de contestations. Ensuite, nous étudierons le graffiti urbain de nos jours. Pour terminer, nous nous intéresserons

Définir le classicisme et la tragédie classique I. Le classicisme * Définition générale C’est un courant esthétique (définition du beau) qui va marquer la peinture, l’architecture, la littérature, le théâtre. Boileau définit un certain nombre de règles classiques dans son œuvre sur lesquelles vont s’appuyer les artistes de l’époque. * Les grands principes 1. Le choix de la clarté, de la logique, de la raison (dans les arts : la ligne droite, la symétrie). Cette rigueur

Art et science 1. Ils s’opposent : • Si on prend art au sens de technique, il a des fins pratiques dont ne se soucie pas la science (cf. Technique) ; • Si on prend art au sens de technique littéraire ou de création esthétique : certes, science et art cherchent tous deux une certaine vérité et ne se contentent pas de reproduire le réel, l’esprit intervient. Mais la science cherche méthodiquement le vrai et tend vers la loi, le général, l’abstrait, tandis que l’art cherche

bâtiments. En second lieu, nous analyserons l’impact produit par l’architecture ferroviaire sur le personnage romanesque en nous intéressant tout particulièrement à l’atmosphère qu’elle dégage. Enfin, nous considèrerons les attributs artistiques et esthétiques des gares et de leurs dépendances que Zola s’attache à mettre en lumière à travers ses écrits, privilégiant notamment le paysage ferroviaire perçu depuis une fenêtre et donnant à voir, de cette manière, un tableau. I) L’univers ferroviaire

cultures. La tradition architecturale représente à cet égard l’une des contributions les plus riches et les plus magnifiques que la civilisation islamique apporte au patrimoine universel. L'architecture islamique, avec ce qu’elle recèle comme valeurs esthétiques et artistiques, témoigne de façon éclatante de la splendeur de notre civilisation, du talent et de l’esprit inventif dont nos architectes, nos maîtres maçons et nos savants ont toujours fait preuve. Ce génie créateur hors du commun a donné naissance

l’image cinématographique. Oui renvoie au mécanisme inconscient, de la pensée. Cette image automatique est d’abords technique et correspond à l’enregistrement et à la projection, mais l’automatisme affecte également le contenu de l’image et la forme esthétique de celle-ci à travers la manière dont-elle est perçue et pensée par le spectateur. Au cinéma, la mise en scène, l’écriture du film, quand elles sont fortes, se dressent contre notre désir de voir et de savoir et nous contraignent à une

nouvelles possibilités techniques ou esthétiques mais doit s’y adapter. Ainsi, « one might say that certain possibilities, particular directions within the medium, came to an end », comme si une certaine foi dans le cinéma avait disparu, ce qui selon Cavell, servirait de légitimité un peu hypocrite aux explorations « cinematic » conduites pour réimpulser le médium dans une relation avec ses spectateurs. Mais le recours à une rhétorique (qu’elle soit esthétique ou théorique) pour couvrir une absence