Socialisme Libéralisme Conservatisme

doit-elle laisser aux individus qui la composent la liberté de choisir leur idéal de vie, ou doit-elle leur proposer une conception commune du bien ou du bonheur ? Cette question introduit le débat qui oppose, en philosophie politique, les partisans du libéralisme politique à ceux qui y sont opposés. Les libéraux soutiennent qu’une société doit le plus possible laisser aux individus la liberté de déterminer et de poursuivre leur propre conception du bien ou leur propre idéal de vie. Les anti-libéraux pensent

88 3.1 88 Repères communs sur les notions d'él ite et de démocratie 3.2 École italienne et élitisme démocratique 91 3.3 La dialectique et la démocratie: particularités et originalité 95 Grandes 1ignes de comparaison 95 3.3.2 Libéralisme et démocratie chez Ortega 3.3.3 Le conflit liberté/égalité 97 lOI 3.3.4 Particularités et originalité de l'élitisme ortéguien 104 3.3.1 CHAPITRE IV ENTRE FAIT ET NORME: INTERPRÉTATION PRATIQUE DE LA DIALECTIQUE ÉLITE-MASSE THÉORIQUE

il va rester deux éléments la csq de cette idée le travail punition ca va être le catholicisme social qui se développe milieu du 19eme siècle csq négative le socialisme qui va développer la conception de religion opium du peuple pour Marx. Les influences ultérieures Influence positive : catholicisme social Influence négative : socialisme Le riche était une sorte de privilégier, ce privilège il devait en quelque sorte le payer ds une relation triangulaire. Le riche a une dette envers dieu mais

c’est le commerce libre qui donnera le bon prix. Le raisonnement économique est ici un peu flou. L’idée de base semble être que si l’on n’interfère pas avec les lois de la nature, le résultat sera naturellement bon. Une entorse notable à leur libéralisme est le contrôle du taux d’intérêt. La raison en est simple : il ne faut pas que les capitaux délaissent le secteur agricole. Le taux d’intérêt ne doit donc pas excéder le taux de rendement de la terre. Sinon il serait artificiel. Le taux naturel

groupes sociaux engagée dès avant la Révolution se poursuit et impose la conservation sinon totale au moins partielle des acquis de 1789. Mais, pour être durable, quelle forme doit prendre le compromis entre « les deux France » ? Quel degré de libéralisme et quels acquis de la Révolution la monarchie nouvelle est-elle prête à retenir ? Une fois adopté, le compromis constitutionnel, la Charte, il s'agit de savoir s'il est accepté par toutes les forces politiques et quelle interprétation il convient

12 3.6 La condamnation Le néo-royalisme exerce une grande influence sur le public catholique, et inversement, les catholiques sont très importants dans l’organisation de l’Action française. Les campagnes menées par la ligue contre le libéralisme et la démocratie coïncident avec la réaction anti-moderniste de l’Église, menée par les « catholiques intégraux » (représentés par la Sodalitium pianum : la Confrérie du pin, surnommé la Sapinière) très proches de l’Action française. Mais à

la « skill thinking », la pensée experte. Mais peut leur retomber dessus (guerre du Vn, guerre de matériel sans voir les aspects psychologiques).Ont tout de même une conscience critique. * Nationalisme particulier : adhésion universelle au libéralisme à l’américaine, très fort sentiment de supériorité (pays de la liberté, de la réussite). La spécificité des autres peuples leur paraît dure à cerner, nient l’hétérogénéité culturelle, même si on passe au salade-bowl : les américains, tout en se

premier économiste issue du Tiers Monde à recevoir le Prix Nobel en Economie en 1998 pour ses travaux sur la famine, sur la théorie du développement humain, sur l'économie du bien-être, sur les mécanismes fondamentaux de la pauvreté, et sur le libéralisme politique. Il a présidé les associations d'économistes les plus prestigieuses (American Economic Association, Econometric Society, International Economic Association) et obtenu de très nombreuses récompenses. Ses travaux scientifiques se situent

*Le marxisme* : Selon MARX, le droit est le produit de la lutte des classes, produit d’une société donné a un moment donnée le droit est donc varié a disparaitre avec la disparition des classes avec l’avènement du communisme et ensuite le socialisme. BILAN : Le droit est l’expression d’une volonté politique. *Le droit ne peut être* qu’un *combat,* il est aussi jugement de valeur sur la *contrainte*. CHAPITRE 2 : LA SPECIALISATION DES REGLES DE DROIT. La règle

jus naturaliste (théorie des droits naturels qui a donné naissance au système de droit commun dans les pays anglo-saxons sous le nom de Common Law) et d’autre part les tenants de l’autolimitation ( le système français en est le prototype) que le libéralisme contemporain a semblé concilier en son sein pour porter à nouveau le concept de l’Etat de droit. Ensuite du point de vue juridico-politique l’étude de l’Etat de droit pose le problème de l’organisation juridique d’un tel Etat et touche à l’idéologie