Societe De Consommation Et Endettement Travailleurs Pauvres

de productivité de l’Inde ; par ailleurs la « libéralisation économique » a débouché sur une accentuation des disparités de revenus entre régions. Certes la pauvreté a reculé mais cela n’a pas empêché de fortes inégalités entre les strates de la société et la manque d’emploi pour les jeunes générations à venir. Nous allons donc nous demander dans quelle mesure les choix originaux de la “voie indienne” de développement n’ont-ils pas pu permettre d’anticiper une meilleure adéquation de la structure

à faible taux de crédit pendant les deux premières années avant de voir les taux remonter de façon drastique. Seule façon pour les plus pauvres d'accéder théoriquement à la propriété, ces crédits se sont retournés contre eux quand les prix ont cessé d'augmenter et quand les ventes à moins de de deux ans ont cessé d'être envisageables, obligeant les plus pauvres à rembourser des crédits toujours plus chers. B- AUTRE POINT COMMUN À CES DEUX CRISES : LE RÔLE NÉFASTE DES BANQUES Où il sera question

Chapitre 0 : Avant l’histoire économique ? Le don dans les sociétés traditionnelles Introduction : Paléolithique, néolithique et sociétés dites « primitives ». 1er grand bouleversement de l’histoire économique : période du néolithique (l’âge de la nouvelle pierre), l’âge de la pierre ancienne > paléolithique Néolithique : début de la sédentarisation des groupes humains. Domestication des céréales + animaux. Ils pratiquent l’agriculture. Douglas North (prix Nobel 93) > Révolution néolithique

certains travailleurs à renoncer à chercher un emploi. L’offre de travail diminuant et la demande de travail augmentant, l’équilibre sur le marché du travail sera restauré et le chômage disparaîtra. L’intervention de l’Etat n’est donc pas nécessaire. Cependant, ce raisonnement microéconomique ne fonctionne pas forcément au niveau macroéconomique car la baisse des salaires réels va provoquer une baisse de la demande et de la production qui va amener les firmes à licencier les travailleurs en surnombre

Mexique, Venezuela). 2. Rappel pour l’élève de Terminale: La Banque mondiale définit les pays en voie de développement par leur PNB par habitant inférieur à 8000 dollars par an. On distingue cependant trois types de PVD. Dans les pays les plus pauvres, le PNB par habitant ne dépasse que très rarement 600 dollars : il s'agit d'économies à bas revenus qui englobent de nombreux pays situés en Afrique, au sud du Sahara, ainsi qu'en Asie. Seuls quelques États d'Amérique latine sont concernés, notamment

financier des agents • Financement intermédié et financement de marché • Formes et fonctions de la monnaie • Création monétaire Entreprises, ménages, administrations, institutions financières, extérieur Production, consommation intermédiaire, revenu. Formation brute de capital, consommation finale, dépense Balance courante, taux de couverture, taux d’ouverture. VA (valeur ajoutée), PIB (produit intérieur brut), taux de marge, équilibre emplois- ressources, taux d’épargne, taux d’investissement Capacité

plusieurs cours, et plusieurs années, mais cher. => P. Krugman & M. Obstfeld : Economie internationale, Pearson, 2006-09-22, difficile mais servira pour les années ultérieures. CEPII : L’économie mondiale, ed. 2009, Repères D. Cohen : Trois leçons sur la société post-industrielle, Seuil, 2006 CAE : rapport P. Artus & L Fontagné : Analyse de l’évolution récente du commerce extérieur Français, 2006 CAE : La mondialisation : les atouts de la France B Majnoni : L’instabilité monétaire, Que sais-je ? pour les

découverte de l’ordinateur et de l’informatique durant la 2ème guerre mondiale. o Le développement d’Internet et des NTIC. o Le développement des bases de données. ▪ Les NTIC agissent sur l’économie (très peu de secteurs y échappent) et la société, et transformeront la vie au 21e siècle grâce aux réseaux universels et à la technologie numérique. ▪ Elles affectent l’économie par deux effets contradictoires : o La « cannibalisation » : destruction / forte baisse de certains secteurs d’activité

quantité produite sera mesurée soit par la VAB – la productivité sera alors exprimée en « valeur » – soit en quantités physiques – la productivité sera alors « physique » – La quantité de travail utilisée sera exprimée soit par le nombre de travailleurs – productivité par tête – soit par le nombre d’heures de travail nécessaire pour fabriquer un produit – productivité horaire – La croissance économique à long terme ne s’explique donc pas par une hausse de la quantité de travail, mais par sa

redistribution 7 I. Revenus et distribution des revenus 7 II. Principes de redistribution 9 III. Les principes de la fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10 Chapitre 1.3 : L’arbitrage entre la consommation et l’épargne 14 I. Introduction 14 II. L’analyse keynésienne de la consommation 16 III. Les reformulations keynésiennes 17 IV. L’offensive néo-classique 19 Chapitre 1.4 : Les déterminants de l’investissement 24 I. Introduction 24 II. L’influence de la demande globale