Smith Ricardo Marx

1. Biographie a. Origine sociale et études Considéré comme un des « pères fondateurs de l’économie politique classique », Adam Smith est né le 5 juin 1723 à Kirkcaldy en Écosse. Il est le fils d’un contrôleur des douanes. De 1737 à 1740, il va suivre à l’Université de Glasgow des études de philosophie et de littérature. Smith suit l’enseignement de Francis Hutcheson, père fondateur des Lumières écossaises, qui exercera sur lui une forte influence. Il poursuit ses études à l’Université d’Oxford

phénomènes économiques (chômage ; inflation ; comportement des agents économiques ; etc.) Son objectif est de bâtir des lois et des modèles pouvant guider l'action de la politique économique. B / Définition D'abord, d'Aristote jusqu'à Adam Smith, l'Economie est considérée comme la richesse matérielle des sociétés. C'est à dire que l'on réduisait l'action économique à la production, à la répartition et à la consommation des biens en ignorant totalement les services. Au XIX se développent

c’est la naissance de l’évolutionnisme avec Darwin. Veblen est considéré comme l’un des fondateurs de l’évolutionnisme en économie. Veblen distingue une période pré-darwinienne et post-darwinienne dans la pensée notamment dans la pensée économique. Marx voulait que Darwin écrive la préface du capital. Une des notions que Veblen emprunte à Darwin c’est la notion de sélection naturelle. Au sens large du terme on peut regrouper Pierce, James, Dewey…tous ces philosophes dans le courant du pragmatisme

thorie du commerce international, cette dernire concerne les changes de bien et service, investissement international, et taux de change. Lutilit du commerce international est justifie grce aux avantages comparatifs, cest la thse de Davide Ricardo, mais fonde sur les diffrences des dotations de facteur de production savoir le capital et le travail et ceux-ci fait partie du modle de HOS. Ces modles ont t trait dans lhypothse ou lchange sopr dans un march qui fonction de manire optimale

de la science économique : • Ricardo et la valeur travail : valeur d'échange des marchandises est proportionnelle à la quantité de travail qu'elles incorporent • Il est donc nécessaire d’améliorer la productivité du travail (rapport entre les quantités produites et la quantité de travail nécessaire pour obtenir cette production) grâce à la division du travail (Smith) ➢ document 3 →croissance de long terme auto-entretenue • Ricardo distingue 3 classes sociales : les

rappeler la théorie smithsienne de la croissance et notamment le rôle de l’épargne (investissement = renonciation à la consommation) et de la division du travail (liée chez Smith à l’accumulation du capital). Pouvaient aussi être évoqués : la théorie de l’état stationnaire associé au déclin des investissements (Smith, Ricardo) ; le modèle de Lewis (investissement et décollage économique , le principe de la « génération sacrifiée ») ; Nurkse et les cercles vicieux du SD (faible E = faible I = faible

l’individualisme. Smith, Ricardo, mais aussi Locke, Bentham, étaient anglais. Ceci est peut-être à même de nous permettre de penser la mondialisation. Car cela permettrait de se situer à la fois sur l’axe des faits empiriques et sur celui des idées qui peuvent être aussi des principes moraux ou éthiques. Alors que les raisonnements des grands auteurs français des Lumières auraient privilégié plutôt l’axe des idées. N’oublions pas que celui qui est considéré comme le père de l’économie politique, Adam Smith, faisait

traduit entre autres par la production d’engrais, par la fin de la jachère, ce qui entraîne un surplus, et donc l’épargne, pour des industries telles que la métallurgie ou le textile. Tous cela entraîne également une augmentation de la population. Adam Smith (1723 – 1790) est le père du libéralisme. Les grands principes qu’il prône sont la liberté économique, l’individualisme et l’efficacité des mécanismes de marché. LA LIBERTE ECONOMIQUE LA LIBERTE ECONOMIQUE A LIBERTE ECONOMIQUE La liberté économique

Source : l’Echo, 29/05/2010 I. Courant classique : Adam Smith (1723-1790) : - La division du travail - La main invisible : la poursuite par chacun de son intérêt personnel débouche sur l’enrichissement de la société tout entière. - Le marché harmonise la multitude des intérêts individuels grâce au mécanisme de l’Offre et de la demande.  Le marché est auto-régulateur. - Le processus qui amène les entreprises à produire ce que les consommateurs veulent ne nécessite pas la présence de l'État

doté de droits naturels qui ne connaît pas d’unité de valeur supérieure à luimême et dont la raison s’exerce par le calcul de ses intérêts propres. Comment peut-il dans ces conditions vivre en harmonie avec ses semblables ? C’est que, répond Adam Smith, pour satisfaire ses intérêts et ses besoins personnels chaque individu a besoin des autres et qu’au fur et à mesure qu’il satisfait ses intérêts il satisfait insconsciemment les 20 Id., ibid., 17 intérêts des autres et de l’ensemble. Pour les réalistes