Socialisation Différenciée Par Le Sport

sociale apprendre c'est s'enrichir et progresser, la pédagogie doit dépasser le donné et subvertir l'ordre social (s'opposer clairement au principe d'héritiers énoncé par P. BOURDIEU) apprendre, c'est construire l'humanité dans l'homme (socialisation) et accéder à une culture qui relie l'intime à l'universel (s'approprier une culture commune qui permette de se relier soi-même à ce qu'est l'Homme) Pas une Pédagogie mais des pédagogiesTransmission et Pédagogie traditionnelle (magistrocentrisme)Pédagogie

puissent réussir face à une tâche adaptée. J. A. Méard (93) "La pédagogie différenciée" distingue trois niveaux de différenciation des contenus. Le niveau plancher, avec l'exemple des groupes de nageurs – non-nageurs où les compétences et connaissances sont distinguées par le groupe de travail. Le niveau intermédiaire où les compétences et connaissances différentes s'acquièrent au sein d'un même groupe par exemple en sport collectif avec des buts différents pour chaque élève. Le niveau souhaitable

physiologiques en EPS. La « différence biologique » est le modèle légitime de la différenciation des sexes -DE PLUS : ces différences s’accroissent avec l’âge : sur le plan du sport scolaire, la circulaire de 1923 demande que le sport scolaire féminin soit envisagé avec réserve, et ne donne lieu à aucun championnat public ( le sport féminin doit se pratiquer à huis clos et rester secret) A noter que : - durant la période vichyssoise, ces notions seront exacerbées, et la femme devra jouer le

inégalement et les inégalités de dotation traduites par mode de socialisation particulier des enfants qui se socialisent différemment car ils ont un habitus différent mais identique a celui des parents, propre a son milieu d’origine. Un habitus est un ensemble de gouts, de pratiques, façon de percevoir le monde propre à son milieu social et qui structure sa personnalité. Ces habitus déterminent le gout pour les pratiques culturelles différenciées qui révèlent l’existence des trois classes sociales. De

filles et garçons par un enseignement enté sur une transmission de techniques corporelles particulières et éloigné des valeurs des filles. Une observation des pratiques sportives, des savoirs et pouvoirs moteurs des filles construits au fil de la socialisation et de l’éducation familiale pourrait alors expliquer leurs résultats inférieurs. Les travaux issus de la sociologie témoignent effectivement d’un investissement différencié des jeunes selon leur sexe et leur origine sociale dans les pratiques culturelles

culture, par les moyens qu’elle met en œuvre, est un moyen de libération mais peut être aussi une source de frustration, d’empêchement. • La culture est définit comme l’ensemble des activités soumises à des normes socialement et historiquement différenciées. Dans ce cas, la culture représente des modèles de comportements transmissibles par l’éducation et propre à un groupe social donné ou à des personnes voulant appartenir à ce groupe. La culture de masse : fin 19ème / début 20ème (=culture populaire

familles existe (jeunes mariés, couples âgés, familles nombreuses, familles sans enfant, veufs, divorcés, ménages ruraux, ménages urbains…) qui constituent des réalités sociales différentes. La famille remplit plusieurs fonctions : fonction de socialisation, fonction de reproduction sociale, fonction de consommation. Contrôle social : ensemble des pressions qu’exerce la société pour que les individus se conforment aux normes (interdits, sanctions…). L’affaiblissement des règles sociales peut mettre

cette raison que la famille représente un espace de socialisation important. 2. L’identité latente ou le « fond de nous-mêmes » L’objectif pour chacun est de découvrir son identité personnelle, cachée au fond de lui-même et ce grâce à la socialisation. 3. La famille au centre du processus de révélation de soi. De Singly émet une critique par rapport à la vision universelle de la socialisation (pour qui il y a deux temps de socialisation : un premier temps en famille, un second avec d’autres

d’avoir des enfants ? Maitriser le rapport sexuel pour qu’il soit fertile. Mariage : garantie d’un maximum de rapports sexuels. Cela ne va pas de soi de contraindre les femmes au mariage, et, au sein du mariage, au rapport sexuel. Donc éducation, socialisation (« dressage psychique » au coït) qui dans certaines sociétés peut aller jusqu’au viol collectif. Ce que l’Église a théorisé sous la forme de devoir conjugal. Deuxième lieu du contrôle : lorsque la femme est enceinte, le processus de reproduction

II. La domination masculine inversée : l'exemple de la société Kavalane Critiques Bibliographie : -BAUDELOT, C, ESTABLET, R, Quoi de neuf chez les filles ? , Nathan, Paris, 2007. -S. Dir. DAFFLON NOVELLE, A, Filles-garçons : Socialisation différenciée ?, PUG, Grenoble, 2006. -GIANINI BELOTTI, E, Du côté des petites filles, Des femmes, Paris, 1973. -S. Dir. MATHIEU, N-C, Une maison sans fille est une maison morte, La Maison des sciences de l'homme, Paris, 2007. Du côté des